Volatilité

de trésor, les obligations des entreprises, les T.C.N et divers produits dérivés. Avec la baisse des rendements obligataires des dernières années - suite à la situation de surliquidité du marché des capitaux au Maroc jusqu’en 2007- et la volatilité des taux d’intérêt - surtout avec l’appréhension née suite à la crise des subprimes et ses retombées sur l’économie marocaine, la gestion passive de portefeuille devient dépassée ; seule une gestion active utilisant des techniques de plus en plus

| |- sophistication incessante des produits, | |- innovations financières et technologiques, et forte volatilité des variables de marché... | |Ainsi, l'environnement économique et financier est devenu de plus en plus source de risques dangereux pour les banques, qui vivent, mais qui | |peuvent aussi

résultats exposés par M. Mussa sur le degré de volatilité des taux de change effectifs (nominaux et réels) mensuels des principales monnaies de l’OCDE 4 . Le tableau confirme que sur la période 1973-1999, le degré de volatilité des monnaies participants au SME a été en moyenne très inférieur à celui des autres monnaies des grands pays industrialisés. De plus, à l’exception de la lire italienne, qui quitte le SME en septembre 1992, la volatilité des monnaies européennes, sur les deux périodes

différents types de risque des instruments de placement 20 1. Les différents types de risque - définition 20 1.1. Risque d’insolvabilité 20 1.2. Risque de liquidité 20 1.3. Risque de change 21 1.4. Risque de taux 21 1.5. Risque de volatilité du cours 21 1.6. Risque d’absence de revenu 21 1.7. Risque de capital (ou de remboursement) 21 1.8. Autres risques 21 2. Tableau récapitulatif 4 22 5 Partie I. Les instruments financiers visés par MiFID Nous renvoyons au tableau

instruments financiers sont évalués à la juste valeur or celle-ci fait l’objet de nombreuses critiques. La plus récurrente est celle liée à son caractère pro-cyclique qui aurait amplifié la dernière crise financière. Elle introduirait également une volatilité artificielle dans les états financiers. Enfin le recours à des mark-to-model pour évaluer la juste valeur des actifs lorsque les marchés sont inactifs rendrait l’information financière opaque pour son utilisateur. D’autres reproches sont faits

. . . . . . . . . . . . . 3.3 Comment fait-on pour valoriser des options ? . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.4 L’équation de Black & Scholes (1973) (sans démonstration) . . . . . . 3.5 La notion de volatilité implicite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.6 D’où vient cette volatilité implicite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.7 Petit complément, le versement de dividendes . . . . . . . . . . . . . . . . 3.8 Formule de Black & Scholes (1973) en présence de dividendes

dollar), pas d’autonomie plus grande car les Banques Centrales ont du intervenir pour limiter l’excessive volatilité des taux de change. Flexibilité encourage la spéculation, source d’inquiétude pour les exportateurs. * Retour à un ordre monétaire fondé sur la fixité des changes ? retour à l’étalon-or Laffer ? ou position minimaliste ; coordination des politiques économiques pour limiter la volatilité des changes. Théorie des zones cibles de J. Williamson : flottement autour d’un taux de change d’équilibre

des paiements. En supprimant les obstacles à la circulation des capitaux elle a donné une impulsion sans précédent aux marchés financiers.Traitées et diffusées à l'échelle mondiale, les informations financières créent des spéculations et une forte volatilité des capitaux. Elles apportent une fluidité des investissements en fonction des perspectives économiques, mais leurs effets sont parfois considérés comme devenus incontrôlables par le système bancaire et le système financier international. De toute

futurs espérés, actualisés au taux de rentabilité exigé par les investisseurs. Valeur d’un marché : La valeur de marché de tout titre financier est le prix auquel il peut être acheté ou vendu, en particulier sur le marché secondaire La volatilité : La volatilité n’est autre que le risque lié à un titre. Elle est l’expression mathématique servant à déterminer les variations de celui-ci sur une période donnée, qui peut être plus ou moins longue Un contrat à court terme : Un contrat à terme ou future

de risque. On sait que le Medaf permet de définir un taux d'actualisation en fonction du risque mesuré par la volatilité relative de l'entreprise par rapport à la volatilité du marché. Ce modèle simple est largement remis en cause par les partisans de la finance comportementale. Ceux-ci estiment en effet que le marché n'étant pas rationnel sa volatilité dépend de facteurs psychologiques qui n'ont rien à voir avec les risques économiques fondamentaux. Comme le MEDAF n’est