Vérités Objectives

Définition du Naturalisme : Le mouvement naturaliste est une école littéraire et artistique qui apparaît au XIXème siècle. Ce mouvement visait à reproduire la réalité objective. Fortement lié à Emile Zola qui est le théoricien de cette école, le naturalisme est un réel système d’analyse et d’explication de la nature, cherchant et montrant la vérité. Les écrivains à travers ce mouvement veulent rivaliser avec la science pour décrire toute la nature humaine. Ce mouvement influença plusieurs peintres par exemple :

et le réel > > Introduction à l’examen du programme : les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 La recherche de la vérité n’a-t-elle de sens que dans le domaine de la connaissance théorique ? 47 ............................................... > Notre rapport au monde peut-il n’être que technique ? ......................................... 57 .....

n°1 : Philosophie et vérité (la vérité, la perception, l'interprétation, matière et esprit, interprétation) Intro : La philosophie,première quête rationnelle de la vérité, Naissance en Grèce antique autour du Viè siècle avant JC. Pythagore a été le premier philosophe. Philosophie = Philia (aimer) + Sophia (sagesse) } ami de la sagesse Sagesse? 1. Dimension MORALE = viser le bien, être vertueux = être RAISONNABLE 2. Dimension épistémologique = être savant, rechercher la vérité = être rationnel

pourtant par là qu’il faudrait commencer. » Une croyance consiste à porter un jugement dont la vérité objective n’est pas garantie. (C’est une opinion qui n’implique pas forcément la vérité de ce qui est cru et donc s’oppose au savoir qui implique la vérité de ce qui est su.) On va mettre en place une typologie des croyances et en repérer quatre : • La croyance en laquelle la garantie objective de l’opinion est très faible voir nulle alors que celui qui l’affirme éprouve une conviction très

de domination et de servitude que s’ancre cette conception. Pour Hegel, l’homme ne devient proprement humain que lorsqu’il obtient la reconnaissance d’un autre homme, c’est-à-dire lorsque la certitude subjective qu’il a de lui-même se mue en vérité objective. L’homme veut être reconnu en tant qu’homme, autrement dit il veut prouver à l’autre que pour la lui, la vie purement animale, la vie des besoins, n’est rien. C’est pourquoi il est prêt à risquer sa vie dans une lutte à mort pour la reconnaissance

La vérité concerne l’ordre du discours, et il faut en cela la distinguer de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l’adéquation entre le réel et le discours. Qualité d’une proposition en accord avec son objet. La vérité formelle en logique, en mathématiques, c’est l’accord de l’esprit avec ses propres conventions. La vérité expérimentale c’est la non-contradiction de tous jugements, l’accord et l’identification de mes énoncés a propos d’un donné matériel. On distingue soigneusement

Lorsque je veux savoir si une vérité est bonne et salutaire, si c'est une vraie vérité, je me l'incorpore, je l'ingère, pour ainsi dire; si elle me convient, si elle collabore harmonieusement au sein de mon organisme avec les autres élément de mon psychisme, si je continue à bien fonctionner, à bien me porter et si rien en moi ne se révolte contre l'intruse, je me dis que c'est là une bonne vérité, qu'elle n'est pas vénéneuse, qu'elle ne me nuit pas. (...) Une grande vérité crée dans celui qui la distingue

sur les rapports entre l'esprit et la matière. L'esprit seul peut avoir des illusions car seul l'esprit connait, et a conscience de la vérité et de l'erreur; c'est par l'esprit que nous pouvons prendre du recul et réfléchir sur ce qui se présente à nous. La matière est ce qui compose le monde des objets extérieurs offert à la pensée; de par son existence objective, la matière ne dépends pas de l'esprit. Enfin, une illusion est une croyance non fondée objectivement: à la différence de l'erreur que

De quelle vérité l’opinion est-elle capable ? Introduction : Selon Platon, philosophe grec et disciple de Socrate, (427 – 347 av. J.C.) « rien n’est plus funeste à l’homme qu’une opinion fausse ». Mais peut-on dire d’une opinion qu’elle soit vraie ou, au contraire, fausse, puisqu’elle n’est que subjective ? Nous ne pouvons pas dire en bloc que l’opinion est « fausse ». On y trouve toutes choses et aussi son contraire. Elle peut contenir des idées justes, mais aussi des préjugés grossiers

premier auteur à théoriser le statut de l'oeuvre d'art fut Platon qui lie la question de l'art à celle de la vérité. Car l'oeuvre d'art recèle un pouvoir, elle peut influencer et tromper en donnant à prendre une apparence pour la réalité. C'est déjà ici une critique de l'image et une inquiétude quant à sa puissance d'influencer le jugement de celui qui en subit l'attrait. Cette question de la vérité de l'oeuvre et donc de la place de l'artiste dans la société, Platon la pose relativement à deux arts que