Vive La Paix Aragon

te cherchais partout, Carlos, roi des Castilles! Car la haine est vivace entre nos deux familles. Les peres ont lutte sans pitie, sans remords, Trente ans! Or, c'est en vain que les peres sont morts. Leur haine vit. Pour eux la paix n'est point venue, Car les fils sont debout, et le duel continue. Ah! c'est donc toi qui veux cet execrable hymen! Tant mieux. Je te cherchais, tu viens dans mon chemin! DONA SOL. Vous m'effrayez. HERNANI. Charge d'un

quartier s’y opposent. ð No se admiten sordos-mudos en esta escuela, la gente del barrio se opone a ello. On ne voit jamais âme qui vive dans le coin. ð No se ve nunca a bicho viviente por aquí. On les voyait tous les deux discuter tous les jours au même endroit. ð Se les veía a los dos discutir todos los días, en el mismo sitio. Il est difficile d’apprécier la paix quand on n’a jamais connu la guerre. ð Es difícil valora la paz cuando no se ha conocido nunca la guerra. Au début ils venaient

Cécile. Il fut muté à Mantes-Gassicourt, comme magasinier. Il publia à compte d'auteur, à cinq cents exemplaires, une brochure de quatre pages : _________________________________________________________________________________ “Poèmes pour la paix” (1918) Recueil de onze poèmes Commentaire Éluard marquait qu'il avait été traumatisé par l'expérience des champs de bataille. Mais le recueil est aussi le chant d'un homme qui reprenait possession de la vie et de la joie, qui appelait le

Pierre Desproges, 1985. 3. Le Cid, I, 5, Pierre Corneille, 1637. 4. «Le Dormeur du Val», Arthur Rimbaud, 1870. 5. Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline, 1932. 6. Candide, extrait du chapitre 3, Voltaire, 1759. 7. Les Yeux d’Elsa, «C», Louis Aragon, 1942. 8. Deux Amis, de Guy de Maupassant, 5 février 1883. 9. La dernière classe, récit d’un petit alsacien, 1873, d’Alphonse Daudet. Documents iconographiques, sonores et audiovisuels : Version filmée de l’Appel du 18 juin. Stanley Kubrick, Barry

élargir leurs territoires. Ils pratiquaient la faida =vengeance privée. Les guerres provoquent, la famine, les maladies… Une population pouvait donc être ravagée, c’était un fléau. L’église va tenter d’intervenir, et impose deux choses : * la paix de Dieu : interdiction faites par l’église d’attaquer un certains nombre d’individus (membre du clergé, femmes, pèlerins, marchands, laboureurs.) * la trêve de Dieu : pas de guerre pendant les fêtes religieuses. Tentative d’interdiction du mercredi

spécial, indéfinissable, que provoque de notre part la vue de très rares objets ou notre arrivée dans tel et tel lieux, accompagnées de la sensation très nette que pour nous quelque chose de grave, d'essentiel, en dépend, jusqu'à l'absence complète de paix avec nous-mêmes que nous valent certains enchaînements, certains concours de circonstances qui passent de loin notre entendement, et n'admettent notre retour à une activité raisonnée que si, dans la plupart des cas, nous en appelons à l'instinct de

rayonnement mondial. L’URSS cherche à faire croire qu’elle est la patrie de la paix alors que les capitalistes veulent des pays occidentaux préparent la guerre. Lors de l’appel de Stockholm en 1948, tous les communistes du monde lancent une grande opération de communication (pétitions, conférences,…) pour défendre la paix. En fait, l’objectif est de faire de la propagande pour persuader que l’URSS est pour la paix dans le monde. En même temps, elle possède la première armée du monde même si elle

mon père sur son fils. Je te cherchais partout, Carlos, roi des Castilles! Car la haine est vivace entre nos deux familles. Les pères ont lutté sans pitié, sans remords, trente ans! Or c'est en vain que les pères sont morts, la haine vit. Pour eux la paix n'est point venue, car les fils sont debout, et le duel continue. Ah! C'est donc toi qui veux cet exécrable hymen! Tant mieux. Je te cherchais, tu viens dans mon chemin! DOÑA SOL __ Vous m'effrayez. HERNANI __ Chargé d'un mandat d'anathème, il faut

cinquième acte commence avec la recherche du bouc émissaire, Janet, et s'achève avec sa mort (page 179) (avant même que Gondran ait pu le tuer) et celle de Gagou (page 184). Comme dans la tragédie, la mort des coupables libère du mal et réinstalle la paix. Les personnages vivent plongés dans l'instant de crise, pris à la fois dans le temps cyclique et tragique, en dehors du temps historique. Les Bastides sont assaillies par la sécheresse et le feu. Gondran déclare avoir vu bouger la colline (page 173)

|Et pas plus que de toi l'amour de la patrie | | |Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs | | |Il n'y a pas d'amour heureux | |