Vœu d'obéissance

en songeant que c’est un homme comme lui. Mais je ne comprends pas que des hommes qui ne connaissaient absolument rien de Dieu que son nom, et désiraient lui parler afin d’être certains de son existence, aient pu trouver la satisfaction de leur vœu dans une créature qui prononça ces mots : je suis Dieu ; puisque cette créature n’avait pas avec Dieu un plus intime rapport que toutes les autres, et ne représentait point sa nature. En vérité, je le demande, si Dieu avait disposé les lèvres de

dans la gestion des affaires familiales tant pour ce qui est de l'éducation que de la protection des enfants. Le devoir d'obéissance et la notion de chef de famille ont ainsi été abrogés ; - La consécration de l'égalité en matière d’âge au mariage, dans les rapports entre époux, dans la gestion du ménage. De même qu’a été supprimé le mariage par procuration, le devoir d'obéissance (art 36 du code de la famille). Enfin, la notion de chef de famille a été réglementé avec davantage de restriction et la

Demeny. LES POÈTES DE SEPT ANS» Et la Mère, fermant le livre du devoir, S'en allait satisfaite et très fière, sans voir, Dans les yeux bleus et sous le front plein d'éminences, L'âme de son enfant livrée aux répugnances. Tout le jour il suait d'obéissance; très Intelligent; pourtant des tics noirs, quelques traits Semblaient prouver en lui d'acres hypocrisies. Dans l'ombre des couloirs aux tentures moisies, Poésies En passant il tirait la langue, les deux poings À l'aine, et dans ses yeux fermés

foyer. C’est insensé. Si ma 23 Recensement 1994, Direction de la Statistique, Rabat. Aicha Belarbi, « La préparation a la vie de couple » ; dans Couples en Question, Editions Le Fennec, Casablanca, 1990. 25 Ta’a est le principe musulman d’obéissance dans le mariage. Baden, 1997, page 17 26 Cette possibilité est restreinte par le nouveau Code Marocain de la Famille qui a été ratifie par le Parlement en Janvier 2004. 27 La polygamie au Maroc se limite généralement à deux épouses ; elle

 «  le mari doit protection à sa femme et la femme obéissance à son mari » Loi du 18 févier 1938 qui a supprimé l’incapacité juridique de la femme mariée. Loi du 22 septembre 1942 qui modifie le code civil en se contentant d’enlever cette idée d’obéissance en indiquant simplement que le mari est chef de famille. Il faut attendre une loi du 13 juillet 1965 pour que la femme puisse avoir à l’égal de mari certains droits sur ces biens. Ce qui égalise certains pouvoir? Et ce n’est que la loi du 4 juin

tous les conseillers d’Etats, les ministres ainsi que tous les officiers de l’armée. Il devait souvent prendre leur avis mais il n’était pas tenu de les suivre.  Les projets de loi étaient discutés par le Tribunat. C’est une chambre qui émet qu’un vœu. Par la suite, le texte était transmis au corps législatif qui devait voter le texte mais sans qu’aucun de ses membres ne puissent discuter. Enfin, en cas de doute sur la constitutionnalité du texte, celui-ci pouvait être déféré au Senat mais ce

les termes de « fief » et de « féodal » sont utilisés dès le 11ème siècle par les juristes. Le terme de féodalité possède deux dimensions : • Au sens étroit, il « désigne un ensemble d’institutions créant et régissant des obligations d’obéissance et de services principalement militaires de la part d’un homme libre appelé le vassal envers un autre homme libre, le seigneur, et des obligations de protection et d’entretien ayant le plus souvent pour effet la concession au vassal d’un bien appelé

Poètes de sept ans A M. P. Demeny Et la Mère fermant le livre du devoir, S'en allait satisfaite et très fière, sans voir, Dans les yeux bleus et sous le front plein d'éminences, L'âme de son enfant livrée aux répugnances. Tout le jour il suait d'obéissance; très Intelligent; pourtant des tics noirs, quelques traits, Semblaient prouver en lui d'âcres hypocrisies. Dans l'ombre des couloirs aux tentures moisies, En passant il tirait la langue, les cieux poings A l'aine, et dans ses yeux fermés

les termes de « fief » et de « féodal » sont utilisés dès le 11ème siècle par les juristes. Le terme de féodalité possède deux dimensions : o Au sens étroit, il « désigne un ensemble d’institutions créant et régissant des obligations d’obéissance et de services principalement militaires de la part d’un homme libre appelé le vassal envers un autre homme libre, le seigneur, et des obligations de protection et d’entretien ayant le plus souvent pour effet la concession au vassal d’un bien appelé

tous les conseillers d’Etats, les ministres ainsi que tous les officiers de l’armée. Il devait souvent prendre leur avis mais il n’était pas tenu de les suivre. Les projets de loi étaient discutés par le Tribunat. C’est une chambre qui émet qu’un vœu. Par la suite, le texte était transmis au corps législatif qui devait voter le texte mais sans qu’aucun de ses membres ne puissent discuter. Enfin, en cas de doute sur la constitutionnalité du texte, celui-ci pouvait être déféré au Senat mais ce système