Vivons Heureux Vivons Cachés

| |Kerry: Nous sommes ici avec David,nous sommes très heureux d'être invités dans son humble demeure, qui n'est pas si humble (je ne dirais pas où) David: Bienvenue! | |

droit de dire la vérité à des gens qui la disent trop peu et l’entendent très rarement Celui qui confesse son ignorance , le montre une fois . Celui qui essaye de la cacher , la montre plusieurs fois La passion , c’est comme une maladie ; il est beaucoup plus facile d’y succomber que de s’en débarrasser On est si heureux de donner un conseil a quelqu’un , qu’il peut arriver après tout , qu’on le lui donne dans son intérêt Les amitiés renouées demandent plus de soin que celles qui n’ont

Flandre-là constituent aujourd’hui une minorité oubliée et ignorée. Rares sont les francophones qui affichent publiquement leur identité francophone. Plusieurs d’entre eux affirment être des "Flamands comme les autres". "Pour vivre heureux, vivons cachés, reste le mort d’ordre des francophones". Francis De Clippele, 1999 Les rapports de force entre francophones et néerlandophones se sont inversés en Flandre de 1930 à 1965 par la flamandisation de l’Université de Gand. Cette flamandisation

acquis L’homme est devenu dans le temps, • Copiste, ‘Mimeur’, créateur L’homme ne se contente de recevoir et de transmettre par instinct ou nécessité d ’adaptation, il interprète l’acquis, le transforme, le modifie, avant de le retransmettre. Nous vivons dans un monde référentiel fait de rites divers. Nous devons nous y adapter (hors jeu..) Master 1 Patrick San Isidoro – 2008 10 L’effet miroir Les rites divers sont avant tout comportementaux • Expression • Posture • Manifestation kinésique

faut rien jeter pour retarder la mort » J.C Averty Fait incontestable, il y a tant d'objets sur notre planète qu'une vie ne réussirait pas à les répertorier tous. Aussitôt produits, aussitôt achetés, consommés, échangés ou collectionnés. Nous vivons dans un univers d'objets et chacun le parcourt à sa manière, selon des usages et des coutumes différents. Nous nous entourons d'objets par besoins, qu'ils soient utilitaires, affectifs, intellectuels, religieux... et ceux que nous choisissons portent

18 mars 1892 sur la situation de l’art dans une société dominée par l’argent. Voir aussi la lettre de Mirbeau du 20 novembre 1891 (Correspondance avec Camille Pissarro, op. cit., p. 59 : “Ah ! cher ami, dans quelle sale époque nous vivons ! L’âpre argent a tout perverti, tout sali, tout 9 créatifs, c’est-à-dire artistes) peuvent espérer comprendre les idées nouvelles. Ceci nous amène à notre second point. Retracer les étapes d’une conversion est une chose, en comprendre

il faut mourir. Quand la vie domestique pèse à un mari, il va au-dehors guérir son coeur de son dégoût et se tourne vers un ami ou un camarade de son âge. Mais nous, il faut que nous n'ayons d'yeux que pour un seul être. Ils disent de nous que nous vivons une vie sans danger à la maison tandis qu'ils combattent avec la lance. Piètre raisonnement ! Je préférerais lutter trois fois sous un bouclier que d'accoucher une seule. Mais je me tais, car le même langage ne vaut pas pour toi et pour moi : toi

LXXVI. LXXVII. LXXVIII. LXXIX. LXXX. LXXXI. LXXXII. LXXXIII. LXXXIV. LXXXV. LXXXVI. LXXXVII. LXXXVIII. LXXXIX. XC. XCI. XCII. XCIII. Diogène, 30 novembre 1922 L'égoïste, 5 février 1913 Le roi s'ennuie, 22 janvier 1908 Aristote, 15 septembre 1924 Heureux agriculteurs, 28 août 1922 Travaux, 6 novembre 1911 Oeuvres, 29 novembre 1922 Regarde au loin, 15 mai 1911 Voyages, 29 août 1906 La danse des poignards, 17 avril 1908 Déclamations, 29 septembre 1911 Jérémiades, 4 janvier 1912 L'éloquence des passions

naturelles : tu détruisis tout notre ouvrage. Il fallut nous dépouiller de ces ornements qui t'étaient devenus incommodes ; il fallut paraître à ta vue dans la simplicité de la nature. Je comptai pour rien la pudeur ; je ne pensai qu'à ma gloire. Heureux Usbek, que de charmes furent étalés à tes yeux ! Nous te vîmes longtemps errer d'enchantements en enchantements : ton âme incertaine demeura longtemps sans se fixer ; chaque grâce nouvelle te demandait un tribut ; nous fûmes en un moment toutes couvertes

naturelles : tu détruisis tout notre ouvrage. Il fallut nous dépouiller de ces ornements qui t'étaient devenus incommodes ; il fallut paraître à ta vue dans la simplicité de la nature. Je comptai pour rien la pudeur ; je ne pensai qu'à ma gloire. Heureux Usbek, que de charmes furent étalés à tes yeux ! Nous te vîmes longtemps errer d'enchantements en enchantements : ton âme incertaine demeura longtemps sans se fixer ; chaque grâce nouvelle te demandait un tribut ; nous fûmes en un moment toutes