Vraisemblance Maupassant

estimer les param`tres de chacune e e des lois. Estimation du param`tre de la loi exponentielle e Avec la m´thode du maximum de vraisemblance ou la m´thode des moments nous trouvons facilement que e e l’estimateur du param`tre θ est : e θ= 1 Xn Estimation du param`tre de la loi g´om´trique e e e Calculons l’estimateur du maximum de vraisemblance du param`tre p d’une loi g´om´trique . e e e Soient X1 , . . . , Xn des variables al´atoires i.i.d. telles que ∀i, Xi ∼ G(p) avec

ponctuelle 13.1 13.2 13.3 13.4 13.5 13.6 Définition d’un estimateur Principales qualités d’un estimateur Estimateur sans biais de variance minimale Précision intrinsèque d’un estimateur et inégalité de Cramer-Rao Méthode du maximum de vraisemblance (MV) Extension au cas de plusieurs paramètres 14 • Estimation par intervalle de confiance 14.1 Définition d’un intervalle de confiance 14.2 Exemples d’intervalles de confiance 14.3 Estimation et intervalle de confiance dans le cas d’une population

mi 1 P mi m i 2 m i P m i 2 mi 1m i 1 P mi 2 mi 1 5 Estimation des probabilités il faut estimer P(mi) P(mi-1 mi) P(mi-2 mi-1 mi) sur un corpus C estimation de la probabilité d'un n-gram estimateur du maximum de vraisemblance (maximum likelihood) P ML C i f f C i f( ) = fréquence d'occurrence de dans le corpus 6 Lissage problèmes de zéros un n-gram qui n'apparaît pas dans le corpus a une probabilité nulle toute séquence qui le contient a une probabilité

2 Maximum de vraisemblance ........................................................................ 86 10.3 Tests de la validité du modèle .............................................................................. 87 10.3.1 Test d’adéquation du Chi-2 .......................................................................... 87 10.3.2 Test « up and down » ................................................................................... 88 10.3.3 Test du rapport de vraisemblances ............

sont interrompus dès que le changement maximum des communalités est en dessous d'un seuil donné, ou lorsqu'un nombre maximal d'itérations est atteint. Les communalités initiales peuvent être calculées suivant différentes méthodes.  Maximum de vraisemblance : cette méthode a d'abord été proposée par Lawley (1940). La proposition de l'utilisation de l'algorithme de Newton-Raphson (méthode itérative) date de Jennrich (1969). Elle a ensuite été améliorée et généralisée par Jöreskog (1977). Cette méthode

Préface de « Pierre et Jean » 1. Maupassant fait précéder Pierre et Jean d'un court texte. En vous appuyant sur son titre et sur les premières phrases, dites à quel type de texte le lecteur peut s'attendre. Pierre et Jean de Maupassant est précédé d'un court texte que Maupassant a intitulé « Le roman ». Cette préface est un texte théorique et a valeur de manifeste, puisque l'auteur tente de définir les principes et sa conception du roman. Par exemple, au début il dit « Je veux m'occuper

zoologie, minéralogie) Décrire le réel, expliquer le réel Description exacte et scientifique des milieux sociaux L’art : expression de la vie sous tous ses modes et à tous ses degrés ; son but unique : reproduire la nature Maupassant appartient au groupe naturaliste qui se réunit à Médan, chez Zola. Citation de Zola : "Nous cherchons les causes du mal social ; nous faisons l'anatomie des choses et des individus pour expliquer les détraquements qui se produisent dans la société

|Caractéristiques |L'expression de la réalité telle qu'elle est. | | | |Vraisemblance | | | |Tu décris ce que tu observe

et Jean par Maupassant. A- Plan : | I- La position et le travail du critique II- Distinction entre un critique (esthète) et un lecteur (homme) III- Le droit de l’artiste IV- L’arrivée de l’école réaliste ou naturaliste V- Vérité et vraisemblance dans le roman VI- Distinction entre le roman d’analyse pure et le roman objectif VII- Impossibilité du nouveau et éloge du travail | I- La position et le travail du critique : Un bon critique pour Maupassant est une personne

Pour commencer, nous pouvons constater que Maupassant met en lumière une vision vraisemblable de la réalité qu’il a ciblée, associée à la société bourgeoise de la fin du XIX e siècle. En effet, la vraisemblance de l’histoire est évoquée par l’identification de lieux réels. Tout au long du récit, cet auteur utilise des lieux tels que : « plaine de Nanterre » (p.163), « rue des Martyrs » (p.165), « la Seine » (p.165), « Champs-Élysées » (p.170). À la suite de l’identification de ces lieux, nous comprenons