Vulgarité

extrait du rituel de CBSD et quelques merci à Pierre Desproges « S'il est vrai que l'humour est la politesse du désespoir, s'il est vrai que le rire, sacrilège blasphématoire que les bigots de toutes les chapelles taxent de vulgarité et de mauvais goût, s'il est vrai que ce rire-là peut parfois désacraliser la bêtise, exorciser les chagrins véritables et fustiger les angoisses mortelles, alors, oui, on peut rire de tout, on doit rire de tout. De la guerre, de la misère et de la mort » et surtout

à propos des pratiques religieuses. Centres d'intérêt principaux: I Une critique du fanatisme - violence croissante des discours: Choinois tolérant, Grec: intolérant et animé, Celte: intolérant et violent - discréditation des convives: vulgarité, ironie ("ayant trop bu, utilisation du verbre "croire"), propos contradictoires (canibales mais demande le respect) - le reufs d'être du même avis: " "vous êtes tous du même avis", à ce mot, ils se récrièrent tous" -> aucun ouverture d'esprit,

aux autres ce que soi-même on aime par-dessus tout ; amuser les petits au récit d'étranges aventures et distraire, apaiser, consoler les grands enfants que nous restons tous par une transposition spirituelle et bienveillante des tristesses et des vulgarités de la vie, c'est le privilège des conteurs, du vieil Homère, gonfalonier de la confrérie, et de cet autre qui s'est assis près de la tour du lépreux, et de celle enfin qai a cueilli d'une main diligente les légendes de Trianon. Hélas! les vrais

l’émergence de ce fait est apparu en premier et qui a servi d’exemple au monde. Dans son mode de consommation, son mode de vie, dans les produits consommés…  Il dénonce l’uniformisation du monde. Il nous le montre sous une forme de laideur et de vulgarité. Cette grosse femme, avec ses bigoudis et sa cigarette au bec, poussant son caddie débordant.  Nous ressentons un sentiment de malaise, car où est la marge entre le réel et la reproduction ? Cela nous dérange, nous interpelle. Est-ce un œuvre

de transgression – « Libertins charmants », les participants montrent une humanité qui a gagné en liberté et en élégance (texte 2). – Mimant les signes d'une revanche sociale, la fête peut parfois faire régresser ses participants jusqu'à une vulgarité quasi animale (texte 3). – L'essence de la fête populaire semble toutefois résider dans l'état d'oubli de soi auquel parviennent ses participants et qui les fait accéder à la conscience transcendante d'appartenir à une humanité collective, sans

Première partie : L’éducation et la société I-La désinstruction Les prochaines vagues de savoir à venir sont polluées par la dégradation de la société. Celle-ci s’effectue favorablement quand on aperçoit le rap français et ses paroles incitant à la vulgarité et à la qualité musicale très basse, les images diffusées sur les téléviseurs et internet provoquant la sensibilité et la violence et l’apparition de nouvelles technologies poussant à une idolâtrie inadmissible. Aujourd’hui, l’humain doit davantage

littérature. Malgré les secours que quelques cuistres célèbres ont apportés à la sottise naturelle de l’homme, je n’aurais jamais cru que notre patrie pût marcher avec une telle vélocité dans la voie du progrès. Ce monde a acquis une épaisseur de vulgarité qui donne au mépris de l’homme spirituel la violence d’une passion. Mais il est des carapaces heureuses que le poison lui-même n’entamerait pas. J’avais primitivement l’intention de répondre à de nombreuses critiques, et, en même temps, d’expliquer

leur travail et leur fatigue. Les attitudes des deux repasseuses (l’une penchée et appuie sur le fer, l’autre baille avec une bouteille de vin à la main) sont peu raffinées. Pourtant Degas, un noble, nous offre une image authentique, sans aucune vulgarité et pleine d’humanité. Ce tableau est emblématique de l’œuvre de Degas car il représente des femmes du peuple faisant un travail dur. L’Entrée des Croisés à Constantinople

Aveugles. a) Jeu sur l’énonciation. b) Une volonté du locuteur de se moquer. c) Insistance sur l’étrangeté menaçante des aveugles. II) Les aveugles, une allégorie du poète. a) Un jeu d’opposition entre deux mondes. b) Dénonciation de la vulgarité de notre existence. c) Une allégorie du poète. III) Le lecteur invité à se reconnaitre. a) Du « on » au « nous ». b) « Je » est un autre, entre autres, le lecteur

Jean hérite d' « une vingtaine de mille francs » et madame Rosémilly a « une douzaine de mille francs de revenu en bien-fonds, en fermes et en terrains ». • Ces personnages ne sont pas héroïques mais ils ressemblent aux hommes ordinaires (ex : vulgarité du père Roland est dévoilée par ses paroles « zut », « cristi » et par sa naïveté). C- Une histoire finalement « de tous les jours » • Ce roman semble raconter une histoire réelle, banale qui peut arriver à tout le monde. •Pas d'aventure