Virtue

* La vertu du prince (= homme politique) cf. fortune/virtù Un prince qui sait comment agir est un prince doté de virtù. Qu’est-ce que la virtù ? Ça n’est pas une vertu morale, ça n’est pas non plus la vertu civique. C’est la capacité à réagir aux situations qui sont souvent imprévisibles donc la capacité de s’adapter à la fortune. Etre capable de virtù c’est faire preuve de volontarisme, ne pas rester dans l’attentisme. La virtù est inséparable de la liberté et par conséquent du fait que

développés par Machiavel dans son œuvre. Sommaire  [masquer]  * 1 Biographie * 2 Machiavel et le machiavélisme * 3 Philosophie * 3.1 Fortuna et Virtù, deux notions indépendantes à l’origine de l’action politique ? * 3.2 La virtù définie par la Fortuna * 3.3 Le rapport Fortuna/Virtù * 3.4 Les concepts de Fortuna et Virtù dans la littérature et la philosophie * 4 Bibliographie * 4.1 Œuvres de Machiavel en italien * 4.2 Œuvres de Machiavel traduites en français

Février 2008 1. Arria - Mariée à Quina Caitus - Fils mort - Mari arrêté - Elle prit un bateau de pêche pour suivre le navire où se trouvait son mari. - Elle le rejoint et voulait se faire poignarder. - Elle respecte la virtus, la pietas, et la fides, car elle est très courageuse, et respecte les autres. - Cette femme est considérée comme héroïque, car elle voulait montrer à son mari comment mourir dignement, sans souffrir. 2. Belisaire. - Mort en 505

* commentaire du réviseur de la traduction : « Le mot virtù est le terme clé du vocabulaire machiavélien. Virtù et fortuna sont les deux forces antagonistes-mais aussi complices- qui concentrent le drame de l’action politique : la première est e principe actif qui rassemble l’énergie humaine, la seconde est constituée par les limites externes et intrinsèques qui s’opposent à cette action. La virtù étant plus que notre vertu, nous avons consercé le mot en italien dans le texte

d'articuler morale et politique autour de la notion de "virtù". Selon Machiavel, "Le Prince a toujours raison tant qu'il réussit". Grâce à sa pensée, Nicolas Machiavel a influencé la majeure partie de la philosophie politique ultérieure. Pour Machiavel, la politique se caractérise par le mouvement, par le conflit et des ruptures violentes. Afin de prendre, conserver puis stabiliser son pouvoir dans un État, le Prince doit faire preuve de virtù, pour s'adapter au mieux aux aléas de la fortuna. En effet

nouvelles. Ces héros fondateurs doivent leur succès à leur virtù, et pas à la fortune. Ils n’ont fait que saisir l’occasion. Ce sont eux qui sont le plus admirable, car ils ont une virtù exceptionnelle. La virtù se présente comme l’ensemble des capacités qui permettent à l’individu de maîtriser la fortune, la coïncidence des événements, de canaliser le désordre et l’instabilité inhérents aux relations politiques. L’opposition entre fortuna et virtù est une opposition entre dépendre des événements , et

Cours n°3 La force et la virtù Echapper aux situations périlleuses, premier devoir du prince, peut s’opérer par la « virtù », mot toscan que l’on peut traduire par « mérite », « vaillance » ou encore « valeur » (de racine latine virtu, la force virile). Le chapitre VI du Prince traite des conquêtes que l’on fait par sa propre « virtù », c’est-à-dire des cas où la monarchie nouvelle est fondée par un prince nouvellement arrivé au pouvoir. Machiavel y écrit : « la nature des peuples est changeante

excellent? D’après nous, Gandhi serait un être représentatif de l’excellence. Sujet divisé : En premier lieu, nous verrons que Gandhi était un homme qui dans sa carrière fut preuve de courage et d’audace et ce à l’aide de Descartes et sa notion de virtu. En deuxième lieu, nous aborderons les causes que Gandhi a défendu en mettant en relation son implication versus les gains qu’il pouvait en retirer, notion d’empathie envers les autres. En troisième lieu, nous aborderons la vertu avec Aristote celui

fondateur relève de la virtus des fondateurs (leurs armes et leurs talents). La fondation est la virtus propre au prince. La justice laisse la place à l’efficacité. La vertu à la virtus, apparait l’art de gouverner. Transition : Le réalisme machiavélien nous amène à poser qu’il faut substituer la nécessité à la nature. Mais comment sortir de la nature et quels doivent être les talents et dispositions d’un bon prince ? II- L’amoralisme du prince fondateur 1°La virtus ou savoir pratiquer

contre les contingences historiques et sociales. Virtu, fortuna et nécessité, ordre politique, juridique et économique seront les termes centraux de la consolidation du pouvoir. La virtu machiavélienne n’a rien avoir avec la vertu ou un quelconque rapprochement moral ; elle est plus d’ordre politique et trouve sa réalisation dans la capacité du Prince à savoir gérer les contingences de l’évolution des relations au sein de la cité. En un mot, la virtu est la capacité du Prince à savoir régner dans