Vulgarité

désignant un gros nez peu gracieux. B. Une recherche ludique sur le langage Ce mélange entre préciosité et prosaïsme se retrouve dans le langage. Queneau montre une jubilation certaine en jouant avec les mots, pour créer des effets comiques. La vulgarité du premier mot est frappante. Le verbe « puer », familier, est répété trois fois dans la scène. Si la nature de cette odeur n’est pas explicitement décrite, certains mots la révèlent. Gabriel parle ainsi de « Barbouze, un parfum de chez Fior ». On

abruptes (« Dans la trappe, alors! »), et marquées par une familiarité en décalage avec la royauté. Ubu tutoie les Nobles ainsi que Mère Ubu, il ne se prive pas d’insulter les Nobles qu’il va condamner. 1.2. La vulgarité Ce point est étroitement lié à la violence du personnage, que sa vulgarité ne fait que renforcer. Père Ubu multiplie les insultes (« Tu as une sale tête », « stupide bougre », « bouffre » – ce qui est un néologisme). En revanche, « pigner », pour « pleurer », qu’Ubu emploie en s’adressant

« impétueux » , « orageuse » (temps changeant) ou « mugissement » (cri sourd de l‘espèce bovine), on devine la violence, le trouble et la bestialité qui vont accompagner le sac du palais. Ambivalence d’une description qui oscille entre grotesque et vulgarité On remarque dans un premier temps une description qui mêle ironie et grotesque au point qu’on pourrait presque assimiler cette scène au théâtre de l’absurde. Comme au théâtre, on remarque que la foule est déguisée; les costumes, qui ont une valeur

sens des occasions qui ont une valeur estimable. Çette vertu Cest la magnificence qui est opposé à deux vices: la mesquinerie er la vulgarité (2 vices) Lhomme mesquin Cest celui pensé qu'il donne assez mais k, faut jamais suffisement. Il y a lhomme vulgaire Cest celui qui pêche par excès (il dépense bien trop que ce que ne mériterait l'événement en question). La vulgarité chez aristote est lié au manque de goux, c'est une faute de goux. On retrouve encore la citation "quand il faut etc..." El,e veux

de « bougre » : « merdre de bougre, bougre de merdre ». La septuple reprise et sa place soulignent la mise en valeur du mot. Le « vrout » qui le précède dans la dernière réplique de Mère Ubu ajoute un second mot grossier qui accentue la vulgarité du précédent.  Cette vulgarité est présente aussi dans le lexique: « fiole » , « cul » (repris), « passer par la casserole », « dur à la détente ». D'autres jurons émaillent le passage: « Ventrebleu », et l'expression « de par ma chandelle verte », constante chez

redoublement souligné par le chiasme et la présence de bougre. La septuple reprise et sa place soulignent la mise en valeur du mot. Le vrout qui le précède dans la dernière réplique de Mère Ubu ajoute un second mot grossier qui accentue la vulgarité du précédent.  Cette vulgarité est présente aussi dans le lexique : fiole , cul (repris), dur à la détente. D'autres jurons émaillent le passage: Ventrebleu , et l'expression de par ma chandelle verte, constante chez Ubu. Ces deux jurons frappent par leur archaïsme

de n’avoir aucun scrupule elle est cruelle, elle considère comme une évidence qui l’y a pas de mal à massacrer la famille du roi. On comprend ainsi l’intrigue de la pièce, la mort souhaité du roi. 13 expression soutenue qui contraste avec la vulgarité du personnage et sa formule « vous allez passer à la casserole ». Ces mélanges tendent à disloquer et à ridiculiser le style noble. En cela, cette écriture procède d'une volonté délibérée de provocation, que l'on retrouve dans le décalage entre

redoublement souligné par le chiasme et la présence de bougre. La septuple reprise et sa place soulignent la mise en valeur du mot. Le vrout qui le précède dans la dernière réplique de Mère Ubu ajoute un second mot grossier qui accentue la vulgarité du précédent. Cette vulgarité est présente aussi dans le lexique : fiole , cul (repris), dur à la détente. D'autres jurons émaillent le passage: Ventrebleu , et l'expression de par ma chandelle verte, constante chez Ubu. Ces deux jurons frappent par leur archaïsme

J’ai envie de m’asseoir sur ses poumons ! » (Acte I, 4). De plus, dans les tragédies Shakespeariennes, le langage est toujours noble, les discours sont grands, pleins de poésies, en revanche dans les réécritures modernes c’est le vide et la vulgarité qui dominent. En effet, si l’on prend la pièce de Macbeth ou du Roi lear, les deux pièces Shakespearienne sont pleines de poésie de recherches stylistiques, de vocabulaire élevé ainsi que de métaphores, « fair is foul, and foul is fair »(Acte I,1)

poète en opposition avec le vers 3. « Qui hante la tempête » Connotation surnaturelle de hante. L'Albatros ------->poète au dessus du réel qui vive avec courage dans le danger. « Au milieu des huées » Le poète est entouré par la vulgarité et l'hostilité. Ressemblance avec le poème de Théophile Gauthier, Le Poète et le Foule. Un poète incompris, méprisé et solitaire : « Exilé sur le sol » Exil = obsession Baudelairienne. Comme Adam et Ève exilés sur la terre ou Adromaque