Voyage Au Bout De La Nuit

Voyage au bout de la nuit, Céline La caverne fécale (p. 195-6 / 210-11) Synthèse sur l’Amérique Caverne : Cavité naturelle souterraine, fermée de tous côtés à l'exception d'une étroite ouverture et creusée dans une roche le plus souvent calcaire ; Lieu où se passent des choses mystérieuses, réservées à des initiés. Fécale : Qui a rapport aux fèces, aux excréments humains (ou de certains animaux) La caverne fécale relève l’envers du décor américain : une sorte de refus du surmoi reclus dans

Séance 6 – Lecture analytique 3 fin chap. 11 «  C'était la première fois qu'ils venaient » -opposition : autorité des blancs / soumission passive des noirs -insultes racistes : les noirs sont tournés en dérision, dénigrés, imitation moqueuse de leur façon de parler ( déshumaniser ), injures « charogne », « boudin » -violence morale => humiliation du père de famille violence physique des blancs => « coup de pied », « grand coup de botte en plein dans les fesses » les termes : grand et plein

Lecture Analytique : Voyage au bout de la nuit (début du second chapitre, de [...] "Aujourd'hui, maman..." à [...] "J'ai dit oui pour n'avoir plus à parler. Introduction: -Début du deuxième chapitre du recueil Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Céline. -Médecin et écrivain engagé, Louis Ferdinand Céline de son vrai nom Destouches est né à la toute fin du XVIIIe et a vécu les deux guerres mondiales. Littéralement traumatisé par la Première Guerre Mondiale, la colonisation africaine

Stendhal en 1839 portée sur la bataille de Waterloo, et "Voyage au bout de la nuit" de Louis-Ferdinand Céline en 1932 (à refaire). Ces trois extraits ont en commun le thème des combats. Nous répondrons premièrement à la question "Comment la réalité des combats est-elle révélée?" puis dans un deuxième temps "Quelle attitude ont les personnages face à l'ennemi?". La chanson de Roland, La chartreuse de Parme ou bien Voyage au bout de la nuit sont des poèmes ou extraits de romans qui présentent le

LAFFONT Andréa DANDO-REYREAU Lola 603 Voyage au bout de la nuit Louis - Ferdinand Céline ( extrait page 212 ) Céline, célèbre auteur du 20ème siècle, dénonce dans son roman absurde, Voyage au bout de la nuit, l'horreur de la Grande Guerre et l'abus de pouvoir de la hiérarchie. Dans cet extrait, Bardamu, narrateur-personnage, est confronté à une « boucherie humaine » après avoir été enrôlé en tant que soldat. Comment le narrateur dénonce-t-il, ici, cette guerre effroyable et incohérente ? À travers

causa plusieurs millions de morts, et laissa infirmes, blessés dans leur corps et leur âme, des millions d’hommes jeunes. Elle inspira au genre romanesque des évocations saisissantes et variées, de Louis-Ferdinand Céline dans une partie de Voyage au bout de la nuit, roman publié en 1932, qui obtint la même année le prix Renaudot. Céline a pris part à la Grande Guerre et fait l’expérience de l’enfer. Il la transmet dans ce roman singulier qui porte aussi un regard implacable sur la société française

sentiments amoureux passionnés. L’incipit de Madame Bovary, publié par Flaubert en 1857, nous offre une présentation de Charles Bovary, garçon pataud de la campagne d’une quinzaine d’années qui entre au Collège de Rouen en classe de 5e. Enfin, Voyage au bout de la nuit nous offre un Bardamu éructant sa haine vis à vis de lui-même et vis à vis des autres, désespérant de la disparition de Robinson, son « double », dont la mort marque la fin des aventures du médecin. Trois extraits, trois héros, mais quelles

Le Voyage au bout de la nuit est une œuvre carrefour dans la production célinienne, qui procède à une synthèse entre une tradition mourante et une langue à venir. Proust termine le XIXème siècle sur le portrait d’une société déliquescente ; le siècle suivant s’ouvre avec le Docteur Destouches sur une vigueur nouvelle. Céline peut, à certains égards, relever, non pas de l’existentialisme, mais du « mouvement existentiel » théorisé par Henri Godard, en ceci que la réflexion sur l’existence humaine

Commentaire composé sur Voyage au bout de la nuit de Céline paru en 1932 Au commencement de la grande Guerre, de nombreux français s'engagent dans l'armée. Ce conflit mondial est connu pour ses grandes pertes humaines. De nombreux ouvrages retranscrivent cette hécatombe, à l'instar de Céline qui reprend ce thème dans son premier roman, Voyage au bout de la nuit paru en en 1932. Dans un extrait François Bardamu assiste à des incendies de guerre qu'il décrit avec gaieté. Comment expliquer ce

Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932, édition Folio Lecture analytique : l’arrivée à New York : « Pour une surprise, c'en fut une […] Moi j'avais une autre combinaison en tête, en même temps que la fièvre », p. 184-5 Pour une surprise, c’en fut une. À travers la brume, c’était tellement étonnant ce qu’on découvrait soudain que nous nous refusâmes d’abord à y croire et puis tout de même quand nous fûmes en plein devant les choses, tout galérien qu’on était on s’est mis à bien rigoler