Vivre libre ou mourir

Algérie en 1913 (Algérie = colonie française) Issu d’un milieu pauvre Son père est un ouvrier agricole 1914 : son père doit rentrer en France pour être soldat à la guerre Camus orphelin de père car tué à la bataille de la Marne Enfance libre, de gamin de rue, heureuse, pleins de copains Sportif (nage dans la mer, foot, courir,…) Il réussit bien les primaires mais pas sa mère n’a pas de sous pour lui offrir des études secondaires Mr Germain (professeur de Camus) l’inscrit à un concours

de Varsovie, expliquer si le peuple juif est libre ou contraint d’aller dans ces ghettos mais aussi montrer les conditions de vie dans ce ghetto. Le 1er septembre 1939, l’Allemagne envahit la Pologne, c’est le début du calvaire pour les juifs polonais. Le 2 octobre 1940 est ordonnée, en Pologne, la mise en place du ghetto de Varsovie. Les ghettos sont des quartiers imposés aux juifs par les autorités politiques de l’État. Les juifs doivent ainsi vivre séparément de la population non juives. Le

légitime ? Choisir sa mort, à un âge avancé, pourrait être davantage lié à des valeurs d’efficience et de rentabilité qu’à des valeurs de qualités, d’humanité ? Qu’en est-il par exemple de ceux qui restent ? (culpabilité ?) L’individu est-il réellement libre ? Cet homo individualis, si responsable de sa vie et de ses choix au point de devoir lui-même s’occuper de ses derniers instants, de sa mort et de ce qui la suivra sans possibilité de s’en remettre à autrui (médecin, prêtre, amis, parents) ne devient-il

homme de relations sociales et le détournent du monde. Le comte de P. finit par se rendre compte de la liaison qu'entretient sa femme et cette situation met le couple illégitime dans l'embarras. Ellénore finit par quitter son compagnon pour pouvoir vivre son nouvel amour au grand jour. Sa trahison est fort décriée par la bonne société au point que les dames la fuient et que les hommes s'intéressent à elle dans le seul but de s'attirer ses faveurs (allant jusqu'à se battre pour elle). Bientôt, Adolphe

moment donné (mort) L’existence et la mort sont des notions antagonistes (qui s’opposent) et pourtant elles doivent être pensées ensemble Il n’y a pas d’existence sans mort. Si la mort est nécessaire, ne devons-nous pas y trouver une raison de vivre mieux de savourer la vie ? I) Penser le temps : 1) le temps objectif : a)Le temps et l’espace : Le problème que pose le temps est celui du mouvement, du Changement. Comment rendre raison de ce qui ne cesse de changer ? Héraclite

la vie. [François Hertel] Ecrire, c'est s'exiler [Linda Lê] L'horreur de l'homme pour la réalité lui a fait trouver ces trois échappatoires : l'ivresse, l'amour, le travail [Edmond et Jules de Goncourt] La vie est un rêve, mais rêver n'est pas vivre. [Constantÿn Huygens] Nous croyons que le monde moderne, avec ses multiples moyens de communication, a inventé le voyage, voyage officiel, voyage d'affaires, voyage touristique, voyage individuel d'exploration ou de découverte. En fait, il n'en

fabrication d'un objet utile. La technique est aussi l'application de la science. Quels liens y a t-il entre travail et technique ? 2. Le travail comme contrainte et comme fatalité a ) L'idée de la nécessité contraignante Pour vivre, il faut manger, c'est à dire satisfaire un besoin primaire. Mais la satisfaction d'un tel besoin primaire demande du travail. En effet, le pain , la pizza, le riz , ne se trouvent pas gratuitement dans la nature. Il faut travailler pour les avoir

s’obstina à espérer Tradition judiciaire : on fait en sorte que le condamné ne sente autour de lui ni haine ni arbitraire, mais la nécessité et la justice, et le pardon dont accompagne la punition. Lager : contraire. « les hommes savent qu’ils vont mourir. » « Chacun prit congé de la vie à sa façon ». Douleur du peuple qui n’a pas de patrie, douleur sans espoir de l’exode que chaque siècle renouvelle. « L’aube prit en traître, comme si le soleil était complice ». Acceptation consciente, révolte

la limiter ; si elle est trop forte, on peut l’endurer ou bien on en meurt, mais il faut à tout prix tâcher de l’éviter. Ne pas vivre dans l’excès : le bonheur terrestre est possible ; les sens permettent de l’atteindre mais l’excès devient un mal. Il faut donc vivre dans la simplicité, dans la tempérance (c’est l’adage : « Nihil nimis » : rien de trop). Il faut vivre dans l’otium (le loisir) en se cultivant et en modérant des désirs et ses plaisirs. Il faut bien distinguer les désirs naturels et

l’Etat condamne des personnes à la peine de mort, l’Etat commet elle-même un crime. Qui a le droit de dire qui doit vivre ou qui doit mourir ? Personne. En se posant la question « qui a le droit de dire qui doit vivre ou mourir ? » on se pose une question juridique et le concept de vie ou de mort relève de la religion, les croyants diront « seul Dieu décide qui doit vivre ou mourir, Dieu donne la vie et décide quand il doit la reprendre. ». Bien que le droit et la religion aient des points communs