Vieillard Et Derviche

espace jusqu’à la fin des jours, et voués à travailler pour pouvoir survivre. D’ailleurs certains n’acceptent pas cette nouvelle vie en communauté, car ils n’ont pas l’habitude de devoir mettre la main à la pâte. C’est après la rencontre d’avec le vieillard que tout s’arrange et que chacun des personnages trouvent enfin sa place au sein de la communauté, ainsi l’expression « cultiver son jardin » est mise à l’œuvre. Les nouveaux personnages ° Pococuranté (ch.XXV) : Pococuranté vient de l’italien

| | |- il se pose des questions | | |Ils vont voir un derviche qui ne leur donne aucune réponse et les renvoie. | | |=> Pour Voltaire il n'y a pas de réponse, il ne faut pas avoir de préoccupation philosophique. | |Pangloss :

vieille. Candide et ses amis vont faire la rencontres de 2 personnes tout d’abord Derviche , un religieux musulman qui est considéré comme « le meilleur philosophe de Turquie ». Pangloss en profitera pour le questionner sur le bien et le mal et tout les grands problémes métaphysiques mais celui-ci refuse d’y repondre, quand Pangloss lui demande ce qu’il faut faire, il lui répond : « se taire ». Puis un vieillard et ses enfants qui vivent heureux dans une ferme voisine. Il les encourage à ne pas

Un derviche (religieux musulman) très fameux qui passait pour le meilleur philosophe de la Turquie, a remplacé Pangloss. La formule "meilleur philosophe" rappelle Pangloss et la Turquie a remplacé la Westphalie.  En opposition à l'occident, l'orient apparaît comme la terre du retour aux origines réceptacle d'une sagesse faite d'expérience et de pragmatisme (attitude de quelqu'un qui s'adapte aux situations). Le discours du derviche et du vieillard rappelle celui que tenait un autre vieillard au

avons trouvé que Le mal rencontré par Candide est le mal moral causé par l’ennui parce que jusqu’à présent il a toujours était confronté au danger. Ils vont chercher des réponses chez le derviche, qui leur fait comprendre qu’ils ne se posent pas la bonne question. Ils trouvent un remède à ce mal avec le vieillard Turc rencontré qui lui explique que cultiver son jardin et ne pas s’occuper du mal est la seule solution , ce qui va engager Candide à faire de même. Voltaire qui disait de cette écrit

revient pas à son point de départ au château ce qui montre son évolution. - début : naïf, ne connaît rien à la vie fin : a fait le tour du monde, enrichi par ses expériences. - il interrompt Pangloss - il se pose des questions Ils vont voir un derviche qui ne leur donne aucune réponse et les renvoie. è Pour Voltaire il n'y a pas de réponse, il ne faut pas avoir de préoccupation philosophique. Pangloss : pour lui tout est toujours pour le mieux dans le meilleur des mondes. - il n'est plus le

exemption sur terre, mais qui ont tout perdu. Il arrive à la conclusion que ce ne sont pas les garants du bonheur puisqu’on peut tout perdre. 4. Chapitre 30 candide rencontre le derviche, il va opposer aux questions de spéculatif de pangloss. Il mimer la posture de la résignation. 5. Chapitre 30 candide rencontre un vieillard mahométan sans souci qui vit en autarcie et exposer une vérité sérieux : « Le bricolage éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice, et le pauvreté ». introduction

narrateur : Dans le chapitre dernier, le derviche nous dit : « Quand sa Hautesse envoie un vaisseau en Egypte, s’embarrasse -t-elle si les souries qui sont dans le vaisseau sont à leur aise ou non ? », ici on nous dit que Dieu pence au plus grand nombre et ce soucis peu des petits problème des hommes. On peut remarquer ici que le derviche donne une solution pour associé la croyance en Dieu et le massacre d’innocent. Le narrateur lui n’est pas en accord avec le derviche car il ne nous suggère pas dans ce

les idées ainsi que sur les dispositifs argumentatifs et les rhétoriques mis en place : le derviche, le vieil homme et Pangloss utilisent en effet des procédés discursifs très différents. • La confrontation de trois philosophies Avant que le livre se referme, trois philosophies incarnées par des personnages et leur modèle de vie font une dernière apparition. – La parabole du derviche. L’épisode du derviche permet de montrer l’évolution des personnages : les questions de Pangloss et de Candide suggèrent

raisonner ailleurs des effets et des causes. Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d'abord un village voisin ; il était en cendres : c'était un village abare que les Bulgares avaient brûlé, selon les lois du droit public. Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros rendaient les derniers soupirs ; d'autres, à demi