Voyage Au Bout De La Nuit

Lors d'une parade militaire à Paris (place de Clichy) en 1914, Bardamu envoûté par la musique décide de s'engager dans l'armée (sur un « coup de tête »). Mais il regrette vite son choix devant l’horreur de la guerre. Pour lui, la guerre est absurde. Il ne comprend pas pourquoi ils se battent. Il se rend compte de sa lâcheté. On découvre l'enfer des tranchés (exemple : le manque de nourriture et humiliation hiérarchique). (Son colonel meurt sous ses yeux et personne ne s'en inquiète). Lors d'un soir

personnage étaient distincts. Ici, le narrateur se confond avec le personnage, et c’est donc non seulement à travers le regard, mais aussi à travers le langage d’un homme du peuple que la scène est racontée. C’est pour cela essentiellement que le Voyage au bout de la nuit provoqua un tel choc à sa sortie.

Intro : Louis Ferdinand Céline (1894-1961) a marqué le XX ème Siècle de son oeuvre si particulière : la publication de Voyage au bout de la nuit a été un événement. En rompant avec la tradition romanesque, il a permis le développement du genre en 1950. En effet, ce premier roman est représentatif d’un style insolite, reposant notamment sur la langue populaire. Cette oeuvre évoque les tribulations de Ferdinand Bardamu, le narrateur, qui nous livre, dans une 1 ère partie, ses peines face à la guerre

Voyage au bout de la nuit Résumé p. 360-378 Bardamu fais connaissance de l’abbé Protiste, dans la nuit. Après l’incident de Robinson, la bru Hernouille est venue se confessée à l’abbé. Ce dernier, tenant un trop grand secret… va se confier au médecin Bardamu. Les deux personnages décidèrent d’écarter Robinson et la vielle Hernouille de Rancy, afin d’éviter le scandale. Les deux colis seront envoyés à Toulouse, dans le Midi. Par cette manigance, Bardamu empoche, en passant, mille franc. Durant

Ça ne vous servira à rien ici vos études, mon garçon ! Vous n'êtes pas venu ici pour penser, mais pour faire les gestes qu'on vous commandera d'exécuter ... Nous n'avons pas besoin d'imaginatifs dans notre usine. C'est de chimpanzés dont nous avons besoin ... Un conseil encore. Ne nous parlez plus jamais de votre intelligence ! On pensera pour vous mon ami ! Tenez-vous-le pour dit.» Il avait raison de me prévenir. Valait mieux que je sache à quoi m'en tenir sur les habitudes de la maison

Le texte étudié est extrait du deuxième chapitre de Voyage au bout de la nuit, le premier roman de Céline publié en 1932. Le roman est particulièrement connu pour son style tiré de la langue parlé française ou l'argot. A travers le personnage principal de Ferdinand Bardamu, Céline transcrit son expérience personnelle de la guerre de 1914-1918 qu'il qualifiera même « d'abattoir international en folie ». Pour échapper à cette folie, Céline va contre tout opinion général de patriotisme en déclarant

et infâme. Dans Voyage au bout de la nuit, Louis Ferdinand Céline s'inspirant de sa propre expérience de la guerre, la première guerre mondiale l'horrifie à jamais. Dans cette dernière partie du roman, il sera intéressant d'étudier comment présentant une vision réaliste de la guerre, Céline décrit un personnage plus anti-héros que héros. 1. Une vision réaliste de la guerre Comme tout témoignage, Céline décrit à travers son personnage, Ferdinand Bardamu, la guerre comme le bout de toute souffrance

Ecrivain français du XX ème siècle, Louis Ferdinand Céline est l’auteur du roman Voyage au Bout de la Nuit écrit en 1932. Ce roman nous raconte les aventures du héros-narrateur Bardamu à partir de la première guerre mondiale. Dans le passage que nous allons étudier l’élément de l’entrainement militaire en Afrique constitue une aberration que Céline dénonce. On se demandera en quoi les portraits des différents personnages décrits par Bardamu traduisent l’opinion de Céline sur l’armée en Afrique

noblesse chez Céline, le plus-que-parfait ou le lexique soutenu n'en perdent pas en revanche. Ils se côtoient parfois dans la même phrase. Thématiques abordées[modifier] Les thématiques abordées dans le roman sont les suivantes. * Voyage au bout de la nuit est d'abord un roman initiatique : l'errance est au coeur du roman. Il s'agit bien sûr d'une errance à la fois physique et métaphysique. Le roman se rattache à la veine picaresque par bien des aspects: un pauvre bougre entrainé malgré lui

suite à son échec moral, il faut surtout savoir assumer sa faiblesse. Il se rend compte que la justification première de ses meurtres est la mise à l'épreuve. Porphyre Petrovich est le policier qui va discuter du meurtre avec R. « Voyage au bout de la nuit », Louis Ferdinand Céline, 1932 La vision assez noire et pessimiste de la vie (point commun entre les différents roman qu'on a étudié). Le fonctionnement du monde social. Paroxysme, le roman le plus désespéré de la littérature. Expérience