Wang Fo

contre la leucémie. Titre : Comment Wang-Fô fut sauvé (du recueil ‘Nouvelles orientales’) Auteur : Marguerite Yourcenar Date de sortie : 1938 Editeur : Gallimard Nombre de pages : 12 Ce recueil est une reprise d’une ancienne légende chinoise, racontant l’histoire du peintre Wang-Fô et son élève Ling. Ils vont de ville en ville pour peindre les plus beaux endroits du pays. Un jour, ils se font capturer par les soldats de l’empereur, qui l’emmènent au palais. Wang-Fô était un excellent peintre, tellement

les religions polythéistes, les couleurs chaudes. b) Chaque nouvelle est « orientale » car tous les récits se situe en Orient et aussi car l'auteur s'est inspiré de récits, de légendes méditerranéens, slaves, d’Extrême-orient, … • Comment Wang-Fô fut sauvé : elle est « orientale » par le nom du protagoniste et car il est mention d’empereur, du royaume de Han, d’encre de Chine, … • Le sourire de Marko : est « orientale » puisqu’ il est dit que cette histoire provient d’une légende d’origine

la lame de l'horloge. S comme sauvetage : - Parce que à la fin de l'histoire le personnage principal a été sauvé par le général Lasalle. Comment Wang-Fô fut sauvé C comme créatif : - Parce que Wang-Fô est une personne très créative. Il donne vie à ses peintures, sinon il ne serait pas un peintre. I comme ispiration : - Parce que Wang-Fô s' inspire de différentes personnes pour réaliser ses œuvres. F comme fidèle : - Parce que son élève Ling est très fidèle à son maître : il a vendu

roman) II) L’œuvre : résumé des nouvelles « Comment Wang fô fut sauvé » : Cette nouvelle raconte l’histoire d’un peintre nommé Wang et de son disciple Ling errant le long des routes du royaume de Han. Ling était un fils issu d’une famille riche et possédant une très belle maison que ses parents lui léguèrent. Il avait une femme pour laquelle il éprouvait de l’amour et de la tendresse. Cependant un soir dans une auberge il rencontra Wang Fô , un peintre magicien (ce qu’il peint prend vie). Il lui

Comment Wang-Fô fut sauvé Dans la Chine du Moyen Âge, un vieux peintre du nom de Wang-Fô erre de village en village, vivant dans la misère mais dédaignant l'argent, avec pour seul compagnon son disciple, appelé Ling. Un jour où les deux dorment à même le sol dans une auberge, ils sont arrêtés par la milice et emmenés auprès de l'Empereur. Celui-ci lui annonce qu'il aura les yeux brûlés et les mains coupées, mais qu'à l'instant du « dernier repas du condamné », il devra terminer une peinture commencée

et l'apologue sont des reflets de la société du fait qu'ils exposent au lecteur des images de la société : monarchie absolue dans les obsèques de la lionne de jean de la Fonatine, des vices comme la jalousie dans comment wang fo fut sauvé des eaux ou l'empereur veut tuer wang-fo par simple jalousie.Deuxièmement, à travers les personnages symboliques présents dans ces 2 types de texte nous pouvons voir qu'ils sont le reflet de la réalité. Par exemple dans les obsèques de la lionne les animaux renvoient

et l'apologue sont des reflets de la société du fait qu'ils exposent au lecteur des images de la société : monarchie absolue dans les obsèques de la lionne de jean de la Fontaine, des vices comme la jalousie dans comment wang fo fut sauvé des eaux ou l'empereur veut tuer wang-fo par simple jalousie. Deuxièmement, à travers les personnages symboliques présents dans ces 2 types de texte nous pouvons voir qu'ils sont le reflet de la réalité. Par exemple dans les obsèques de la lionne les animaux

principaux sont la peinture, l'être humain, la solitude et le voyage. Le premier thème fait écho à la première nouvelle du livre, mais ici, l'art n'est non plus une passion (comme pour Wang-Fô) mais un moyen de gagner sa vie. De plus, il n'arrive pas à sauver Cornélius de son grand désespoir alors qu'il a épargné la mort à Wang-Fô. Les deux derniers thèmes marquent un lien direct avec l'auteure. En effet, Marguerite Yourcenar a beaucoup voyagé et longtemps vécu dans la solitude. Mais elle le vivait bien car

datée de 1978 sont d’après l’auteur des retranscriptions assez libres de légendes authentiques. Comment Wang-Fô fut sauvé Inspiré d’un apologue taoïste de la Chine ancienne, ce récit magnifique décrit un peintre qui meurt et vit éternellement en se fondant dans son œuvre ultime, son chant du cygne. «Le peintre Wang-Fô et son disciple Ling disparurent à jamais sur cette mer de jade bleu que Wang-Fô venait d’inventer.» Le sourire de Marko La légende du géant Marko a traversé les siècles sous la forme

avouée dans le décor, dans le style, dans l'esprit des textes. De la Chine à la Grèce, des Balkans au Japon, ces contes accompagnent le voyageur comme autant de clés pour une seule musique, venue d'ailleurs. Les surprenants sortilèges du peintre Wang-Fô, " qui aimait l'image des choses et non les choses elles-mêmes ", font écho à l'amertume du vieux Cornelius Berg, " touchant les objets qu'il ne peignait plus ". Marko Kralievitch, le Serbe sans peur qui sait trompait les Turcs et la mort aussi bien