Violence Electorale

œuvre dans les démocraties occidentales pour séparer le pouvoir exécutif du pouvoir législatif. Acquis de première : État de droit. Centré sur le gouvernement représentatif, ce point permettra d’étudier les enjeux socio-politiques de la compétition électorale contemporaine. Une attention particulière sera accordée à la place des organisations partisanes et aux effets des modes de scrutin (majoritaire, proportionnel notamment) sur la sélection des gouvernants. On identifiera les biais liés au genre et

l’intensité de la compétition électorale et de l’autre part leur dimension qui pèse sur l’analyse des rapports et des configurations d’alliances. Selon André Tardieu «on compte les voix pour éviter d’avoir à casser les têtes». L’exigence de la désignation d’une action légitime renforce le maintien de la convention sociale silencieuse conclue entre les représentants et les représentés. D’après la fameuse expression de Max Weber, «le pouvoir est l’exercice de la violence légitime». Le jeu d’une représentation

bipolarisation. Par conséquent, il ressort des élections une majorité claire, qui va former un gouvernement politiquement homogène, non menacé par l’instabilité. Ce gouvernement restera en fonction jusqu’à une alternance franche, résultant de la défaite électorale de la majorité sortante. Pour les électeurs, le choix est clair, bien qu’un peu réducteur, entre deux blocs politiques nettement opposés ; bizarrement, ce sont les électeurs du centre les plus velléitaires qui provoquent le changement. La RP pousse

interviennent également dans ce processus ; ATTENTION ! Ce chapitre intègre 4 savoir faire applicables aux données quantitatives : calcul, lecture et interprétation du taux de participation électorale et du taux de mobilisation électorale + lecture et interprétation de l’indice d’Alford et et de l’indice de volatilité électorale (cf fiches méthodologiques) Introduction : les chemins de la politisation L’intérêt des citoyens pour la désignation de leurs représentants, base de la démocratie représentative

3. La perception des débats comme étant des spectacles 15 4.4. Le rôle des débats dans la campagne électorale 16 4.5. Les réactions des débatteurs 16 4.6. L’image de l’homme politique 16 4.7. Les faux-pas des débatteurs 17 5. Présentation de l’intervenant rencontré 17 5.1. Pierre Duchesne 17 5.2. Réjean Pelletier 18 6. Compte rendu de l’entrevue 18 6.1. Impact des débats sur la campagne électorale 18 6.2. Influence du travail journalistique 19 6.3. Divertissement politique 20 6.4. Impact sur l’identité

ELECTIONS C’est généralement la loi qui détermine le mode de scrutin et il est donc facile à modifier. La détermination des circonscriptions électorales consiste à résoudre le problème du cadre territoriale dans lequel va se dérouler le scrutin. En effet le problème du mode de scrutin est d’assurer une représentation à peu près équitable du corps électoral. L’idéal serait que chaque député représente un nombre égal de citoyens mais rigoureusement impossible ne serait-ce qu’en raison des variations

oiREPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail - Patrie ASSEMBLEE NATIONALE 8ème LEGISLATURE ANNEE LEGISLATIVE 2012 1ERE SESSION EXTRAORDINAIRE (Avril 2012) PORTANT CODE ELECTORAL PROJET DE LOI N° 911/PJL/AN N° 0 9 9 / A N / 8 REPUBLIQUE DU CAMEROUN PAIX - TRAVAIL - PATRIE EXPOSE DES MOTIFS DU PROJET DE LOI PORTANT CODE ELECTORAL Les différents scrutins organisés au Cameroun au cours de la dernière décennie (élections législatives et municipales du 30 juin 2002 ; élection présidentielle du

de lʼEtat. Le choix des représentants se concrétise au travers le droit de vote. Ce droit sʼexerce de manières différentes en fonction des modes de scrutin, cʼest à dire des différentes procédures de compétition électorale. Sʼimposent ainsi diverses règles qui visent à faire de la violence un combat idéaliste et symbolique. Ces règles ont pour objectif dʼappliquer un idéal démocratique en tentant de déterminer de la meilleure manière possible la ou les personnes aptes à occuper les hautes fonctions

l’Etat est juste un prétexte de domination. Les différentes révolutions augmenterais le pouvoir des prolétaires et rendrait peu à peu l’Etat inutile. Pour Webber, L’Etat c’est un groupement politique sur un territoire donné qui a le monopole de la violence physique légitime. Politics dans le sens de la vie politique : Cette vie politique qui repose sur des règles et principes fondamentaux et/ou des règles plus particulières. Mais aussi sur des acteurs tels que des syndicats des partis

La Grande bretagne n'a pas eu la meme évolution que la france au niveau politiquePar rapport à la France qui procède souvent par flambées de violence révolutionnaire et réformes dans l’urgence, la Grande Bretagne, après son soulèvement de la Glorious Revolution de 1688, opte pour un pragmatisme politique qui vise précisément à remédier empiriquement à des mécontentements avant que ceux-ci ne débouchent sur une contestation plus radicale. D’où une progression moins nettement sensible mais graduelle