Vraisemblance

réalité du monde. Par leurs œuvres ils recréent le monde tel qu'il le veulent. Pour recréé le monde il faut rester dans la vraisemblance. En littérature l'histoire racontée doit ressemblée à la réalité avec des détails qui nous font pensé que l'histoire est réelle et non réelle. En recréant le monde il faut donné un sens à l'histoire et ne pas partir trop loin de la vraisemblance. La liberté de la fiction dépasse la réalité et la modifie en inventant des objets, des êtres humains, etc... La fiction

temps (l’action ne doit pas dépasser 24 heures), l’unité de lieu (il faut un décor de palais pour une tragédie, un intérieur bourgeois pour la comédie) et l’unité d’ action (il faut tenir l’intrigue à une action principale). • La vraisemblance et la bienséance. La vraisemblance vise à montrer sur scène ce que le public peut croire. La bienséance interdit de faire couler le sang sur scène. On doit mourir en coulisses. La structure interne • L’exposition. Elle ne doit pas excéder le premier acte. Le

que le destin apportera. Au XIXème siècle, le personnage devient l’objet même de la vraisemblance. En effet, avec les mouvements du Réalisme ou encore du Naturalisme, les auteurs ont cherché la parfaite authenticité dans leurs romans. Ils ont alors pris comme cadres la société traditionnelle, le personnage représente une catégorie sociale, il est analysé dans tous les aspects de sa vie afin de rendre une vraisemblance ; comme disait Zola dans Le Roman Expérimental (1880) « l’écrivain naturaliste va

représentation, un discours, une idée et ce à quoi elle se rapporte, son référent, le monde, la réalité. La représentation en littérature de la vérité est quant à elle souvent associée à un impératif de vraisemblance, c'est -à -dire que celle-ci soit vraie ou possible. Cette idée de vraisemblance se rapporte à la notion de réalité et par conséquent sont confondues les notions de vérité, véracité et véridicité. En littérature et plus particulièrement au sein du roman, la vérité doit se dégager de

la comptabilité - l’expérience professionnelle de l’expert et sa connaissance de l’entreprise et de son environnement pour apprécier la cohérence et la vraisemblance des comptes annuels établis. L’objectif est de permettre à l’expert comptable d’attester qu’il n’a pas relevé d ‘élément remettant en cause la cohérence et la vraisemblance des comptes annuels établis. Le rapport consiste donc en une « assurance négative ». 2) Mission d’examen des comptes annuels Elle est plus particulièrement

la situation initiale (principe de la double énonciation). En fait, il doit « répondre » au questionnaire Quintilien (qui ? quand ? quoi ? où ? Comment ?). On note aussi la présence, d’aparté, de tirade ou bien de monologue qui décrédibilise la vraisemblance. On assiste de nouveau à un aspect conventionnel du théâtre. Puis, les comédiens qui ont un rôle attitré, sont dans l’imitation et donc dans l’exagération des traits. Ils miment un personnage et font semblant de faire quelque chose ce qui implique

ordinaire et son destin est des plus communs. Ainsi, peut-on se comprendre en lui et s’y identifier car il est la plupart du temps stéréotypé. On le considère comme le pivot central du roman : moteur de la fiction, il nous permet d’évaluer sa vraisemblance, qui a des limites très étroites, et l’authenticité qu’on lui accorde. Cependant, si la trame n’est pas réaliste, les personnages ne peuvent l’être aussi. On dissociera toujours une personne d’un personnage : la personne est réalité, le personnage

quelques heures. => Unité de lieu : Un seul lieu ; Ici le palais royale. => Unité d’action : Une seule intrigue principale. 3) Les règles secondaires : Bienséance et Vraisemblance => Bienséance : Pas de meurtre violent sur scène (on accepte les meurtres « propres » : Poison). Recourt aux tirades narratives. => Vraisemblance : Il faut que ce semble vrai. (Siècle de racine, Pyrrhus un roi = + grand des gentilshommes donc impossible qu’il contraigne une femme à l’épouser.) Andromaque, Acte II

le public, tout en le purifiant de ses passions.  Les règles de la bienséance et de la vraisemblance : on ne doit pas mourir sur scène. L’artiste doit corriger la Nature, s’il y a lieu ("le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable", Boileau).  Les règles du merveilleux et du sublime : les théoriciens exigent que le poète concilie les deux exigences contradictoires, le merveilleux et la vraisemblance (le Deus ex machina au théâtre). Le sublime est caractérisé par le naturel, la simplicité

scène. | |théâtre classique : bienséance, | | | | |- Règle de vraisemblance. |- Diversité : amour et haine, poésie|- Règle de vraisemblance. |vraisemblance, règle des trois | | | | | |et violence.