Vivre Au Présent

Peut on vivre sans religion ? Si nous nous basons sur la définition exacte, une religion est un ensemble de rites,de croyances composé de règles (éthiques ou pratiques), de récits, de symboles ou de dogmes adoptés comme conviction par une société, un groupe ou une personne. La religion occupe une place très importante dans la culture des sociétés humaines, puisque la majorité d'entres elle ont été fondées sur des mythes religieux. Alors qu’est-ce qu’être croyant ? C’est le fait de penser qu’il

rupture entre l’homme et la nature est présentée symboliquement dans le mythe de Prométhée, raconté par Protagoras dans le dialogue de Platon qui porte son nom. Ce passage aboutit à définir le genre humain comme celui qui est apte à vivre dans la cité (polis), c-à-d à vivre politiquement (et non pas naturellement). ® Lire le texte (polycopié). Questions : 1) Comment sont caractérisés les hommes au début du texte, par rapport aux animaux (quelle est leur place dans la nature) ? 2) Quelle est la

grandes, pour plus de rendement, ou encore de plaisir. Cependant, la vitesse dans les transports est néfaste. Tous les ans, cette vitesse est la principale cause des accidents meurtriers sur nos routes, le nouveau fléau de notre époque est donc bien présent. Il est maintenant la principale cible des policiers, afin de réduire ce nombre d’accidents. A ceci s’ajoute que le temps gagné sur les routes est surévalué. La vitesse dans les transports ne sert donc pas à grand-chose : 6minutes gagnée en roulant

En -399, Platon a écrit trois dialogues dans lequel il raconte les derniers événements de la vie de son maitre, Socrate. L’Apologie de Socrate présente le procès intenté par 3 Athéniens qui l’accuse d’impiété et de corruption de la jeunesse. Socrate sera alors reconnu coupable et condamner à boire la ciguë. Le deuxième dialogue est le Criton. C’est celui dont je fais l’analyse aujourd’hui. Criton et Socrate discute et de cette discussion nait la question de départ qui est : Es-ce que Socrate doit

chemins de la sagesse et de la sérénité de l’âme alors que le monde extérieur (l’ordre de la cité) échappe à la volonté du sage. La philosophie d’Epicure est avant tout une éthique (une recherche des principes nécessaires pour bien vivre c’est-à-dire vivre heureux) et la Lettre à Ménécée expose l’essentiel de cette éthique. La philosophie d’Epicure est un eudémonisme (toute doctrine qui identifie le souverain bien avec

l’endroit”) ; il ne le «connut» donc qu'en photographie. Venue s’installer à Alger, dans le quartier populaire de Belcourt, sa mère, Catherine Sintes, qui était d'origine espagnole, qui ne savait ni lire ni écrire, qui parlait peu, faisait des ménages pour vivre. Avec son frère et le reste de sa famille, ils vivaient à six parfois sept, dans un trois-pièces sans eau ni électricité : «Je n'ai pas appris la liberté dans Marx. Il est vrai : je l'ai apprise dans la misère» (“Actuelles I”). Mais le jeune Albert

partout et nul ne peut les épargner au risque d'en être punis Qui est-ce qui fait la loi ici? Telle est la phrase que l'on voit sortir regulierement de la bouche de certaines personnes. Une société a besoin de lois pour que tout le monde puisse vivre en harmonie et en sécurité. Une loi, c'est quoi? Une loi, c'est une règle édictée par une autorité, que tout le monde doit suivre. Si celle-ci n'est pas réspectée, des punitions existent telles que la prison, l'amande ou la retenue. Tout d'abord

au lieu de ça, elle reste et elle attend ; elle vit ce supplice jusqu'au moment où elle n'en peut plus, où elle a beaucoup trop supporté, où elle sent qu'elle ne peut plus continuer de vivre comme ça. Car elle pense trop souvent à cette phrase : qui la meurtri de plus en plus chaque jour : « à quoi ça sert de vivre pour souffrir ? ». Et elle sait que même si elle essaye d'arranger les choses, tout finira toujours par retomber, elle en a fait l'expérience. Elle n'en peut plus, elle est à bout de forces

mot bonheur renvoie à une forme de chance et de fortune comme s’il dépendait essentiellement du destin, du hasard ou des circonstances. Pourtant la réalisation de notre bonheur semble exiger une certaine volonté, persévérance et un certain art de vivre. Le bonheur est-il relatif à nos désirs ? Y a-t-il plusieurs chemins vers le bonheur ? Peut-on être heureux sans le savoir ? Est-il plus facile d’obtenir un bonheur matériel ? Peut-on préférer la justice, la liberté, ou la vérité au bonheur ? Le bonheur

cherchons des recettes, alors que nous vivons au présent en attendant demain.Mais à trop fouiller hier pour nous y découvrir, ne risquons-nous pas de nous perdre dans notre passé ? Au risque de ne pas vivre l’instant présent et de nous fermer les portes de l’avenir.Dans un article récent sur ce blog, j’ai montré qu’une quête excessive et inquiète de soi pour découvrir qui l’on est peut nous conduire à nous prendre au piège du passé et nous empêcher de vivre maintenant et demain. Que faire alors ?Renoncer