Voûte d'ogive

prédication. Vers 1515-20 est construit le porche, c'est à dire le baldaquin, selon un style fin, gothique. C'est un gothique flamboyant, la pierre flamboie par ses nervures à l'aspect onduleux qui peut faire penser à des flammes. Démultiplié, l'arc d'ogive devient ornementale. Il y a notamment un foisonnement de la console et du dais. Le décor statuaire est abondant, mais il n'était pas comme cela à l'origine, effectivement il fut refait à la suite de sa destruction après la révolution. Alors que la

absurde et ne fait pas sens historiquement. L'arc brisé et la voûte sur croisée d'ogives sont utilisés bien avant l'apparition des premiers bâtiments gothique. De nombreux autres procédés architecturaux ou décoratifs ont été employés. L'alternance de piles fortes et piles faibles rythme la nef et renforce ainsi l'impression de longueur, d'horizontalité. Le rapport hauteur/largeur de la nef accentue ou diminue la sensation de hauteur de la voute. La forme des piles, la décoration des chapiteaux, la proportion

en Europe, ce qui est transposé de par la somptuosité de l’architecture, des cycles de verrières et de la sculpture. Les statues des 12 apôtres se situent à l’origine dans la chapelle haute, au niveau des colonnes des retombées de la voute sur croisée d’ogives. Ces sculptures sont attribuées à 3 ateliers différents par les chercheurs, d’après l’étude stylistique, que nous verrons plus tard. Ce sont des rondes bosses en calcaire lutécien, qui est une roche calcaire que l’on trouve dans la région

pièces)-icônes (image sacrée peinte sur des matériaux plus ou moins précieux | Eglise en croix latine.(nef et cœur orienté vers l’est) -art romain : aspect massif où dominent les formes géométriques simples-voûte en berceau -Fresques : peinture mural réalisé sur mortier frais. -Art gothique : voûtes en croisée d’ogive. Courant 12ème siècle. | -Minaret-Arabesques-Arc outrepassés | N°1p102 = mosaïque, 1roi catholique couronné par le Christ, pourtant il est représenté par une technique Byzantine (orthodoxe) N°3p103

La cathédrale est aussi un lieu de pèlerinages. Le pèlerinage étudiant aux rameaux, de Notre-Dame de la Chrétienté à la Pentecôte, et des Guides et Scouts d'Europe des Yvelines en octobre. Les voûtes sur croisées d’ogives sont à plan ‘barlong’, chaque clé de voûte correspondant à quatre arcs diagonaux, à l’intérieur d’un module de forme rectangulaire. Les arcs transversaux et formerets, situés latéralement au-dessus des verrières hautes, complètent le schéma de répartition de forces,

roman (emploi des voutes, des arcs brisés et à plein cintre). Les abbayes romanes sont souvent abondamment décorées, notamment dans les portails. A partir du 12eme, l’art roman décline au profit du gothique, qui repose sur une invention, la voute en croisée d’ogive, qui permet d’élever beaucoup plus haut dans les constructions. Cet art, né en France, se répand un peu partout en Europe. 3 - Les intellectuels et les mouvements d’idées Dans les écoles et université, on étudie des « arts libéraux » :

solution aux problèmes de forces que connaît le style roman. En effet, l’arc brisé et surtout la croisée d’ogive permettent, contrairement à l’arc en plein cintre, de diriger les forces de l’édifice vers le sol. Dès lors, les murs épais, que l’on connaît sous l’architecture romane, vont très vite être remplacés par d’énormes piliers. L’esthétique gothique est née de l’invention de la voûte d’ogive définie par l’emploi systématique d’arcs-doubleaux et de formerets, associés aux ogives. Elle se perfectionne

cette architecture empreinte des éléments à l’architecture romaine. Les églises s’appuient sur des voute en pierre, en demie cercle et ses voutes peu élevés, reposant des murs épais et avec peu d’éclairage. A partir du XIIème siècle un art nouveau apparaît, l’art Gothique appelée ainsi au nom des Barbares appelé Goth, le problème de l’obscurité est résolu en instaurant la croisée d’ogive deux voute se croisant reposant sur des piliers qui sont renforcer des par des contreforts ses murs vont permettre

les dons des rois, des seigneurs et des bourgeois qui permettent de les construire. • L'art roman. Les édifices ont tous la même disposition et le même plan, en forme de croix latine. La charpente est constituée d'une voute de pierre en demi cercle (la « voute en berceau ») renforcée par des arcs-doubleaux. Les poussées sont contenues par des murs épais renforcés de contreforts. Les constructions romanes sont de véritables « Bibles de pierre » : les murs et les chapiteaux sont ornés

d’occident et de son morcellement en féodalités rivales a crée sa propre architecture et ses systèmes constructifs : La voûte romane massive avec ses organes de butté ; les contreforts . • L’Architecture. Gothique en continuité historique avec l’architecture romane a invente son système constructif. Prenant pour point de départ la voûte d’arêtes romane a découvert la voûte en croisée d’ogive reposant sur les nervures en pierre de poussée beaucoup plus faible, ce qui permettait des points porteurs plus