Voltmètre

mesurer la tension et le courant alternatif, indiquer le sens de rotation des phases : -Phasemètre à échelle unique mono et triphasé -Chercheur de phases -Cosinus phimétre - Contrôle rapide des machine en service en mono et triphasé -Voltmètre alternatif -Ampèremètre alternatif sur transformateur b- Caractéristique -Nombre de calibres :8 Tension alternative : 150 à 750 v Courant alternative : 10 à 1000 A Etendue de mesure : Co 0 : 0,2 IND à 0,5 CAP 90 à 150 Volts morphasé 110

phases a pour expression : U = 1,732 V U = 212 *1,732 = 367 V. Cette tension se mesure avec un voltmètre de type soit magnétoélectrique, soit numérique, en position alternatif. Stockage de l'énergie. La fonction de redresseur est de réaliser une conversion alternatifcontinu, pour pouvoir alimenter un récepteur en continu à partir d'une source alternative. La tension moyenne se mesure avec un voltmètre de type, soit magnétoélectrique, soit numérique, en position continu. L'onduleur a pour fonction

fréquence f. La comparer avec celle que vous avez sélectionné sur le GBF. Mesurez la tension de votre signal sinusoïdal en utilisant un voltmètre directement branché au GBF (NB. Ne pas oublier de mettre le voltmètre sur V~, c.-à-d. tensions alternatives; sur certains voltmètres il faut alors appuyer sur un bouton poussoir AC/DC à côté du bouton ON/OFF). Le voltmètre vous donne-t-il l'amplitude Um du signal? Vous donne-t-il l'amplitude crête à crête Ucc? Ou est-ce qu'il vous donne la "valeur efficace"

oxydoréduction 3.2) Calcul du rendement. * Pour mesurer l’énergie produite par cette réaction nous avons branché un Voltmètre en dérivation aux bornes de la pile à hydrogène et donc mesuré la tension pour plusieurs résistances. * Tension (U) | Résistance (R) | Puissance produite (Pp) | * 0,68V | * 10Ω | * 4,6.10-2 W | * 0,79V | * 1kΩ | * 6

corrosion fer – nickel  La pile de corrosion ci-dessous est constituée par des lames de fer et de nickel plongeant dans l’eau salée. Fonctionnement de la pile 2.1. Déduire de l’indication du voltmètre le pôle + de cette pile. 2.2. Indiquer le sens des électrons reliant les lames lorsque l’on remplace le voltmètre par un conducteur. 2.3. Ecrire la demi-équation traduisant ce qui se passe au niveau de la lame de fer, le couple mis en jeu étant Fe2+(aq)/Fe(s). 2.4. Laquelle des deux demi-équations suivantes

faire tourner le bras bionique d'un sens et de l'autre sens. Pour cela nous avons utilisé: - 2 générateurs - 2 voltmètres - un amplificateur opérationnel - un comparateur de tension - 3 moteurs - 2 tensions: une de référence et une d'attaque Pour réaliser cette expérience, nous avons commencé par relié un générateur au comparateur de tension; c'est un comparateur simple; et aussi un voltmètre à la sortie du comparateur de tension. Puis nous avons ajouté les tensions d'attaque et de référence sur le

Partie de la Q. Corrigé Note /7 Exercice 1 : Pile électrochimique 1. Pile (G1) : Dans la pile (G1) la valeur affichée par le voltmètre est négative et la borne COM du voltmètre est reliée à Ag donc Ag constitue la cathode de la pile (G1) et Cu constitue l’anode de cette pile. (½) Pile (G2) : Comme le courant I passe de la lame de Cu vers la lame d’Al alors Cu constitue la cathode de la pile (G2) et Al constitue l’anode de cette pile. (½) 1 2. Pile électrochimique Demi – équation

(courant d'entrée nul) et amplification différentielle en boucle ouverte infinie (tension différentielle nulle). Le voltmètre est utilisé sur le calibre 1v continu. On donne Ue = 1v et R0 = 10K. 1°) Exprimer en fonction de Ue et R0 l'intensité I circulant dans la résistance R0. Rx R0 E- I R2 2°) Exprimer en fonction de Ue, R0 et Rx la tension Us aux bornes du voltmètre. E+ Ue V R1 Us 3°) Tracer la courbe représentative Us = f(Rx) Echelles: 1K/cm ; 0,1v/cm 4°)

d’extinction molaire L : longueur traversée par la lumière b) dosage spectrophotométrique ( à l’aide d’un colorimètre ). · Préparer le colorimètre : 1) Branchez le voltmètre sur les bornes (10) de l’appareil. Sélectionnez le calibre « 2V  - tension continue » 2) La mesure de la transmittance et de l’absorbance nécessite une mesure du « blanc ». Celle-ci est réalisée à l’aide d’une cuve contenant le solvant utilisé

dans la pomme de terre. Cette expérience c'est rendu être positif pour le reste de notre TPE, nous avons donc montré qu'une pomme de terre seule sans aucun ajout avait déjà une intensité de environ 600 V .On a pu mesurée cet intensité grâce a un voltmètre, Notre seconde expérience était de savoir si en ajoutant une solution, on pouvait avoir un impacte sur l’énergie fournit par la pomme de terre. Ceci fut concluent car nous avons relevée une intensité de environ 0,900 V pratiquement 1 V dans une