Ville Modernité

fois littéraire et musicale : la dernière strophe fait une litanie des genres poétiques liés au chant (lais, complaintes, hymnes, romance, chansons) / « mélodieux délire » du v.3 / utilisation d’un néologisme (le verbe « musiquer ») qui induit une ville qui est en symbiose avec la peine du poète. Le registre lyrique (sentiment d’abandon, par exemple : « moi qui sais » au v. 21 = il est le seul à savoir) C’est un sentiment amoureux encore vivace (v.20) : fusion du couple (« toi moi » sans la coordination

Qu’est-ce qu’une œuvre moderne ? De la fin du XIXème siècle jusqu’à aujourd’hui, nous avons pris pour habitude d’utiliser régulièrement la notion de modernité et de l’appliquer à toutes sortes de domaines sans forcément reconnaître son sens originel. En l’associant sans relâche avec diverses spécialités comme le design - Style Moderne -, la danse - Modern Jazz - voire la politique - groupe ‘Progrès et Démocratie Moderne’ en France et parti ‘New Labour’ en Angleterre -, nous en vînmes à l’attribuer

II-L’ESPACE ET LE TEMPS 1-L'ESPACE : La situation géographique n’est pas explicitement nommée mais les noms des personnages et la nationalité de l’auteur nous permettent de dire que l'action se passe au Mali.  Le premier cadre spatial c'est la ville où vit la famille de Benfa. C'est le lieu où commence et finit le récit.  Le deuxième lieu est le village du père Djigui où Kany et Birama ont été exilés pour l'initiation aux traditions.  2-LE TEMPS : Le roman se passe à l'époque coloniale ; le récit

événements pour des clients importants. Dans les Vosges, elle redevient la petite fille attachée à son poêle à bois et aux neiges, ces neiges qui donnent l'illusion que rien n'a changé. Mais autour d'elle, la vallée rêve de prendre le train de la modernité. Des lignes de chemin de fer d'autrefois, il ne reste plus grand chose. Écartelée entre ses contradictions,elle ne saura que choisir Au fil des ans, la SNCF a cédé aux sirènes du marché et abandonné ses passagers pour la rentabilité, les lignes

Ville vivante Jean-Marie Le Clézio Questionnement systématique : Thème : description et critique du monde moderne, Le Clézio a beaucoup voyagé, et essaye de comprendre le monde au travers des différentes cultures Genre littéraire : roman Type : description Registre du texte : plutôt fantastique (machine personnalisées, ambiance oppressante, inquiétante) Intérêt du texte : sociologique, dénonce un défaut de société Idées principales : Texte fluide et agréable -travail sur les sonorité -pas de

petite ville se sont tous transformés en rhinocéros ; seul Bérenger, incarnation symbolique du « résistant », refuse cette situation. À la fin de la pièce il prononce un ultime monologue… [Lecture et annonce des axes] Dans ce monologue à cheval entre tradition et modernité théâtrales, Ionesco met en scène la lutte tragique de l’individu contre le groupe et l’absurde de la condition humaine, et révèle sa vision de l’homme et du monde. I. Un monologue théâtral entre tradition et modernité 1. La

sociales et politiques (féodalité, économie paysanne, ville…), tout ça est à l’origine d’une société qui s’organise en dehors de la dépendance religieuse. Le pouvoir vient désormais de la société et non plus de Dieu, l’histoire européenne a ainsi produit une politique affranchie de la religion. Gauchet explique notamment que dès le XVIIème siècle, la modernité rationnelle, démocratique, est placée sous le signe de l’antagonisme entre religion et modernité. La religion est chassée de la sphère publique,

ces tours étaient un symbole de modernité et de progrès au niveau du confort de l’habitat mais aussi vecteur de promotion sociale A partir des années 70, la crise économique et l’intensification de l’immigration a transformé de façon durable le paysage des grands ensembles. Ils deviennent une concentration de difficultés sociales diverses : chômage, isolement, violence, délinquance, communautarisme… Dans les années 90, la mise en place d’un ministère de la ville a permis de repenser l’espace urbain

Né en 1859 dans la Presqu’île lyonnaise, Le Progrès est ancré aujourd’hui au nouveau coeur de la ville de Lyon : c’est à la Confluence, quartier porteur des grandes ambitions de l’agglomération, que le Groupe a décidé de s’installer à compter de fin 2007. Ses différentes entités sont désormais rassemblées dans un immeuble de 11 000 m2. Le nouveau siège abrite plus de 450 collaborateurs formant les équipes du Progrès, du quotidien gratuit Lyon Plus, et du site internet leprogres.fr. Leur regroupement

dans une société moderne. La problématique est orientée vers une réflexion sur la fête et le lien social. I – La fête moderne dans la ville : - Les signes de la fête : rassemblement, rire, bruit, couleurs, la ville pavoisée (tous les documents) - Foule et spectacle dans le décor urbain (Monet, techno-parade, Maupassant) - Célébration profane, modernité des manifestations : la République et l’Exposition universelle (Maupassant, Monet), musique électronique, les voisins (techno-parade, « Immeubles