Vraisemblance Maupassant

actes écrite par Pierre Corneille en 1635, représentée pour la première fois au théâtre du Marais en 1636.. Elle représente en elle-même un hapax dans la mesure où cette pièce s’affranchit de toutes les règles classiques ( régles des trois unités, vraisemblance, bienséance, unité des trois tons…), d’ailleurs son propre auteur, la décrit comme « un étrange monstre ».Dans cet extrait, on passe du duo d’amour (matamore cède à Clindor Isabelle)au duel (mort d’Adraste et arrestation de Clindor) I-Scènes

fait partie du mouvement littéraire classique qui se fonde sur: la règle des Trois unités (action unique, concentrée en un jour et un seul lieu); le respect des bienséances (rien de choquant ne peut être représenté sur scène) et Le soucis de la vraisemblance (fait de donner l'impression que ce qui est raconté aurait pu se passer tel quel dans la réalité). La pièce fut interdite, la première fois qu'elle fut jouée (en 1664), car les vrai dévots s'y reconnurent et proclamèrent que l'auteur (protégé du

vers. Racine s'inspire aussi de la Grèce Antique et de la Mythologie Grecque car Phèdre a des ancêtres divins.B) Les règles de la tragédie classique sont respectéesRacine suit les règles du théâtre classique énoncées par Boileau. Les règles de vraisemblance et de bienséance sont respectées. Les personnages ne meurent pas sur scène les personnages nobles sont accompagnes de gens de confiance de confident ou il confie leurs secrets theramene confident hypollite oenone confidente et nourrice phedre

avant tout un art né en Grèce pendant l’Antiquité. Il obéit un certain temps à la règle de bienséance qui avait pour but d’empêcher aux spectateurs d’être choqués et à celle des trois unités qui visait avant tout à donner un caractère de vraisemblance aux pièces représentées. Cet art à évolué tout en traversant les différentes périodes de l’histoire comme là période baroque, classique, romantique ou contemporaine. Cependant au fil des siècles on constate qu’une majorité des pièces jouées

règle des trois unités gravé dans le marbre par Nicolas Boileau en 1674 dans L’Art Poétique avec le vers suivant : Qu’en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli, tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli. En plus, conformément au respect de la vraisemblance et de la morale, l'acteur ne doit pas choquer le spectateur et de ce fait la violence et intimité physique sont exclues de la scène, c’est le règle de la bienséance. Et enfin, il y a la présence de catharsis ; le spectateur doit être touché et

bravoure. Tous ces éléments prouvent la présence de réalisme dans le théâtre. Pour justifier l’idée, nous Epouvons également nous conférer à l’exemple de Gérard Philipe dans le Cid. I. b. Le réel est rendu par l’illusion elle-même La notion de vraisemblance évolue d’Aristote à Hugo et fonde la plupart des règles du Ethéâtre. On peut le justifier à travers l’Art Poétique de Boileau. … Les grand auteurs essaient de rendre le théâtre réel. Cependant cette théorie voulait expliquer, voir combler,

ainsi développée du début à la fin de la pièce, et les actions accessoires doivent contribuer à l’action principale et ne peuvent pas être supprimées sans lui faire perdre son sens. - La règle de la Bienséance : Conformément au respect de la vraisemblance et de la morale, l'acteur ne doit pas choquer le spectateur. De ce fait violence et intimités physiques sont exclues de la scène. Les batailles et les morts se doivent de se dérouler hors scène et d'être rapportées au spectateur sous forme de récits

meurtre, l’érotisme, la domination, l’humiliation et c’est par ceux-ci que la pièce s’éloigne du théâtre classique. Nous le remarquons entre autres par le non-respect de certaines règles de ce genre théâtral, c’est-à-dire la bienséance ainsi que la vraisemblance, toutes deux propres au théâtre classique. Pour commencer, il est possible de constater l’absence de la bienséance dans la pièce. Cet aspect se manifeste dès le début dans l’introduction Comment jouer «Les Bonnes» par le thème de l’érotisme

- l’unité de lieu : l’action doit se dérouler en un lieu unique (souvent des palais, des salons…) Par ailleurs, une pièce doit respecter la vraisemblance : ce qui se passe sur scène doit rester crédible et réaliste afin que les spectateurs s’identifient au héros, bien que souvent cela incompatible avec les exigences de la tragédie qui donne à voir des êtres hors du commun (issus de la mythologie

catharsis. Aristote dans La Poétique nous décrit six caractères : La fable, les caractères des personnages, l’éducation, la pensée, le spectacle, le chant. Puis la tragédie est régie par la règle des trois unités ainsi que par la bienséance, la vraisemblance puis son structure en vers comprenant cinq actes généralement écrite en alexandrin. Cette structure complexe fait que le texte est complètement contrôle par l’auteur qu’a pour but d’éveiller la catharsis du lecteur, ainsi la tragédie nous apprend