Visages d'Orient

Frears n’a pas tout respecté. En effet, certaines prises de libertés ont été prises. Bien plus que les mots, Frears, contrairement à Laclos, semble mettre l’accent sur l’expression du visage de ses comédiens. Si Laclos disait que « les lettres sont le reflet de l’âme », il en est de même chez Frears concernant le visage de ses personnages. Nous pouvons le voir grâce au générique de fin nous montrant Merteuil se démaquillant, signe de sa chute sociale. La thématique du masque tombant est donc bien présente

1929 et 1932, puis exposé à la galerie de l'Art dégénéré avant d'être caché des nazis voulant le détruire. Otto dix appartient au mouvement expressionniste. Description de l'oeuvre : On voit un paysage atroce et dénué de vie où un soldat, le visage recouvert d'un masque à gaz, demeure le seul vivant d'une tranchée. Des cadavres sont en train de pourrir ; un squelette est accroché à la branche d'un arbre: à droite la dépouille d’un soldat criblée de balles est étendue par terre. Il y a une absence

Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front. Panneau central :,A l'arrière plan du panneau central des ruines apparaissent. Ce sont les restes de maisons écroulées ou calcinées. On ne repère aucune trace de présence

témoin de la scène privé de toutes actions, figé dans une cape, visage masqué c'est encore une fois un personnage sans identité, il est à son tour comme privé de son humanité. Panneau de droite : Ce panneau contient une sorte de soldat sauveur transportant dans ses bras un soldat estropié. Ce personnage de sauveur se distingue de tous les soldats représentés dans le tableau. C'est le seul personnage dont on peut voir le visage et donc fixé une identité, enfin il est également l'unique personnage

sa vie. Lorsqu'elle est maiko, celle-ci est lourdement fardée alors qu'au titre de geisha, il devient plus sobre et représente sa maturité et sa beauté naturelle. a) La Maiko. photo d'une maiko La maiko à un maquillage assez distinctif. Le visage est maculé de blanc, la lèvre inférieure est en partie empourprée, la lèvre supérieure laissée blanche et les sourcils rehaussés de noirs. Au début de leur apprentissage, certaines maiko se noircissent les dents avec un mélange à base de noix de galle

ANALYSE «  Noire et blanche » Man Ray Noire et blanche est une photographie réalisée par Man Ray en 1926. Elle est alors publiée dans la version française de la revue Vogue sous le titre Visage de nacre et masque d’ébène. D’autres tirages et publications suivront, notamment en 1928 dans la revue belge Variétés, où elle apparaît définitivement sous le titre Noire et blanche. De format rectangulaire horizontal, l’image représente une jeune femme tenant un masque africain baoulé de Côte d’Ivoire.

hématomes (bleu) du sang(rouge, orange) et aussi gratte et chiffonne des stigmates de blessures (la bouche et l’œil gauche sont hypertrophiés). Sa joue gauche a été chiffonné pour donné une impression de vide sur sa joue. A partir des sourcils son visage est difforme, ses oreilles sont décalées. C’est une toile faite avec des huiles et des pastels Subjectif : Avec cet autoportrait il peut exprimer la souffrance lors de sa jeunesse par le rejet de son homosexualité par son père. Sa bouche parait

pour le visage et le corps qui comprend plus de 150 références) -Couleur caramel - Les différentes gammes : -Soin corps -Soin visage -Maquillage -Manucure Différentes prestations : Cabines : -soins du visage -soins du corps -épilations

sa plénitude inéluctable la photographie arrête ma rêverie. C'est une des raisons pour lesquelles – on l'a dit souvent – l'adaptation d'un roman à l'écran est presque toujours regrettable. Le visage d'Emma Bovary est indéfini et multiple, son malheur déborde son cas particulier ; sur l'écran je vois un visage déterminé, et cela diminue la portée du récit. Je n'ai pas ce genre de déception quand l'intrigue a été conçue directement pour l'écran ; il me plaît que Tristana1 ait les traits de Catherine

chatouillé les côtes. » ; « ce bleuissement, cette notation nouvelle de la lumière semblaient une insulte. » et une gradation ascendante qui visent encore et toujours à l’exagération : « fendre les mâchoires […], se rapetisser les yeux, s’élargir le visage ». Zola critique ainsi les visiteurs et leur étroitesse d’esprit car ils ne cherchent en aucun cas à en savoir plus sur ce tableau. Pour cela, il utilise des réifications qui déshumanise donc les spectateurs : « flûtes aiguës des femmes » ; « grincements