Vivons Nous Dans Une Société Du Spectacle

Nous vivons dans un monde où l’image semble prédominés, où l’image fait le tour du monde à la vitesse de la lumière, mais se trouve oublié le lendemain par de nombreux progrès technologique. Chaque jour l’évolution de la technologie fait un pas en avant tandis que les lettres paraissent ne plus avoir de grande évolution visible. Dans ce contexte, prendre le temps de lire peut paraître anachronique voir réactionnaire. Ainsi on peut se demander si la littérature contemporaine possède encore une place

conciergerie à la place de Grève où se dresse l'échafaud, la foule rit et applaudit: le condamné est donné en spectacles à cette foule. Devant le spectre de la mort, le condamnée tremble et demande grâce mais il sait déjà qu’il va mourir. Le bourreau accomplit alors sa tâche pour décapiter le condamné III- Perspective Générale. La peine de mort. Ce livre à une place très importante dans la société de l’époque ou le livre a été écrit. La peine de mort ce révèle injuste, les personnes ayant lu ce livre

le temps ; quel son ses apports à l’homme et à la société.  L’Art ne sert a rien ?   Nous  commencerons  notre  analyse  par  « l’inutilité »  de  l’art.  Il  est  aujourd’hui  clairement mal  vu, au risque  d’être  traité  de grossier, de  dire que  « l’art ne sert  à rien ». Pourtant c’est  le point de vue de plusieurs philosophes,  et  non des moindres : Platon et Marx jugent, à leur manières de la futilité de l’art pour l’homme et la société.  Ainsi,  Platon,  dit :  « L’art  est  bien  éloigné du vrai

Dans la société où nous vivons présentement, il s’agit d’un monde démocratique et occidental où il est facile de croire que nous sommes libres de penser librement. Cependant, sommes-nous réellement libres de penser ? Pour répondre à cette question, nous allons analyser les différentes opinions de ces fameux philosophes ; Spinoza et Voltaire. Nous allons définir deux concepts universels pour être apte à mieux appréhender la liberté de penser. Être libre signifie ne pas être la propriété de quelqu’un

l’individu a se surpassé pour être le meilleur dans la société dans la quel nous vivons car c’est sur l’esprit de compétition que notre société est basé. Donc quoi de plus normal pour le sport et sa compétition d’être un bon moteur au développement de l’individu tout au long de sa vie. Le Sport, l’esprit de compétition, les règles, qui maintiennent un équilibre dans n’importe quelle discipline et le meilleur moyen d’avoir un esprit sain pour vivre en société et donc être un bon citoyen. L’esprit de compétition

l'humanité. L'une d'elle est le roman. Car celui-ci est fondées sur des faits imaginaire et peut donc plus facilement amener à la réflexion, sur la société par exemple. La fiction du personnage n'est en fait que le reflet de la société dans laquelle nous vivons, comme dans La Ferme des animaux de Orwell, où les bêtes ne font que reproduire la société humaine. Car comme le dit si bien Stendhal: « Si le héros n'est pas le romancier, il peut être comme son image dans un miroir, […]. » C'est à dire que

l'information, et particulièrement des médias télévisuels, se sont développés des sports spectacles, tels que le football, le tennis, le basket, la formule 1,… Les évènements sportifs ont été de plus en plus regardés à travers toute la planète, drainant ainsi des centaines de millions de spectateurs et des énormes recettes publicitaires. Ainsi sont apparus, depuis le milieu des années 1980, le sport spectacle, la corruption et le sport "business". Ces énormes enjeux financiers ont également été

extrêmement populaire, voire dans certains pays le sport national. Le football professionnel a toujours eu une place importante dans la société, notamment au niveau social. Et ce phénomène ne se limite pas à un seul pays, c'est le monde entier qui est touché. La présence de l'argent dans le football professionnel est renforcée par le fait que nous vivons dans une société capitaliste. L'argent est présent sous forme de salaires, de contrats, de transferts, de primes, de publicités ou encore de droits télés

lit en baldaquins) laissent notre imaginaire divagué, nous pouvons penser qu’ils survolent le château des duchesses. C’est une pièce tout à fait originale. De nombreux thèmes sont abordés en passant de notre société de consommation à la frustration de nos désirs sexuels. Mais ce spectacle nous parle avant tout du dépérissement, de la mort et des instants la précédant. Jodorowsky nous présente une façon d’appréhender la mort différente de la nôtre, que nous n’avons pas. Ses racines sud-américaines

en rire et surtout savoir rire de soi-même. Comme Florence FORESTI a pu dire « Le rire, c'est mon expression numéro un pour séduire et pour consoler », son humour consiste essentiellement à essayer de rendre la vie un peu plus drôle le temps d’un spectacle, de créer un « lien » entre elle et son public. De même la célèbre citation « Plus on est de fous, plus on rit ! » montre que l’on rit pour communiquer, pour échanger. De même, on invente des blagues et des jeux de mots dans un seul et unique but