Voyage Du Silence

découverte, ce ressenti personnel si important lors de son initiation. Comme je n’avais jamais vu le Temple auparavant, je me le suis imaginé plus haut, moins large en essayant de me le représenter d’après les sons qui le parcouraient. Les voyages initiatiques m’ont entraîné dans une sorte d’état second, je dirais même plus d’euphorie, puisqu’une nouvelle dimension s’y était intégrée, la musique ! Aujourd'hui, je le remercie d'être resté silencieux. Je suis fier et heureux, j’ai compris

parution : 1986 Edition actuelle : Gallimard, 2009 Collection : Folio ▪ Extrait (page 54, 55 et 56) - Tu peux la regarder, tiens, cette photo ! C'est sans doute la seule photo existant à Tabelbala. Il y avait bien celle de Mustapha qui était allé en voyage de noces à Alger. Il s'était fait photographier avec sa femme. Mais je crois bien que la photo a disparu. C'est peut-être la belle-mère qui l'a brûlée. Les vieux n'aiment pas trop les photos ici. Ils croient qu'une photo, ça porte malheur. Ils sont

complet de la société du temps. Le récit est en quelque sorte interminable car le héros ne se fixe pas, il voyage, varie ses métiers et relations. Nombreux sont les personnages secondaires en tous genres. Les lieux picaresques sont reconnaissables : auberge, taverne,… Le cadre est le pays d’origine : l’Espagne. Les thèmes récurrents sont : la naissance infamante, la nécessité, la faim, le voyage, l’errance, l’illusion et l’apparence. Les caractéristiques présentes dans Gil Blas sont les références

exemple « la Chevelure » ou « L’invitation au voyage ». Ces poèmes en prose seront publiés en 1869, après sa mort, dans un recueil intitulé Le Spleen de Paris. Nous étudierons les quatre premières strophes du « pendant » de « L’invitation au voyage », qui porte le même titre. Comment Baudelaire réussit-il à renouveler son langage poétique ? Dans ce poème en prose qui relève du registre lyrique, Baudelaire évoque un pays rêvé, lance une invitation au voyage et parle de sa quête de la plénitude. Le

Les 7 Arts libéraux C’est au cours de mon troisième voyage, que j’ai pu voir au pied de la colonne Sagesse le cartouche avec pour inscription les « Sept Arts Libéraux »: Grammaire, Rhétorique, Logique  Arithmétique, Géométrie, Musique, Astronomie. Il m’a été dit que depuis l’antiquité, ils sont considérés comme « les sept piliers de la Sagesse ». Le Trivium, regroupe les trois premiers,  les arts du verbe, le Quadrivium, regroupe les 4 derniers, les arts des sciences. Ainsi les sept arts libéraux

Mais alors, si vous savez lire, pourquoi n’êtes-vous donc qu’un berger? » Le jeune homme se déroba, pour n’avoir pas à répondre à cette question. Il était bien sûr que la jeune fille ne pourrait pas comprendre. Il continua à raconter ses histoires de voyage, et les petits yeux mauresques s’ouvraient tout grands ou se refermaient sous l’effet de l’ébahissement et de la surprise. A mesure que le temps passait, le jeune homme se prit à souhaiter que ce jour ne finît jamais, que le père de la jeune fille

progressif de son pays : BD (le regard par le hublot et la succession des vignettes) /texte lignes 5 et 7 « Il voit s’éloigner son pays », « le pays s’éloigne ». - La durée : le temps d’un long voyage : Succession des vignettes et l’installation du personnage dans sa cabine dans la BD ligne 10 « Le voyage dure longtemps ». - Une destination sans nom titre de la BD (Lu ou vont nos pères)/ texte : « Le bateau parvient à sa destination » ligne 41. - Absence d’identité des personnes qui entourent le

personnages deviennent objet. Mais aussi dans leur dialogue, le silence coupe tous le temps le dialogue, dialogue qui s’enchaine, sans vraiment de logique, on attend toujours une fin qui ne vient jamais, jusqu’au moment ou Clov se met en habit de voyage, mais reste néanmoins ,immobile, sans partie, en nous laissant imaginer la fin, nous laissant sur notre fin après nous avoir fait tourner en bourrique tous le long de la pièce. Les silences mécanique de 7 sec empêche la pensée de se développé. La fin

ganglions de son ami agonisant ; « il ne [peut] rien » contre le « naufrage » de Tarrou ; enfin, ce sont les « larmes de l'impuissance » qu'il verse quand son ami expire. Rieux est également un héros « révolté », qui, malgré l'absurdité du monde et « le silence de la défaite », s'est efforcé de livrer des « combats » contre la peste. Dans cette scène, Rieux donne aussi l'image d'un héros pathétique, qui vient de perdre un ami « qui lui avait été si proche », alors même que la ville vient d'être « libérée

critique d’art, célèbre la peinture et les peintres dans « Les Phares », il évoque la sculpture dans « La Beauté »… Dans « La Musique » (1857) qui fait partie de « Spleen et Idéal », il évoque ce qu’il ressent à l’audition d’un morceau de musique I) Un voyage musical 1) La musique : le thème et la forme Le poème est formé de 2 quatrains et 2 tercets, mais ce n’est pas un sonnet. Vers : alternance alexandrins – pentasyllabe alternance vers pairs et impairs (aller-retour entre le spleen et l’idéal) mais