Vrais Faux Besoins

nous interprétons comme “toute collection formée de deux fois deux objets est une collections de quatre éléments”, nous comprenons de quoi il s’agit dès que nous connaissons les significations de “collection”, “deux” et “quatre”. Nous n’avons pas besoin de connaître toutes les paires possibles pour comprendre la proposition. CAR : sinon, nous ne pourrions jamais comprendre la proposition puisque les paires sont en nombre infini et que nous ne pouvons donc pas les connaître toutes.

Sujet : Faut-il refuser l’évidence pour rechercher la vérité ? Nous pouvons distinguer deux notions importantes en philosophie: l’évidence et la vérité. L’évidence est une chose évidente qui s’impose à l’esprit, comme une vérité, ou sans qu’il n’y ait besoin d’aucune preuve ou justification. Le contraire de l’évidence est le doute, le mystère, l’hypothèse, l’obscurité, l’improbabilité, l’incertitude, l’indécision. La vérité est une connaissance reconnue comme juste, comme conforme à son objet et possédant

addictions à des substances chimiques )Nous pouvons nous interroger sur les causes de ce phénomène. La civilisation dominante sur notre continent restreint la liberté humaine, par la promotion de la philosophie du plaisir et par la création des besoins artificiels chez l'homme. Il s'agit de former l’ homme qui voudra posséder de plus en plus, mais qui ne va pas aspirer d'être quelqu'un de plus aimable, mature et ouvert. Typique pour la civilisation postmoderne est donc la réduction drastique et

du temps perdu). 2 André Gide – « L’immoraliste » et « Les faux monnayeurs » L'immoraliste « L'immoraliste » (écrit en 1902, Gide avait 33 ans) est la confession que fait Michel, le personnage principal, à ses amis, une nuit, devant le désert de Biskra. Michel, un grand intellectuel, historien spécialisé « en vieilles pierres », épouse une jeune femme, Marceline pour obéir à la volonté de son père. Marceline éprouve de vrais sentiments pour Michel, les sentiments qui ne sont tout à fait

c'est que le méchant a une conception illusoire du bien. Pour lui le bien, c'est son bien, « narcissique » n langage freudien. Ce sont les désirs vains, inutiles, des faux biens, qui engendrent le mal que l'homme fait aux autres et à lui-même. Gloire, luxe, richesse, pour lesquels se battent et s'inquiètent les hommes sont des faux biens parce qu'ils résultent d'une représentation fausse du bonheur. Les biens qui ne sont ni naturels, ni nécessaire, et qui sont pourtant les plus ardemment désirés

____________________________ Site Présence de la littérature - Dossier Rousseau © SCÉRÉN-CNDP, 2006. 2 Texte n° 2. Extrait de la « Deuxième partie » « On s'accoutuma à s'assembler devant les cabanes ou autour d'un grand arbre : le chant et la danse, vrais enfants de l'amour et du loisir, devinrent l'amusement ou plutôt l'occupation des hommes et des femmes oisifs et attroupés. Chacun commença à regarder les autres et à vouloir être regardé soi-même, et l'estime publique eut un prix. Celui qui chantait

=rechercheh().............................19 La quatrième paramètre optionnel de recherchev() ............................................................................22 =et() ....................................................................28 =faux() ................................................................28 =non() .................................................................28 =ou() ...................................................................28 =Si() ..................

TARTUFFE, faux dévot. DORINE, suivante de Mariane. MONSIEUR LOYAL, sergent. UN EXEMPT. FLIPOTE, servante de Madame Pernelle. La scène est à Paris. ACTE I, SCÈNE PREMIÈRE MADAME PERNELLE et FLIPOTE, sa servante, ELMIRE, MARIANE, DORINE, DAMIS, CLÉANTE. MADAME PERNELLE Allons, Flipote, allons; que d'eux je me délivre. ELMIRE Vous marchez d'un tel pas, qu'on a peine à vous suivre. MADAME PERNELLE Laissez, ma bru, laissez ; ne venez pas plus loin; Ce sont toutes façons, dont je n'ai pas besoin. ELMIRE

contraires par leur essence et leurs propriétés, ce qui est le comble de l’ignorance. La seule preuve irréfutable établissant l'existence de Dieu se fonde sur le mouvement. Le temps est un accident du mouvement qu'il mesure. Par ailleurs, le mouvement a besoin d'un support, donc d'un corps. Parler du temps, c'est donc parler de la vitesse suivant laquelle se déplace un corps ou ses parties. Pour démontrer l'existence de Dieu on ne peut que recourir à la preuve par le mouvement qui nous permet d'aboutir

contente de retranscrire les faits réels, et c’est ce que doit proposer un témoignage. Le risque d’avoir recours à la fiction est que le témoignage est valeur de divertissement pour le lecteur qui ne saurait plus différencier les évènements vrais des évènements faux et ne pourrait plus s’approprier ces faits comme possibles. En second lieu, le témoignage ne doit pas comporter d’artifice, de style particulier, d’images ajoutées car les faits, les évènements se suffisent à eux-mêmes. Un écrivain ne peut