Visages d'Orient

spectacles, aux promenades, aux assemblées ; son visage peut se manifester, peut soutenir le grand jour, il fera plaisir à voir, il n'y a qu'à le promener hardiment, il est en état, il n'y a rien à craindre. Trivelin, à Euphrosine : Elle développe assez bien cela. | 5 | Cléanthis : Madame, au contraire, a-t-elle mal reposé ? Ah ! qu'on m'apporte un miroir ! comme me voilà faite ! que je suis mal bâtie ! Cependant on se mire, on éprouve son visage de toutes les façons, rien ne réussit ; des yeux

Son visage est anguleux, fin et creusé, ses yeux sont en amande accentués par les ouvertures du masque qu'elle porte, les lèvres sont fines et reprennent la forme des yeux. Le masque est droit, il ne reprend pas les courbes du nez, nous pouvons distinguer des petits personnages imprimés sur le masque. Les cheveux sont lisses et plaqués et suivent la courbe du crane. Nous pouvons noter la présence d’une symétrie entre les deux mains de la femme qui sont tendues à la même hauteur du visage. Les mains

semblent avoir été épargnés. Sur sa prothèse, Dix a apposé une inscription. Le joueur du centre a posé une partie de ses cartes sur la table, les maintenant droites par le biais d’un support en argent. Il tient le reste de sa donne dans la bouche. Son visage, comme celui de son voisin de gauche, porte une prothèse qui remplace sa mâchoire inférieure sans parvenir toutefois à dissimuler une perte de substance importante de la joue gauche. Il porte une demi-moustache noire relevée. Son œil gauche est fixe

propriétaire de la pension bourgeois : Mme Vauquer. Il évoque tout d’abord le haut du corps : « bonnet », «cheveux », « face », « nez » ; le regard se déplace du haut vers le bas puis descend encore« la main » et le buste pour remonter sur le visage et les yeux. Finalement, le portrait s’achève sur le bas du corps avec la description des « jupons et jupes » ➢ De nombreux détails sur le lieu et le temps De nombreux détails sur le lieu et le temps produisent un effet de réel : l'heure

Lucien se tenait dans la pose gracieuse trouvée par les sculpteurs pour le Bacchus indien. Son visage avait la distinction des lignes de la beauté antique : c'étaient un front et un nez grecs, la blancheur veloutée des femmes, des yeux noirs tant ils étaient bleus, des yeux pleins d'amour, et dont le cristallin le disputait en fraîcheur à celui d'un enfant. Ses beaux yeux étaient surmontés de sourcils comme tracés par un pinceau chinois et bordés de longs cils châtains. Le long des joues brillait

être une pièce unique captant les traits précis d'un visage, le caractère, la profondeur du regard. Ensuite, les couleurs vives, fortes, parfois foncées sur certains portraits font presque disparaître son visage. Sur deux des portraits, le visage de l'actrice ressort bien(2,10). Étrangement, ce sont les deux qui se rapprochent le plus de la réalité, en terme de couleur (jaune pour les cheveux, beige pour la peau). Sur d'autres son visage est comme écrasé sous les couleurs si bien qu'il

« … il était d’une taille imposante qui donnait l’aspect d’une personne titanesque, il portait un gilet en cotte de maille et un pantalon en peau de bête. Un casque de protection cachait son visage poupin d’un teint mat. (…) Ses yeux étaient si brillants qu’ils reflétaient la lumière du jour, mais lors de sa colère ils reflétaient l’étoile de l’enfer. Son nez fin et allongé servait de perchoir à quelques taches de rousseur. » « … Il était un jeune homme d’une vingtaine d’années, grand et mince avec

sentiments de l’artiste mis en jeu dans cette scène. Mais revenons à ce premier tableau. LE TITIEN s’est inspiré de la mythologie grecque pour relater l’histoire tragique de Marsyas, satyre de Phrygie. Le satyre ou silène possède un buste d’humain, un visage barbu, cornu et le bas d’un cheval ou d’un bouc. Ainsi, le corps de Marsyas révèle ces signes distinctifs. Ce malchanceux ayant provoqué la colère d’Apollon en le défiant naïvement, se fit écorcher vif sur ses ordres. La peinture de l’artiste met

suivre le même ordre : commencer par la tête, passer par le tronc et se terminer par la description des jambes. On peut constater que ceci s’applique dans notre extrait. L’auteur commence par dépeindre la chevelure v. 87 pour passer ensuite à son visage v. 91 à v. 110, il finit par décrire, suivant la tradition, les jambes de la dame «  Gros braon, basse kevilette » v. 148. Cette description est de plus très précise, les formes du corps de la dame nous sont décrites avec une abondance de termes

vide lui aussi, posé bêtement à même le sol. Lorsque Rado lui téléphonait, c’était elle qui entrait dans son bureau. La mélodie de sa voix emplissait, éclatait, irradiait les murs, la fenêtre, bondissait sur le vert jaunissant des tilleuls, son visage s’imprimait partout, ses mains saisissaient les portes et la maison croulait de bonheur… Rado tira derrière lui la porte vitrée qui, en se fermant, laissa tomber des écailles de peinture défraîchie. L’odeur du jardin le saisit à la gorge ; une senteur