Violence Combat 14 18

civile éclate le 18 juillet 1936. L’Eglise, les grands propriétaires et les militaires se révoltent. Conduits par Franco, le chef d’Etat-major des armées, ils tentent de s’emparer du pouvoir en organisant un coup d’Etat. Il installe son gouvernement à Burgos, une ville du nord de l’Espagne. Les républicains résistants de gauche s’engagent alors dans une lutte contre les franquistes fascistes. Des milices ouvrières se constituent et s’arment tant bien que mal. D’emblée, les combats sont d’une extrême

distinguant les combattants qui avaient eu un comportement héroïque lors d'un combat.  Si on s’intéresse aux couleurs, on voit qu’il n’y a pas de couleurs vives. Toutes les couleurs tournent autour du verdâtre, noir, et bleu foncé. On voit aussi que les lignes du tableau sont très confuses. Elles sont toutes cassées. Les joueurs de cartes mettent en évidence à la fois la violence infligée aux corps des combattants par la guerre 14-18 et les tentatives de reconstruction des corps par la médecine. Ces hommes

Céline a pu expérimenter l’horreur de ces combats sanglants jusqu’à ce qu’il soit blessé au cours de l’année 1914. C’est alors que naît, de sa plume, le roman « Voyage au bout de la nuit » paru en 1932 et racontant l’histoire Ferdinand Bardamu, soldat dans l’armée, ayant eu à faire face aux différentes horreurs du monde aux travers de divers continents. Il relate ainsi son histoire depuis le moment ou il décide de s’engager puis de faire face à la violence, la haine et la déshumanisation au cours

foncé. On voit aussi que les lignes du tableau sont très confuses. Elles sont toutes cassées. Avec cette technique Otto dix dénonce encore plus les horreur de la guerre car de ligne cassé Interprétation: Ce tableau montre la violence des combats pendant la guerre 14-18, ces personnages sont d’anciens combattants mais ils sont mutilés. Ils sont surnommés les « Gueules cassés », les joueurs de cartes sont les séquelles de la guerre. En ce concentrant sur tous les dégâts fait au corps, Otto Dix montre

début de la Seconde Guerre Mondiale. C’est une guerre totale aux dimensions planétaires, une guerre durant laquelle les ambitions territoriales et l’idéologie nazie se heurtent aux valeurs affichées par les Alliés et l’URSS. C’est une guerre d’une violence extrême ou des populations entières sont anéanties grâce à la mise en place d’une politique d’extermination systématique. En quoi peut-on dire que la Seconde Guerre Mondiale est une guerre d’anéantissement ? I – Un affrontement brutal aux dimensions

début de la Seconde Guerre Mondiale. C’est une guerre totale aux dimensions planétaires, une guerre durant laquelle les ambitions territoriales et l’idéologie nazie se heurtent aux valeurs affichées par les Alliés et l’URSS. C’est une guerre d’une violence extrême ou des populations entières sont anéanties grâce à la mise en place d’une politique d’extermination systématique. En quoi peut-on dire que la Seconde Guerre Mondiale est une guerre d’anéantissement ? I – Un affrontement brutal aux dimensions

vais vous présenter les trois œuvres que j'ai choisi dans le thème Art et Violence. J'ai choisi ce thème car je trouve qu'il est vraiment intéressant par rapport aux autres, selon moi. Je me suis plutôt tournée vers la Première Guerre mondiale de 14-18 en choisissant différentes œuvres montrant des actions qui se sont beaucoup déroulées pendant la Guerre. Des millions de personnes ont beaucoup souffert de cette période 14-18 et à travers ces œuvres, je vais vous le montrer. J'ai choisi la Première

L'horreur de la guerre. Plus de scene épique avec : champs de bataille (dvt L.3), éclat de boulets (dvt L.30-31), feu, gloire, bravoure, héroisme, ils sont tous retouchés. Déconstruction de l'épique : Absurdité du combat souligné par le regard du néophyte. Lexique de la violence = cadavres, boulets, décharges associées à des notations descriptives horribles:un cheval tout sanglant, le sang coulait dans la boue + image de soldats bléssés et ignorés. On assiste à une déshumanisation des individus

n’a pas été encore complètement tournée.  Sans lieux de mémoires particuliers ni date de commémorations évidents, elle reste une guerre sans fin[…] Comme si la fin n’avait jamais était dite[1]. Seulement après une trentaine d’années depuis la fin du combat, on a finalement commencé en France, à appeler ce qui s’était passé avec son nom: Guerre. Mais le silence calé pour si long temps sur cette événement, s’est seulement en partie brisé. Soit entre les deux pays qui l’ont combattue, qu’à l’intérieur

« Le Lion tint conseil » vers 15). Il prétend vouloir protéger ses vassaux face à l’épidémie de peste. Les premiers vers de son discours ( « Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous [..] » vers 16-18) sont des octosyllabes avec des modalisateurs (« crois » vers 16 « peut-être » vers 20 ) qui montrent une certaine humilité qui se révèle être de la fausse modestie , puisque succède tout de suite des alexandrin qui démentent la modestie : Il prononce