Violence structurelle

PLAN INTRODUCTION I. Approches notionnelles A. Paix comme contraire de la violence 1. Notion de paix et les implications 2. Violence et les situations conflictuelles B. Conditions de conciliation 1. La tolérance 2. La justice-Vérité-Liberté II. Apports des religions pour le maintien de la paix A. Définition et fonction de la religion – Critère de la bonne religiosité B. Contribution pour la paix sociale 1. Dialogue inter-religieux 2. Liberté

managérial et/ou organisationnel. La réponse managériale concerne les liens professionnels et notamment ceux qui regardent la hiérarchie ; la réponse organisationnelle suppose l’introduction d’un changement, plus ou moins étendu, dans la conception structurelle des liens qui prévalent dans l’entreprise. Nous allons maintenant voir comment ces réponses peuvent être construites en fonction de la « présentation » de la crise. Problèmes entre deux personnes Ces conflits sont les plus fréquents dans le

Lettre d’information Partenariat Participatif pour la Prévention de la Violence Sexuelle n°1, Février 2009 La Violence Sexuelle et Trans-migrants Subsahariens au Maroc : Un partenariat participatif pour la prévention Lettre d’information 1, Février 2009 Gand, Liège, Rabat Sous la direction d’Ines Keygnaert, Prof. Dr. Abdessamad Dialmy et Dr. Altay Manço 1 Partners in Reproductive Health asbl/ ICRH- Université de Gand - Ines.keygnaert@ugent.be Projet de Recherche avec le Soutien de la Loterie

l’existence, la culture et les ressources de la foi chrétienne à propos de la situation d’existence envisagée PLAN DE LA SEQUENCE : 1. Mise en situation : ma perception de l’exclusion. 2. Une forme d’exclusion : la délinquance et la violence chez les jeunes. 3. Analyse d’un extrait d’un témoignage de Guy Gilbert : « Des jeunes y entrent, des fauves en sortent » (causes et conséquences de l’exclusion). 4. Le combat de Jésus : un combat contre tous les mécanismes d’exclusion.

1 LA COMMUNICATION PAR LA VIOLENCE ET MEDIATION EN MILIEU SCOLAIRE Daniel MOATTI Article original, publié après modifications dans la revue Communication & Langages, sous le titre La Communication par la Violence.. Depuis dix ans les plans gouvernementaux de lutte contre la violence urbaine, en général, et contre la violence scolaire, en particulier, sont régulièrement lancés à grands fracas médiatiques. Bien souvent, ces lancements font suite à des faits divers dramatiques. En 1991 et 1992,

devient plus violent : par ses mots, il veut infliger une humiliation personnelle à tous ces bureaucrates sans scrupule, vengeant ainsi les petits soldats héroïques. L’énumération des moyens de cette vengeance, du vers 30 au vers 32, insiste sur la violence de ses intentions. La pointe finale, « Des larmes de honte et de boue », marque le résultat de cette humiliation et le renversement de l’ordre des choses : ceux qui dominaient la situation en période de guerre sont dominés par le poète. Transition

devient plus violent : par ses mots, il veut infliger une humiliation personnelle à tous ces bureaucrates sans scrupule, vengeant ainsi les petits soldats héroïques. L’énumération des moyens de cette vengeance, du vers 30 au vers 32, insiste sur la violence de ses intentions. La pointe finale, « Des larmes de honte et de boue », marque le résultat de cette humiliation et le renversement de l’ordre des choses : ceux qui dominaient la situation en période de guerre sont dominés par le poète. Ce texte

DHAENE Julie DC2-2 Mémoire La violence : « Arrêtes moi si tu peux » Présentation au DIPLOME D’ETAT D’EDUCATEUR SPECIALISE Session Juin 2012 1 SOMMAIRE Remerciements Introduction…………………………………………………………… 1 Institution : L’association J. Présentation de l’association………………………………………….. 3 La violence Comportements agressifs et violents Confusion des deux termes……………………………………………. .6 Lien pratique : Hakim1, un jeune adulte en quête de repères…………..9 Structure névrotique et structure psychotique

préalables sur la place de ce sujet dans le débat public actuel sur “ l’insécurité ” et sur la position de celui qui y intervient. Derrière la confusion que permet ce terme d’“ insécurité ”, il est en effet patent que c’est fondamentalement de “ la violence des jeunes ” – et surtout des “ jeunes de banlieues ” – dont il est question. Tout discours sur ce thème est donc surchargé d’enjeux et il apparaît nécessaire de signaler quelques logiques de construction de ces discours politiques et médiatiques

croissante des infractions commises. De nombreux enfants, objectivement, ne croient plus au discours sur les études porteuses d’avenir et ne parviennent plus, dès lors, à s’investir eux-mêmes dans un quelconque projet, à garder un vague espoir. Alors la violence cesse d’être contenue au sein ou vis-à-vis de la famille sous une forme intergénérationnelle. Elle sort dan la rue, et surtout investit l’école. Ces problèmes ne concernent cependant qu’une minorité de familles (entre 10 et 15% selon les études)