Vulgarité

redoublement souligné par le chiasme et la présence de bougre. La septuple reprise et sa place soulignent la mise en valeur du mot. Le vrout qui le précède dans la dernière réplique de Mère Ubu ajoute un second mot grossier qui accentue la vulgarité du précédent. Cette vulgarité est présente aussi dans le lexique : fiole , cul (repris), dur à la détente. D'autres jurons émaillent le passage: Ventrebleu , et l'expression de par ma chandelle verte, constante chez Ubu. Ces deux jurons frappent par leur archaïsme

suffit à lui-même : le monde de la perfection. Ce qu’ailleurs dans les Fleurs du Mal on nomme « L’idéal ». Dénonciation de la vulgarité de notre existence : plaisir → atrocité gradation (qu’on pourrait appeler ici une dé-gradation...) : chantes, ris, beugle : termes de plus en plus péjoratifs, qui marquent précisément le glissement du plaisir vers la vulgarité. Deux vers suffisent à régler leur compte aux prétendus plaisirs de la cité, et l’on peut mettre ces vers en relation avec Le Crépuscule

croit à l'existence du Vrai et du Beau, valeurs universelles et éternelles et on cherche à peindre la nature humaine (défauts, comportements, qualités) Le style : on respecte la décence (pas de scènes choquantes), on écrit de façon claire, sans vulgarité. II. Enjeux du Classicisme • • L'honnête homme : un homme tolérant, curieux mais pas orgueilleux (pédant) Plaire et instruire : chercher à instruire les hommes (sur l'existence, sur les comportements humains) mais en divertissant. Avoir du succès

rappeler «Ces pauvres miséreux de l'Inde qui vivent dans la rue» alors qu'elle est elle même une bourgeoise, qui profite du confort de sa classe. Cette phrase est donc décalée par rapport à son discours moralisateur, où elle condamne d'Ariane. La vulgarité se retrouve aussi dans son langage avec des phrases asyntaxiques «Les voyages Côte d'Azur !» «Bref la princesse!» ainsi que des expressions populaires comme: «Total quatre mille trois cent nonante-cinq francs(...)» Cette expression est importante

allure paysanne dévalorisation es personnages ainsi présenter comme non noble le langage familiers avec le jurons « Merde !! »que l'ont peu caractérisé comme des euphémisme de la comédie classique, double transgression,, double dégradation avec la vulgarité, expressions familières sonorité » un méchant et gras chat » et des archaïsmes « vous êtes » ces procédés ainsi que le langage familiers donne au texte un aspect comique et et renforce l'aspect ludique, le comique est ainsi lié à la provocation le

L 19. « au... » mémé douceur et même soumission aux réprimandes de la mère . L16 et l 17 . le choix du discours direct précise les caractères et donne une consistance a des personnages pourtant stéréotypés de la mère au retour de la fille ainée. Vulgarité de l'expression qui apporte une touche de réalisme inattendue « c'est sa soeur ...elle me le paiera » l 36 les brimades que la mère inflige a sa fille cadette vont être l'occasion de l'épreuve a laquelle vont être soumise les 2soeurs . Cette épreuve

politique du rire , où en effet les humoristes sont en rognent de cette hypocrisie dont fait preuve la société et les médias . Il demandent le respect des hommes politiques mais qui ces derniers se comportent de façon vulgaire. C'est bien entendu cette vulgarité des caricature qui a risqué des échecs à certains humoristes. De plus , afin de ne pas tomber dans cette discrétisation de l'homme politique et donc à l'échec de leur comique humoristique, certains d'entre eux ont préféré passer d'un rire subversif

Stendhal veut peindre dans cet extrait. Au-delà d'une simple scène de dîner, l'auteur cherche, à travers son personnage, à représenter les vices de la société des années 1830, qu'il regroupe selon trois grands défauts : la vulgarité, la malhonnêteté et l'arrogance.En effet, la vulgarité est omniprésente dans cet extrait. Il y a un caractère ostentatoire récurrent dans le texte, qu'on retrouve dans le premier paragraphe avec « on lui disait le prix de chaque meuble », mais aussi avec « ce vin coutait neuf

Hugo : Hernani, Ruy Blas, Le Roi s’amuse, etc… Rejet du théâtre classique : Shakespeare est admiré. Abandon des trois unités : * les décors changent a chaque acte * une intrigue longue : foisonnante, épisodes pittoresque * jamais de vulgarité XXe siècle : Plus de théâtre de boulevard : théâtre a émotions fortes et faciles avec une intrigue et des jeux de scènes complètement artificiels mais très rapides. XXe siècle en France : * Théâtre qui reste en lien avec la tradition :

1844 : Mise sous tutelle par sa mère. * 1845 : tentative de suicide. * 1857 : publications des « Fleurs du Mal » et condamnation. 6 poèmes doivent être supprimés, Baudelaire devient célèbre : entrée de choses modernes dans la poésie : vulgarité(ex :métamorphose). * 1864 : Départ pour la Belgique, troubles psychiques. * 1867 : mort de Baudelaire * 1868 : Edition posthume des « Fleurs du Mal » Citations de Baudelaire : * « Ah Seigneur ! Donnez-moi la force et le courage