Vivre libre ou mourir

l’Hôpital des enfants du CHU Purpan à Toulouse. Son travail se fait plutôt en direction d’adolescents à partir de 13 ans et privilégie l’expression individuelle et intime. Les textes ci-dessous, écrits par des enfants hospitalisés, soit en mal de vivre, soit en lutte à des maladies graves, témoignent de résistance possible ou impossible. Ne vous inquiétez pas de ma maladie qui ronge vos cœurs, Car l’espoir qui est en moi nous donnera à tous La force de remonter à la surface. Osez, chaque jour. Ne

Camila Andrade et Nicolas Gillet TL Devoir de Philosophie Dialogue Y a-t-il une cause pour laquelle il vaille la peine de mourir? C’est la rencontre entre un vieil homme (H) et la fille à son meilleur ami (F), décédé depuis quelques semaines. La scène se déroule dans un restaurant, après que nos personnages aient pris leur dîner, ils discutent depuis une demi-heure. H: Ça fait longtemps que je n’ai pas de nouvelles de votre mari. F: La semaine dernière il est parti à la guerre

lépreux, elle ne les achevait pas. De plus, on n’assure pas la dignité d’un homme en lui donnant la mort. On doit garantir la dignité dans la vie et non par la mort. Au prétendu droit de mourir dans la dignité, suivant sa religion, le patient aimerait qu’il est une mort naturelle, il faut opposer le droit de vivre dans la dignité. Il n’y a pas d’autre choix concevable que d’être aux côtés de ceux qui se battent chaque jour pour assurer la dignité d’une personne mourante, plutôt que de ceux qui, de

grandes choses, il faut vivre comme si l'on ne devait jamais mourir ?»? Je suis d'humeur à semer les aphorismes (des autres que moi) comme autant de petits cailloux sur un chemin bourbeux.. Vauvenargues nous gratifie en tous les cas ici d'une leçon à contre pied de tout ce que les philosophes grecs antiques nous avaient inculqué comme "leçon de vie", à savoir que nous vivons pour mourir, et c'est ce qui nous pousse à trouver du sens, un idéal de vie (et peut être à vivre mieux, plutôt que de végéter

les conséquences sur le taux de suicide des protestants ? Bien que le protestantisme et le catholicisme se rejoignent dans certains points, tels que la prohibition du suicide, la peine morale en cas de suicide … Ils diffèrent sur un point : le libre examen. Les protestants sont plus libres dans leurs actions et dans leurs pensées. Ils peuvent se permettre moins de rigueur et donc plus de mauvaises actions qui peuvent mener au suicide. Car le protestantisme ne demande pas réellement une soumission

nous paraître évident. Cette évidence nous déprime, nous fait peur et rien que la penser nous paralyse d'angoisse car elle apparaît parfois inexplicable car toujours inévitable. Pour être zen, et loin de ces questions sur la mort, on essaye alors de vivre notre quotidien, d’être insouciant. Par rapport à la mort, être insouciant, c'est se libérer de la pensée de la mort, ne pas se projeter dans un après, qui pourra autant être tout de suite, demain ou dans quelques décennies, afin de profiter du moment

s’échapper de la prison, ni de la mort. « Mais tout le monde savait que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Dans le fond, je n’ignorais pas que mourir à trente ans ou à soixante ans importe peu puisque, naturellement, dans les deux cas, d’autres hommes et d’autres femmes vivront, et cela, pendant des milliers d’années. » Il savait qu’il allait mourir un jour, donc à la fin du livre, quand il était condamné à mort, il n’avait pas peur et il acceptait sa mort. « Elles annonçaient des départs pour

Analyse des poèmes. Le temps de vivre, Boris Vian : Il a dévalé la colline Ses pas faisaient rouler les pierres Là-haut entre les quatre murs La sirène chantait sans joie Il respirait l’odeur des arbres Avec son corps comme une forge La lumière l’accompagnait Et lui faisait danser son ombre Pourvu qu’ils me laissent le temps Il sautait à travers les herbes Il a cueilli deux feuilles jaunes Gorgées de sève et de soleil Les canons d’acier bleu crachaient De courtes flammes de

B) Le droit de Mourir dans la dignité « Je vous réclame le droit de mourir » écrivait Vincent Humbert au Président de la République, Jacques Chirac. Comment faire d’un droit ce qui est un fait, ce qui est intrinsèque à l’humanité, puisque tous les hommes meurent un jour ou l’autre. Il faut alors ici comprendre le « droit de mourir » comme un droit de mourir avant l’heure, de décider soi-même qu’il est temps de partir. Précisons les termes, puisque nous parlons de « droit de mourir dans la dignité »

Quel sentiment fabuleux que celui de se sentir libre, car celui qui est libre, est délivré de tout. La liberté est un beau rêve, mais seul peu d’entre nous parviennent à l’atteindre et encore…la plupart se perdent en cour de route, car la liberté est un mode de vie très particulier qui pousse à faire des choix. Malheureusement, certains sont entrainés par d’autres et ne font pas les bons choix et se retrouve en fuite. Cependant la vie de quelqu’un de libre est plus attrayante. Quant à la citation de