Void type

Représentation par tas Tri par tas Codes préfixes Codage de Huffman Codage de Huffman adaptatif Amphi 7 1 Files de priorité Une file de priorité est un type abstrait de données opérant sur un ensemble ordonné, et muni des opérations suivantes : • trouver le maximum, • insérer un élément, • retirer le maximum. En inversant l'ordre, on obtient un type abstrait permettant de trouver le minimum et de le retirer. Amphi 7 2 Files de priorité Exemples d'utilisation : • Ordonnancement des tâches d'un

Les types de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.7.1 Les caract`res . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 1.7.2 Les entiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.7.3 Les flottants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.7.4 Le type void . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 La syntaxe du langage 2.1 Expressions et Op´rateurs . . . . . . . . e 2.1.1 Op´rateurs arithm´tiques . . . . e e 2.1.2 Op´rateurs d’affectation . . . . . e 2.1.3 Op´rateurs relationnels . . . . . e 2.1.4 Op´rateurs

décimales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Tailles des types . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Constantes de type entier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Constantes avec partie décimale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Constantes de type caractère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . c Christian Bac 1985-2004 Constantes associées aux types de base . . . . . . . . . . . .

décimales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Tailles des types . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Constantes de type entier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Constantes avec partie décimale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Constantes de type caractère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . c Christian Bac 1985-2003 Constantes associées aux types de base . . . . . . . . . . . .

types . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Constantes associées aux types de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 3.2.1 Constantes de type entier 13 3.2.2 Constantes avec partie décimale 3.2.3 Constantes de type caractère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 c Christian Bac

3 Structures de données (2010-2011) 4 ah-fsr-v2.0 ah-fsr-v2.0 Exemples de tables Table d'identificateurs dans un compilateur : Annuaire téléphonique : té Ensemble de couples (clé : nom ; informations : type, adresse mémoire, etc.) clé mé Type Abstrait Table Type Table Utilise Clé, Infos, Booléen Clé Boolé Opérations Opé table_vide est_vide insérer insé supprimer rechercher appartient Taille : : : : : : : Table Table Booléen Boolé Clé × Infos × Table Table Clé Clé × Table Table

renvoie pas de valeur. II- Variables et leus types Les variables, permettent de stocker les données, et chaque variable est munie d’un type. Le type d’une variable permet de preciser la nature de la variable. -int : Entiers -float : flottants -char : caracteres -boolean : booléen -chaine de caractère. On doit faire la distinction entre les différents type a cause de la representation en numérique -un entier representer en base2 -flottant représenté en x mantisse e exposant 1 entré permet

remarque. Chaque élément est « typé » -c'est-à-dire qu'il doit respecter un certain format de données. L'élément contacts est ainsi du type typeContacts, qui est un type complexe défini par l'utilisateur. L'élément remarque quant à lui est du type xsd:string qui est un type simple prédéfini de XML Schema. Chaque élément déclaré est associé à un type de données via l'attribut type. Les éléments pouvant contenir des élément-enfants ou posséder des attributs sont dits de type complexe, tandis que les éléments

elle peut également être inférieure, voire très négative. La dispersion autour de la rentabilité espérée peut donc être assimilée au risque de l’investissement. Pour mesurer la dispersion, on utilise habituellement l’écart-type de la rentabilité. Statistiquement, l’écart-type se base sur une observation historique de l’écart moyen entre la rentabilité de chaque période étudié et la rentabilité moyenne de la période. Plus cet écart est grand, plus on dira que l’investissement en question est risqué

d'Artois Exemple n°1 : Rentabilité moyenne en fonction de l'écart-type de rentabilité d'un portefeuille à deux actifs pour diverses valeurs du coefficient de corrélation. Avec : µ1 = 5% µ2 = 20% σ1 = 20% σ2 = 20% (même « risque ») J-B Desquilbet 9 Université d'Artois Avec : µ1 = 5% σ1 = 20% µ2 = 20% σ2 = 40% J-B Desquilbet 10 Université d'Artois Exemple n°2 : Rentabilité moyenne en fonction de l'écart-type de rentabilité d'un portefeuille à trois actifs, A, B et C. 35%