Viktor Iouchtchenko

débute réellement en 2004, à l’occasion des élections présidentielles en Ukraine, qui cristallisent déjà une situation de tension. Lors de ces élections, deux candidats se présentent. Le premier est Viktor Ianoukovitch, pro-russe, et donc soutenu par Vladimir Poutine, et le deuxième est Viktor Iouchtchenko, qui lui est enclin à créer un partenariat avec l’Union Européenne. C’est d'ailleurs là que se trouve le nœud du problème, puisque Poutine, arrivé au pouvoir en 1999, souhaite que l’Ukraine reste

Cette « Révolution Orange », porteuse de grands espoirs de démocratisation et de stabilité dans le pays, a rencontré de nombreuses difficultés et s’est caractérisée par ses divisions et affrontements internes tout au long de la présidence de Mr. Iouchtchenko, ce dernier entrant rapidement en conflit avec Mme. Tymochenko, qui était alors son premier ministre, et avec le Parlement. La révision constitutionnelle de décembre 2004, limitant les pouvoirs du président concernant la formation du gouvernement

processus a été interrompu à cause de la pres - sion du président Vladimir Poutine, et remplacé par une politique de rapprochement avec le gouvernement russe (HUFFINGTON POST, 2013). La population, déjà mécontente du gouvernement du président ukrainien Viktor Ianoukovitch, a pris les rues dans manifestations à travers le pays, encouragée par les partis d’oppo - sition en faveur de l’Union Européenne (LE MONDE, 2013). La réaction violente du gouvernement, qui a mis en œuvre des mesures d’interdiction aux

Les pays les stables ou riches = complète autonomie. Ukraine > club GUAM. Relations  Russie/Ukraine = contentieux historique (holodomor 1931‐1933, 3 à 5 M de morts),  politique  (révolution  orange  de  2004  =  victoire  du  parti  pro‐occidental  de  Viktor  Iouchtchenko,  président  en  2005),  énergétique  (conflit  sur  le  gaz  et  coupures  d’approvisionnement, « guerres du gaz » de 2005/6 et 2008/9).      3  o Le  cas  Géorgien (voir  doc_01_07  et  01_08,  explication  doc_01_09) : 

tensions demeurent fortes puisque la Russie de Poutine, nostalgique de sa grandeur passée, vise à maintenir son pouvoir sur des Etats pourtant devenus indépendants. Ainsi, les services secrets ont empoisonnés l’ancien président de l’Ukraine, Viktor Iouchtchenko, et pratiquer la guerre énergétique afin d’empêcher les Ukrainiens de s’ouvrir sur l’UE. Les intérêts économiques de la Russie en Ukraine sont énormes: flotte militaire installée en Crimée, investissements massifs dans le complexe industriel

en cours de modernisation, aimerait bien se passer. En vain. C'est que la dioxine contenue dans ce cocktail délétère - cette même dioxine d'ailleurs qui serait à l'origine de l'empoisonnement de l'actuel président de l'Ukraine Viktor Iouchtchenko est tenace. Principalement sur les terres entourant les anciennes bases militaires américaines, dans le Delta du Mékong, mais aussi aux abords de la fameuse piste Ho Chi Minh utilisée en temps de guerre par la guérilla du nord

du projet politique de Poutine. B. LEXPRESSION LA PLUS ACHEVEE DU PROJET POLITIQUE DE POUTINE a) Une entreprise étroitement contrôlée par le pouvoir politique Gazprom a toujours été proche du pouvoir. En effet, son tout premier président, Viktor Tchernomyrdine, qui a dirigé l’entreprise entre 1989 et 1992, où il a cédé sa place à son adjoint Rem Viakhirev, a aussi été Premier ministre de la Russie de 1992 à 1998 et plusieurs fois ambitionné la place de Président. Pourtant, le lien entre le

Terme Définition Actualités politiques/Ukraine Lina SADER FEGHALI [LSF] Révolution orange Grand mouvement de protestation pacifique mené par le candidat de l'opposition à l'élection présidentielle ukrainienne, Viktor Iouchtchenko, contre le candidat prorusse, le premier ministre Viktor Ianoukovitch.[LSF] * Le qualificatif orange a été adopté en raison de la couleur qu'arborent les dizaines de milliers de manifestants dans l'ouest de l'Ukraine, couleur choisie par la coalition des partis de l'opposition

Premiers ministres et d’autres personnalités importantes originaires du monde entier à venir s’adresser aux députés en plénière. Parmi les personnalités reçues au Parlement européen au cours de ces dernières années, citons le président ukrainien Viktor Iouchtchenko, le président bolivien Evo Morales, la présidente du Liberia Ellen Sirleaf-Johnson, le président pakistanais Pervez Moucharraf, le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, le Premier ministre libanais Fouad Siniora, la présidente

enseignants des établissements supérieurs, mais cette initiative a tourné court. De manière générale, on peut constater qu'il dépend du recteur de chaque établissement d'exercer une pression sur le personnel enseignant pour qu'il adopte l'ukrainien. Viktor Skopenko, membre de l'Académie des sciences, recteur de la principale université d'Ukraine, l'Université Taras Shevtchenko à Kiev, est fier de ce que l'enseignement y soit entièrement dispensé en ukrainien. À la Kievo-Mohyljans'ka Akademija à Kiev