Voisement

phonologique , on code la syllabe par: Il y a 3 dimensions de variation pour la distinction des consonnes: - le mode d'articulation - la variation des lieux d'articulation ( lèvres, palais, …) - la variation des voisement ( la vibration des cordes vocales ou pas) Dans le tableau, si la lettre est à gauche, alors il n'y a pas de vibration des cordes vocales, on appelle ça un son sourd et si elle est droite il y a vibration. 4. Définitions Occlusive/Plosive:

phonétique articulatoire consonantiques 1.1.1. Les sons consonantiques “ la caractéristique d’une consonne est l’établissement d’un obstacle et son franchissement. ” N.S. Troubetzkoy Nature de l’obstacle+ Localisation de l’obstacle + Degré de voisement = [phone] Eg. PLOSIVE + (apico-)ALVEOLAIRE + NON-VOISE =[t] Les consonnes de l’anglais standard Coupe sagittale de l’appareil phonatoire Les consonnes du français standard du français -----------------------------------------------------------------------points

"agneau"1 "camping" §salç §ze¤oç §l_Aç §ruç §¤uç §Ruç §m_Eç §nuç §aWoç §k_ApiNç j Ÿ w §jµç "yeux" §lŸiç"lui" §lwiç"Louis" Les (signes) diacritiques - d’allongement - d’intensité - de nasalité - de dévoisement - de voisement LF1 95-96 (IG/LVDV) 1 La réalisation §njç, comprenant donc deux sons, est la plus courante actuellement, en particulier chez les jeunes locuteurs. 7 §:ç §'ç §_ ç §¡ ç §ç 3 PETIT GUIDE EN 10 POINTS A L'USAGE DES TRANSCRIPTEURS

Prononciation de l'allemand Les règles générales * Tout se prononce, même les e et les consonnes en fin de mot. * L'allemand comporte trois sons complètement inconnus en français : le ch doux, le ch dur et le h expiré. * L'accent tonique est très important. Pour l'allemand chanté, c'est facile : l'accentuation est donnée par les temps forts des mesures, les notes longues... Parfois, également, la note la plus haute de chaque phrase musicale peut être un indice. * Il n'y a

Allongement vocalique  (Exemples proposés par André Clas)     Allongement déclenché par une consonne allongeante   N’importe quelle voyelle est allongée dans la dernière syllabe du mot lorsque cette syllabe est fermée  par [v], [z], [ʒ] ou [R] — ou [r].   Exemples :   cache [kaʃ]   sot [so]   lisse [lis]   douce [dus]   place [plas]   fiche [fiʃ]   pic [pik]   pousse [pus]   pomme [pɔm]     mais : cave [ka:v]   mais : sauve [so:v]   mais : lise [li:z]   mais : douze [du:z]   mais : plage [pla:ʒ]  

-51- [§ 241 a - b] 24. L'ASTUCE ET LA SUBTILITÉ DU SHEWA Un peu comme le zéro dans le calcul, le shewa (en quelque sorte le "zéro-voyelle") est la clef de tout le mécanisme des voyelles et donc des syllabes. Même s'il repose sur des bases logiques extrêmement simples, le maniement du shewa exclut l'approximatif ou l'à-peu-près. A la manière des proverbes "numériques" bibliques (... ... ), on pourrait dire "Il y a deux" ... [sortes de shewa ] ... "et une troisième ...". 241. Les

l’expression « Je parie » [Ʒə-pa-ʁi], la chute du [ə] met en contact les deux consonnes [Ʒ] et [p] dans [Ʒpa-ʁi]. Se trouvant dans la même syllabe, l’occlusive, sourde [p] plus forte par nature, assimile la constrictive [Ʒ] et lui impose son trait de non voisement. On prononce donc [ʃpa-ʁi] au lieu de [Ʒə-pa-ʁi]. - Position 2 : lorsque les deux consonnes en contact sont dans deux syllabes différentes, la plus faible est celle qui se trouve en fin de la première syllabe, elle est dite implosive et la plus

évidence et de décrire plus précisément les anomalies des traitements phonétiques chez des enfants dyslexiques, à travers l’utilisation d’une expérience de lecture de pseudo-mots. Ainsi, nous avons évalué leur sensibilité au trait phonétique de voisement en lecture. Nous faisons l’hypothèse que les enfants dyslexiques avec et sans troubles phonologiques présentent des comportements différents dans la prise en compte des aspects infra-phonémiques des stimuli écrits. L’expérience que nous utilisons

fréquents dans les différents systèmes phonologiques : elles concernent des oppositions isolées (ce que nous venons de voir), mais aussi des ensemble d’oppositions, c’est ce qu’on appelle des corrélations. C’est, par exemple, le cas de la corrélation de voisement (oppositions entre consonnes voisées et non voisées) en français et en anglais. En français, on trouve les mots examen et vexer. Le premier possède deux consonnes voisées consécutives [g] et [z] : [egzam˜] ; le second possède les deux consonnes non

fréquents dans les différents systèmes phonologiques elles concernent des oppositions isolées (ce que nous venons de voir), mais aussi des ensemble d’oppositions, c’est ce qu’on appelle des corrélations. C’est, par exemple, le cas de la corrélation de voisement (oppositions entre consonnes voisées et non voisées) 1. En français, on trouve les mots examen et vexer. Le premier possède deux consonnes voisées consécutives [ɡ] et [z] : [ɛɡzamɛ̃] ; le second possède les deux consonnes non voisées correspondantes