Visages d'Orient

représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté dans le panneau de gauche, l'arrière plan du panneau central est occupé par la représentation de ruines

occasionnellement des hommes | Panier moyen: | Environ 30 euros | Prestations qui fonctionnent le mieux: | Toutes sortes d'épilations puis quelques soins | Produits qui se vendent le plus: | Maquillage ainsi que produits de soins visage | La concurrence: La concurrence est moindre pour cette institut. Les plus proches concurrents se situe dans un secteur de 10 km et sont représentés par de grandes enseignes tel que Marionnaux, Beauty Sucess ou encore Douglas..

HISTOIRE DES ARTS THEMATIQUE : Arts, Etats et pouvoir DOMAINE : Arts du visuel PROBLEMATIQUE : Comment l'art représente-t-il ou dénonce-t-il la guerre ? Trouver une reproduction des joueurs de skat d'Otto DIX Présenter l'œuvre : -titre -nature -auteur ( courte , biographie)

politiques ont même leurs Geishas favorites et leurs maisons de thé dans un quartier de rencontre (Gion à Kyôto) Costume et Maquillage … L’apparence d’une Geisha est régie par des règles traditionnelles jugées strictes … Une coiffure remontée, un visage entièrement blanc et une bouche à moitié dessinée. Les Geishas portent des KIMONO de type KOSODE avec des couleurs éclatantes. Généralement la tenue des Geishas doit être différente de celle des Maikos. Chaque Geisha possède au moins une quinzaine

qu'ils étaient mal coiffé et décoiffé. Sa pâleurs livide s'apparentait à celle d'un cadavre. Ses grand yeux triste se détournait des barreaux de sa fenêtre . La tristesse se ressentait dans ses yeux larmoyants. Son nez épatée ressortait de son visage avec le froid qu'il faisait dehors. Ses joues creuses s'expliquait par leur manque de nourriture qu'elle subissait avec les Thénardier. Sa bouche exsangue faisait ressentir la tristesse et l'angoisse qu'elle subissait tous les jours. Ses petites

dans une même famille. La silhouette semble dessiner la forme de la carte géographique de l'Espagne. 3- Comment est -elle représentée? • C'est une silhouette hideuse qui inspire le dégoût. - La tête est affreuse: la peau est ridée, les rictus du visage (la bouche ouverte et les yeux fermés) évoquent la souffrance presque la mort. -Les mains et les pieds sont aussi ridés , noueux, crochus presque squelettiques. 4- Que voit-on au fond? • • Un ciel orageux avec des nuages gris qui annonce une tempête

enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. * le soldat mort : Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête

huit huit et huit font seize… Répétez dit le maître ! Au milieu des ritournelles qui tentent de capter les années envolées, qui nous restituent l’odeur de l’enfance, qui par la magie des mots font naître en moi lecteur des souvenirs similaires, un visage, un nom, un mot universel, Maman, Maman est là, maman qui revit par le souvenir mais aussi par "son" livre, Le livre de ma mère ; tellement là avec ses sourires, ses gâteaux (allusion à une autre célébrissime pâtisserie, la madeleine de la tante de

la vraisemblance. Le vieillard observé par Nicolas Poussin est à la fois complexe et réaliste, car tous les détails physiques tels que « une bouche rieuse et ridée » (l. 8) offrent une description peu flatteuse, mais également un relief exagéré du visage « un front chauve, bombé, proéminent, retombant en saillie sur un petit nez écrasé » (l. 6-7). Il en va de même pour Mme de Merteuil qui elle n'a pas de portrait physique mais un portrait moral : elle apparaît égocentrique (omniprésence de la première

Commentaire de texte sur La rue Case-Nègres de Joseph ZOBEL Objectif : Prouver qu'à travers la description des mains de M'man Tine, nous est évoquée une vie de labeur et de sacrifice. Revenu à moi, je m'obstinais encore à me représenter le visage de M'man Tine morte. Toujours, cette image se refusait. J'essayais alors de transposer celui de M. Médouze, étendu comme un Christ noir sur une planche nue,au milieu de sa case. J'étais sûr, toutefois, que ma mère avait sorti le drap blanc que m'man