Violence Selon Hobbes Et Rousseau

s’adapter aux autres, les accepter tels qu’ils sont, sortir de l’état de nature où il vivait seul et indépendant. Rousseau : Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes : Pour Rousseau, l’homme a l’état de nature n’est pas violent et ne fait pas usage de sa force parce qu’il n’a pas de relations avec les autres. Il possède une certaine innocence, ce que Rousseau appelle la « bonté ». Sa socialisation va se faire par étapes : l’homme confronté aux obstacles de la nature va

civile L’État moderne est distinct et connecté à la société civile. L’analyse de cette connexion a été l’objet d’une attention considérable aussi bien dans l’analyse du développement de l’État que dans les théories normatives. Des penseurs comme Thomas Hobbes ou Bodin ou les juristes de Richelieu mettaient l’accent sur la suprématie de l’État. Pourtant proches d’eux Hegel s’est intéressé aussi aux liens entre État et Société civile. De nos jours, Jurgen Habermas avance que la société civile forme une sphère

droit (objectif) et droit (subjectif) Droit subjectif = individuel = trouve ds l’individu lui-même L’individu et son droit constituent “le centre et l’origine de l’univers juridique” (Villey) = centre qui est indépendant de tout rapport social Thomas Hobbes : l’individu n’en dispose que pleinement ds l’état de nature avant la création d’une société à qui chacun transmettra ses droits pour bénéficier du droit 2 perspectives - considérer droits subjs. en tant que tel, isolément = conçus en dehors d’un

de travailler en utilisant son énergie intellectuelle mais aussi son énergie musculaire. MAIS, on est parfois épanoui au travail, et le loisir permet certaines activité comme la philosophie qui peuvent être aussi épuisante que le travail. KANT : Selon lui, la nature a fournit les mains de l’homme pour qu’il puisse travailler. Car il ne pourrait pas survivre sans travailler. Car le travail permet la transformation de la nature et donc la création d’artifices. L’homme doit donc utilisé la technique

maréchaussée (corps militaire) est placée sous l'autorité de l'intendant du roi. 1829 : Police civile en uniforme Le développement de la police est indépendant de celui de la criminalité. Il y a là une logique endogène, une dynamique de monopolisation de la violence physique légitime. La légitimité vient du fait que la police veille à l'application des lois de l'Etat. Les fonctionnaires : Fin XVIIIe siècle : la bureaucratie versaillaise compte 670 membres. Sous la révolution française on compte 3000 fonctionnaires

citoyens. Exemple : pouvoirs publiques entre eux Le Président ne se rend jamais à l’assemblée nationale (où se trouvent les députés). De plus le Président ne doit pas donner d’ordre à la justice. Ces règles peuvent évoluer et son différentes selon les pays. Aux RU, il y a une reine, en France, le premier ministre peut se rendre à l’assemblée. Nous avons eu depuis 1791 un nombre incalculable de constitution : 2 en 1793, en 1795, 1799, 1804, 1814, 1830, 1848, 1852, 1975 puis 1940 et 1958 qui

Depuis l’ère de la civilisation des hommes, en effet, l’homme a souvent reconnu à un moment ou à un autre, être soumis à un certain pouvoir voire même en être en possession. Certains sont sous l’emprise d’un pouvoir dit religieux, vivant alors selon des dogmes, d’autres se soumettent à un pouvoir politique, d’autres encore prétendent exercer un pouvoir sur les femmes. En Martinique, on parla même de pouvoir colonial à l’époque de Napoléon, le pouvoir culturel rarement mis en valeur mais qui existe

11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) 15 Conclusion 16 Annexe 17 Résumé des idées essentielles 17 Illustrations

largement sécularisée, pourraient invoquer sans rire cette autorité sacrée des lois. Le respect d'une loi fondée en raison semble plus solidement établi. D'Aristote ("Ethique à Nicomaque") à Montesquieu ("L'Esprit des Lois")  et Rousseau ("Du Contrat Social") en passant par Hobbes ("Le Léviathan") et Locke ("Second Traité du Gouvernement Civil"), toute une lignée de penseurs conçoit les lois comme résultant de conventions passées entre les hommes dans le but d'adapter aux contingences de ce monde les

pouvoir de l'État n'appartient pas à son détenteur, c'est qu'il définit un espace public, communs à tous; en ce sens, on peut dire de tout État qu'il est une République (« res publica », une chose publique). Il existe différentes conceptions de l'État, selon qu’est plus ou moins grande la part de liberté laissé aux individus. Pour Nietzsche l'État et un « monstre froid » car l'État pèse sur la liberté de l’individu. Aux yeux de l'État l’individu n’est pas une personne, mais un individu obéissant parmi