Wallonie

et le sud du pays. La Belgique se situe alors (tout comme aujourd’hui) sur la frontière linguistique qui sépare les peuples germanophones et les peuples romans : dans le nord du pays, en Flandre, on parle le néerlandais, et dans le sud du pays, en Wallonie, le français. Parmi les quatre millions d’habitants, il y a environ 2.200.000 de Flamands, et à peu près 1.700.000 Wallons. Malgré le fait que les Flamands sont majoritaires, le français devient la langue officielle unique du pays, non pas tellement

religion. La Flandre est une grande majorité catholique au contraire de la Wallonie qui est plus une majorité de libre-penseur. Il s’est créé en effet une barrière linguistique qui engendra beaucoup de contraintes. Il est parfois dit que belge n’est pas une « nationalité », la cause en est la différence linguistique et donc une séparation distincte de ces deux communautés. La Belgique est organisée en conséquence : la Wallonie et la Flandre. En effet, cette différence touche tous les niveaux, tout comme

gauche en Belgique et l'opinion wallonne en particulier ne nourrit aucune illusion sur la conduite de Léopold III pendant la guerre et c'est ce qui déclencha la question royale en Belgique menant la Wallonie à l'insurrection de 1950. Les attitudes prises par les responsables tant en France qu'en Wallonie ou en Flandre sous l'occupation ont terriblement nourri ce mot d'attentisme, même s'il peut s'appliquer à d'autres situations. Années soixante[modifier] Aux États-Unis, lire le récit des Oppositions

la déprime européenne qui gagne la Belgique ou l'implosion de la Belgique qui menace l'Union européenne ? Sont-ce les ondes négatives de Bruxelles qui irradient l'Europe ? La création éventuelle d'une république des Flandres et d'une république de Wallonie constituerait un encouragement fort pour la Catalogne et l'Ecosse… Un univers mental et politique se traduit sur le plan architectural. Le grand architecte français Christian de Portzamparc a été chargé de recréer autour de la rue de la Loi à Bruxelles

CONSTRUIRE UNE FÉDÉRATION « WALLONIE-BRUXELLES » Introduction : Wallonie + Bruxelles = une économie au service des Wallons et des Bruxellois 1. Wallonie + Bruxelles = + de force économique = + de force politique 2. Wallonie + Bruxelles = des pôles d’attractivité entre les villes wallonnes et Bruxelles 3. Wallonie + Bruxelles = des secteurs + performants 4. Wallonie + Bruxelles = + de service aux entreprises 5. Wallonie + Bruxelles = des aides financières

L’économie Wallonie Introduction : Comme l'économie classique, l'économie sociale vise au développement d'activités économiques productrices de biens ou de services. Elle se distingue toutefois de celle-ci par sa finalité qui est l'intérêt de la collectivité, le renforcement de la cohésion sociale et le développement durable. L'essor pris par les entreprises de ce type en Région wallonne a amené le législateur wallon à consacrer l'économie sociale dans un décret du 20 novembre 2008 (Décret relatif

compte 3,5 millions d’habitants avec une superficie de 16.844 km². Cette région aide les entreprises à se développer. Cette région se compose de 5 provinces : le Brabant, Wallon, Namur, Liège, le Hainaut et Luxembourg. Namur est la capitale de la Wallonie donc la ville principale. 4 b) La répartition géographique Source : registre national au 01/01/2010 Entre le 01/01/2010 et le 01/01/2012 la Belgique a connu la croissance la plus forte de son histoire en terme de population. En effet

centre), la Région Flamande ou La Flandre (celle qui est au Nord) et la Région Wallonne ou La Wallonie (celle qui est au Sud). Les langues officielles sont le Néerlandais (qui est parlé en La Flandre et dans la Région bruxelloise), le Français (qui est parlé en La Wallonie et aussi dans la Région bruxelloise) et l’Allemand, qui est parlé dans les neuf communes proches de L’Allemagne et la Wallonie. Le Néerlandais est la langue la plus parlée, et le Flamand est considéré un dialecte. En

qui n'a jamais subit ce genre de révision majeure en l'espace de bientôt 180 ans. III. Les enjeux et retombées économiques Au centre des débats et médias lorsqu’on aborde le sujet houleux des tensions communautaires entre la Flandre et la Wallonie se situe la question économique. Dans un premier temps, et afin de mieux comprendre ces tension il est nécessaire d’analyser séparément la santé économique des trois circonscriptions belges. Le cœur économique de la Belgique est incontestablement

dépendance en Flandre et en Wallonie était quasiment identique, avec respectivement un taux de dépendance de 30,8 et 30,6. Par contre, à Bruxelles, la population de plus de 65 ans était moins dépendante par rapport à la Flandre et la Wallonie. En effet, elle possède un taux de dépendance de 29,8. Ensuite, en 2050, le taux de dépendance connaitra une véritable croissance. Celui-ci aura effectivement quasiment doublé en Flandre, passant alors d'un taux de 30,8 à 61. En Wallonie, le taux de dépendance