Violence Sur Scène

B. La dernière scène nous offre le récit topique de la mort du héros (esquisse plutôt que développement) - Cinq vers seulement mais qui forme une phrase qui semble plus ample qu'elle ne l'est grâce aux enjambements : ce qui crée une sorte de dilatation de l'action racontée. Du reste le récit est interrompu par Eurydice ; Le récit qui suscite l'effroi n'est pas matérialisé sur la scène mais transfiguré» par le récit et l'imagination du spectateur qu'il sollicite, Ainsi l'ultime

La violence comme structure narrative dans « Le renégat ou un esprit confus » d’Albert Camus « Le Renégat ou un esprit confus », l’une des plus obscures et des plus troublantes nouvelles rassemblées dans L’Exil et le royaume, constitue à plusieurs titres une mise en scène privilégiée de la violence comme stratégie narrative. Monologue étrange d’un missionnaire catholique dont la langue a été coupée par le peuple qu’il tentait d’asservir, critique ironique d’un délire fanatique – celui de religions

effronterie, détesté par d’autre pour sa banalisation de la violence et sa transgression du modèle hollywoodien par défaut. Quoi qu’il en soit, celui-ci est passé maître dans l’art d’enfreindre les règles sur tous les niveaux. Que ce soit en exploitant des scénarios aux thèmes tragiques d’une époque sombre de notre histoire ou bien au récit complexe et s’entremêlant de plusieurs fictions décousues, en collant du hip-hop moderne à une scène de fusillade western ou bien en déversant des litres et des

Don Juan Acte 1 scène 2 De : « Quoi ! Tu veux » à « conquêtes amoureuse » La scène 2 marque l'entrée en scène de Don Juan. Elle est la suite directe de la scène 1. Dedans, Don Juan fait son propre portrait qui confirme celui fait dans la scène 1 I – L'apologie de l'inconstance Dom Juan incarne le séducteur. DJ => Type même du séducteur, mépris de la fidélité et de la constance. -"Quoi?!" => Exclamation indignée. -Double négation => "Non, non" -Mépris de la vérité: Antiphrase

2. Une distribution de la parole qui rythme la scène La distribution de la parole est très étudiée : Koltès travaille la variation dans le rythme pour tenir le spectateur en haleine. La scène repose sur deux tirades symétriques. La longue tirade de Mathilde est interrompue par la fausse sortie des protagonistes à mi-scène : cela crée une sorte derebondissement dans l’action et le mouvement. Puis le rythme s’accélère avec la stichomythie. La cohésion de l’ensemble est assurée par le mouvement

Lecture analytique texte n°2 – scène d’exposition d’Ubu Roi d’Alfred Jarry. Obj : le symbole du trône la naissance du théâtre moderne les caractéristiques de cette scène d’exposition. Introduction : Pièce la plus connue d'Alfred Jarry. Création de la pièce en 1896, à la toute fin du XIXe siècle. Annonce les créations théâtrales du XXe siècle. Œuvre originale, loin des conventions classiques datant du XVIIe siècle (ex : Non respect de la règles des 3 unités.) parodie, satire du pouvoir

ZOLA Germinal, La révolte. (V° partie, chap. 5, de "Les femmes avaient paru … couperet de guillotine") INTRODUCTION (à développer) La scène est vue par les bourgeois cachés dans une grange. DEVELOPPEMENT I° partie - La force de cette description vient d'abord de sa composition. 1°§ - Zola compose le cortège de manière inattendue et cependant solidement structurée. Il place, en effet, en tête du groupe les "femmes" qui sont en principe les êtres les plus faibles, les plus doux

l'expression « deux heures qu'elle avait jeté l'ancre », qui est paradoxale puisqu'on a une indication de temps (« deux heures ») ; l'expression « c'était le même éclatement (idée de violence et notion d'éclatement du temps et de l'espace) rouge (notion de feu, de chaleur) », qui marque un phénomène de répétition du temps : même scène qui se répétait mais en plus atroce pour le héros. Etudions maintenant, comment réagit Meursault en face de ces éléments naturels qui écrasent le personnage. Dans un premier

contexte, la première proposition a un caractère insensé qui ne trouve pas sa place. L11 => vérité générale absurde car elle ne fait qu'énoncé une évidence: absurdité mise en relief par les pléonasme que Ionesco utilise. On pourrait croire en début de scène l18-20; l24-26; l27-29 que les personnages se répondent mais il s'agit plutôt de réponses automatiques et motivées par une logique de discussions et d'échanges qui nous montrent que le langage a perdu sa fonction de communication. Effectivement les

guerre en Espagne. Appel de Franco à Hitler. Le 26 avril 1937, les avions de l'armée allemande bombardent pendant plusieurs heures Guernica. 7m82 sur 3m51. Utilise le cubisme pour souligner l'horreur et la violence de la scène les yeux et les langues en forme de couteau pour la violence contrastes de lumières couleurs : noir pour le mal, la souffrance, la mort ; le blanc pour l'espoir, la vie ; la presse (pelage du cheval) pour le réel, l'actuel, l'ancrage dans la réalité. 3 parties : gauche