Voyage au bout de l'enfer

sur son crâne incliné plante son drapeau noir" Spleen -"hypocrite lecteur.mon semblable.mon frère !" Au lecteur -"j'ai plus de souvenirs que si j'allais mille ans" Spleen -"là, tout n'est qu'ordre et beauté luxe, calme et volupté" Invitation au voyage -"les parfums, les couleurs et les sons se répondent" Correspondances -"le poète est semblable au pince des nuées...Ses ailes de géant l'empêche de marcher" L'albatros Beaumarchais : -"je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en

ancêtres pacifiés. Les esprits maléfiques ne se montrent pas le jour. Ils vivent dans des lieux inhabités, sombres, dans des maisons en construction. Ils sortent la nuit, et c’est pour cette raison que les hommes s’en abstiennent : « La nuit, pas de voyage », disent les Malayâlis (tribu indienne), afin de ne pas faire de mauvaise rencontre. Les animaux nocturnes sont considérés comme néfastes car selon la légende, ceux-ci serviraient d’éclaireurs aux mauvais esprits. Relations de l’âme et de la mort…

plaine Naît un bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit ! La voix plus haute Semble un grelot. D'un nain qui saute C'est le galop. Il fuit, s'élance, Puis en cadence Sur un pied danse Au bout d'un flot. La rumeur approche. L'écho la redit. C'est comme la cloche D'un couvent maudit ; Comme un bruit de foule, Qui tonne et qui roule, Et tantôt s'écroule, Et tantôt grandit, Dieu ! la voix sépulcrale Des Djinns !... Quel bruit

avec elle et prend congé poliment. Le déshonneur de Lancelot a cause de la charrette est répété a plusieurs reprises dans le roman incluant quand il arrive dans le pays de Gorres. Un chevalier orgueilleux le défie au combat faisant allusion à son voyage honteuse sur la charrette. Lancelot gagne le duel facilement et sa condition de grâce est pour l’Orgueilleux de monter sur la charrette. Ce dernier refuse en déclarant qu'il préférait « être mort que d'avoir commis cette infamie » (Lancelot, 59).

C'est un texte qui est extrait de la vraie chronique de Jean le Bel qui retrace la peste noire de 1348 à 1342 .Jean le Bel nous parle de la conséquence qui provoque une peur générale et un mouvement de panique. Jean le Bel est né en 1290 et meurt en 1370 , il est d'origine noble et devint chanoine à la cathédrale de Saint Lambert de Liége , tout en menant une vie mondaine et ne se privant d'aucun plaisir . Il combattit dans l'armée anglaise d’Édouard 3 , apprit la vie de chevalier au coté de son

péché. Tout son récit concerne le doute de soi, l’expiation par la confession, et l’exploration rétrospective d’une vie amorale. C’est aussi une désintoxication du moi. Son enfer est un enfer de banalité, de duplicité. Il me rappellerait presque l’enfer zoroastrien. Clamence est presque misanthrope. “Il m’a toujours semblé que nos concitoyens avaient deux obsessions : les idées et la fornication.” (Au besoin, on pourrait en dire autant de Camus.) Il raconte des histoires horribles—un officier

crues elles-mêmes incapables. Tel qui, craignant de trouver chez son concierge une nouvelle chagrinante, rôde lâchement une heure devant sa porte sans oser rentrer, tel qui garde quinze jours une lettre sans la décacheter, ou ne se résigne qu'au bout de six mois à opérer une démarche nécessaire depuis un an, se sentent quelquefois brusquement précipités vers l'action par une force irrésistible, comme la flèche d'un arc. Le moraliste et le médecin, qui prétendent tout savoir, ne peuvent pas expliquer

Candide que lesBulgares ont détruit le château, violé puis tué Cunégonde ainsi que tousles occupants du château. Jaques avec beaucoup de bonté recueilleégalement Pangloss.Après deux mois passé ensemble, Jaques décide d'emmener ses deux philosophes en voyage d'affaires avec lui à Lisbonne. Alors qu'ils sont envue du port de Lisbonne, la terre se mit à trembler, un raz de maréegigantesque fait chavirer leur vaisseau. Jaques périt noyé tandis quePangloss et Candide arrivent à Lisbonne. Pendant qu'il marchait

crues elles-mêmes incapables. Tel qui, craignant de trouver chez son concierge une nouvelle chagrinante, rôde lâchement une heure devant sa porte sans oser rentrer, tel qui garde quinze jours une lettre sans la décacheter, ou ne se résigne qu’au bout de six mois à opérer une démarche nécessaire depuis un an, se sentent quelquefois brusquement précipités vers l’action par une force irrésistible, comme la fl èche d’un arc. Le moraliste et le médecin, qui prétendent tout savoir, ne peuvent pas

fais Juge Souverain. Voilà notre Berger la balance à la main. Quoiqu’il n’eût guère vu d’autres gens qu’un Hermite, Son troupeau, ses mâtins, le loup, et puis c’est tout, Il avait du bon sens ; le reste vient ensuite. Bref, il en vint fort bien à bout. L’Hermite son voisin accourut pour lui dire : Veillé-je ? Et n’est-ce point un songe que je vois ? Vous favori ! Vous grand ! Défiez-vous des Rois : Leur faveur est glissante, on s’y trompe ; et le pire C’est qu’il en coûte cher ; de pareilles erreurs