Vraisemblance

deuxième acte et la fin du quatrième, Figaro perd l’initiative de l’action. Le quatrième acte finit bien l’action, puisque les obstacles sont tous levés, et rebondit ensuite. - L’unité de temps est inhérente à l’unité d’action. C’est au nom de la vraisemblance que l’on essayé d’introduire une égalité entre le temps réel, le temps de l’horloge, et le temps fictif, le temps de la représentation. Ce ci naturellement contribue à souligner la notion de crise. Le temps que l’on a en trop, on le dépense pendant

CM 17èmeCM Littérature du XVIIè Licence 1 - Lettres Séance 1 La tragédie au XVIIè siècle I - Placer les pièces dans leur contexte A) Les dates des quatre pièces Tristan l’hermine, La Marianne 1636 (publié en 1637) Pierre Corneille, Cinna 1642 (publié en 1643) Jean de Rotrou, Le véritable Saint Genest entre 1644 et 1646 (publié en 1647) Jean Racine, Britannicus 1669 (publié en 1670) B) Qu’en est-il de la production tragique au XVIIè ? La tragédie n’est pas très prisé, c’est plutôt

autobiographies) ne raconte la propre histoire de chacun des lecteurs, il est donc toujours constitué d’une aventure nouvelle, qui laisse place à une évasion du liseur. De plus, tous les romans, quels qu’ils soient, ont tous un point commun : la vraisemblance. C’est ce qui fait que le public s’intéresse au livre. Presque tous abordent le sujet des êtres humains, relient des événements concevables de façon logique. Malgré leurs apparences, L’Assommoir d’Emile Zola et Les fées de Charles Perrault sont

mouvement littéraire utilisé dans plusieurs domaines. On distingues parmi ces domaines,la sculpture, l’architecture, le théâtre, la musique, le roman, la peinture… Ce courant prône l’imitation des Anciens et le respect de certaines règles de vraisemblance et de bienséance. L'écriture appuient sur une passion violente distinguée dans la plus part des œuvres des leurs œuvres artistiques. Donc, le classicisme a tendance à soumettre à la raison par rapport à tout ce qui ne parait pas raisonnable.

la fiction et le temps de la représentation b) Les bienséances Conformément au respect de la vraisemblance et de la morale, l'acteur ne doit pas choquer le spectateur. De ce fait violence et intimité physique sont exclues de la scène. Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et être rapportées au spectateur sous forme de récits Figure de style : la litote c) La vraisemblance La tragédie doit offrir aux spectateurs une histoire crédible, qui pourrait avoir lieu en réalité

quelques lieues... ». La parenté entre l'utopie et le voyage présente pour l'auteur un double intérêt : le premier consiste dans la vraisemblance ainsi entretenue. Assumée à la première personne (textes A, B, C) ou en point de vue interne (texte D), l'utopie apparaît ainsi chargée d'une qualité empirique : sa connaissance résulte d'une expérience. Ce souci de vraisemblance accrédite le discours, même s'il peut faire l'objet d'un jeu ironique comme dans le texte C, dont l'humour relativise ce principe

Vega, Sheakespeare, Corneille). Le théâtre classique devait obéir à des règles bien précises, à savoir la règle des trois unités, censée capter l'attention du lecteur, respecter la bienséance (pour ne pas choquer le spectateur) et une certaine vraisemblance : « En un jour, en un lieu, une seule action accomplie ». Cette règle avait pour but de ne pas fatiguer le spectateur avec des détails superflus, comme le lieu ou la date, afin de lui permettre de se concentrer sur l'intrigue, pour mieux toucher

Fables (1668-1694) . Pascal (1623-1662): Pensées (1670) . La Bruyère (1645-1696): Les Caractères (1696) III) Les caractéristiques du classicisme Ce courant met en avant l’imitation des Anciens écrivains et le respect de certaines règles de vraisemblance. Le classicisme est fondé sur la raison et est influencé par les rationalisme de Descartes. Le classicisme a tendance a montrer l’irraisonnable comme une chose qui justement est raisonnable. Le classicisme essaye de montrer quelque chose de simples

l'influence du rationalisme de Descartes, mais il s'agit plutôt d'un intérêt pour la lucidité et l'analyse. Donner l'impression de naturel, il importe avant tout de ne pas choquer le lecteur. C'est pourquoi les règles de vraisemblance et de bienséance jouent un rôle. L'importance de la vraisemblance est liée à l'importance de la morale dans la littérature classique. L’idéal artistique du classicisme s'accompagne d'un idéal moral incarné dans la figure théorique de l'honnête homme. Cette expression résume toutes

précisément les règles auxquelles les œuvres classiques sont soumises et ensuite nous allons voir lesquelles de ces règles ne sont pas respecté dans Dom Juan. Les pièces que l’ont dit classiques sont soumises à certaines règle : la règle de bienséance, vraisemblance et la règle des trois unités (temps :pas plus de 24h ;lieu :un seul lieu ;action : supprimer les intrigues secondaires et concentrer l’attention sur une seule action). Dom Juan ne respecte aucune de ces règles. Commençons par la règle de bienséance