Vocabulaire Utilisé Dans La Tragédie

servant-maître est d’autant plus renforcé par le passage du tutoiement au vouvoiement. En effet, lorsque Arnolphe veut séduire son aimée, il la tutoie, et lorsqu’il se met en colère, il la vouvoie. Le canevas de cette scène relève bien de la tragédie : en effet, Arnolphe utilise tous les arguments pour obtenir l’amour d’Agnès, mais n’y parvient pas, ce qui fait de lui un personnage pathétique. Le pathétique va naître de la confusion entre le champ lexical de la passion amoureuse « tendresse », « amour »,…

caractéristiques qui sont propre à Musset. Lors de la première scène de la pièce, Lorenzo apparaît comme l’entremetteur du Duc de Médicis, il montre un facette de lui qui aspire à la débauche, mais comme un personnage éloquent à la foi qui utilise un vocabulaire soutenu et des métaphores « Une jeune chatte qui veut bien des confitures mais qui ne veut pas se salir la patte ». A la scène 4, Lorenzo est décrit par le Duc comme un fouineur « glissant comme une anguille, il se fourre partout et dit tout »

l'accusation et l'exécution. Répétition de ''trouble'' : renforce le côté hargneux du loup et l'absurdité de l'exécution, répétition du mensonge = caractère fallacieux, encadre le discours de l'agneau (v10-v17) - Il prétend être la victime : il utilise la calomnie = délit d'opinion (v19) + accuse l'agneau de violation de propriété (''mon'' (v7)) cepdt délits absurde. ''l'an passé'' (v19) en fin de vers = coupe à la rime = mise en valeur. ''je sais'' (v19) affirmation sans justification + marque

exaspérés dans sa tirade. - La ponctuation est très forte dans les tirades. Alceste semble aussi accuser le destin (un destin de malheur dont Célimène est l’instrument), et sa passion contre laquelle la raison ne peut rien. - Nous avons le vocabulaire de la tragédie : « fatal », « perfide », « crime »… - Face à la faiblesse extrême d’Alceste, il y a cet amour prodigieux pour Célimène. - Alceste demande à Célimène qu’elle triche pour être heureux à il ne peut pas tomber plus bas : l’apparence lui suffit

siècle, appartenant au mouvement littéraire du romantisme. En 1835, il représente dans la pièce Chatterton, Thomas Chatterton dans la peau du personnage principal Chatterton. Cette pièce de théâtre écrite en prose est une tragédie romantique. Elle met en scène Chatterton, un jeune poète malheureux, qui ne peut vivre de sa passion, la poésie, à cause de la société. Nous assistons ici au monologue touchant de Chatterton, qui décrit sa situation péjorativement tout en s’injuriant

réalisme, l’auteur doit employer un langage qui a d’autres caractères que le notre. A l’inverse : langage écrit souvent utilisé (les vers) : donne de la force dramatique. Mais doit garder une dose de parlé puisque le texte est dit. L’auteur doit donc à chaque instant de la création choisir son style, choisir entre 2 langages opposés, unir des contraires. Pour parler et écrire on utilise les mêmes signes de la langue donc on ne différentie pas les deux, on n’étudie pas les différences entre l’acte de

langue plutôt soutenu des personnages et la précision de leur description. Le mot « tuméfaction » appartient au langage soutenu et signifie « gonflement ». De même, le terme technique d' « obturation canalaire » montre une précision dans le vocabulaire utilisé (l.41-42). Il s'agit d'un terme de chirurgie dentaire qui consiste à poser un pansement sur une dent malade ou traumatisée. Les personnages ont un lexique assez riche et semble donc appartenir à une classe sociale plutôt aisée.       Alain

« tous » lui permet de généraliser son propos à l’ensemble de sa famille. Et l’adjectif fort « terrible » peut faire écho à la terreur et à la pitié qui selon Aristote sont les composantes de la tragédie : c’est à une tragédie du langage à laquelle nous assistons et c’est Antoine qui perçoit le langage comme un piège qui va se refermer sur lui. Il a l’impression qu’il est seul (« moi ») contre « tous ».

gravité. Le fabuliste utilise des effets de tabulations donnant à l'anecdote rapportée un cadre solennel. Avec le rejet au vers 4 du mot " peste ", La Fontaine retarde son emploi et montre à quel point le mal est redouté. Il accentue cet effet en le mettant en relief en début de vers. On note également un vocabulaire appartenant au registre dramatique: " Mal "; " terreur "; " fureur "; " frappe "; " Achéron ". Il y a une multiplication des négations: " nul "; " ni ". Il utilise tout ça pour montrer

Acte I: Scène I Première impression de Marianne: - Rude et froide - Utilise l'impératif - Elle se comporte comme on lui a appris Octave: Déguisé en Arlequin (influence Commedia dell'arte)  Points communs: - Déguisement - Beuverie Celio lui fait des reproches. Octave copie donc sa structure de phrase. Son ami et lui vivent deux vies différentes. (Octave se place au-dessus du peuple et Celio se met en-dessous. C'est un Libertain (libre de