Warren Buffett

des provisions et des réserves (« cookie jars ») pour faciliter la régularisation des résultats futurs ; • l’exploitation des opérations de fusion-acquisition au service des méthodes précédentes. Dans sa célèbre lettre annuelle aux actionnaires, Warren Buffett avait, parmi d’autres, dès 1998, dénoncé ces travers et soutenu les initiatives de l’époque pour que les sociétés cotées « rendent compte de la réalité » à leurs actionnaires en qualifiant cette ambition d’ « herculéenne » parce que « beaucoup

vision à long terme qui leur fasse mettre l’accent sur l’investissement en actions, il a reconnu avant l’heure les succès concrets extraordinaires obtenus par Swensen. Parfois explicitement, souvent implicitement, Tobin, Markowitz, Samuelson, Sharpe, Buffett, Black, Scholes, Ross, Liebowitz, Litterman et d’autres grands penseurs sont présents dans ce livre. Rien n’est plus puissant qu’une théorie qui a fait ses preuves, et Swensen a intégré la recherche fondamentale universitaire à la dure loi chaotique

secondes, le faux pendu relève la tête, déçu de ne pas provoquer plus de réaction. L’écriture de cette scène permet d’attirer l’attention sur les jeux morbides de cet adolescent et d’en faire un personnage intrigant, cynique et décalé. Au début de Buffet froid de Bertrand Blier, Gérard Depardieu descend un escalator de métro et s’approche lentement du seul autre voyageur présent, incarné par Michel Serrault. Il s’assied dos à lui. S’engage alors entre ces deux étrangers un dialogue digne de Beckett

offrir des articles sur les vedettes et informer sur les nouveautés musicales. Il est en concurrence directe, par ailleurs, avec la presse féminine. Il décline donc les rubriques de mode, beauté et cuisine en les adaptant aux adolescentes et propose le buffet de la surprise-partie ou le repas pour les copains. Il conjugue également mode et chanson avec des articles tels que « Sylvie chez le coiffeur ». Il marche également sur les brisées des romans-photos avec des récits de films calqués sur ce modèle

D ES INÉGALITÉS ACCRUE S "Tout va très bien pour les riches dans ce pays, nous n'avons jamais été aussi prospères. C'est une guerre de classes, et c'est ma classe qui est en train de gagner" déclarait il y a peu le milliardaire Américain Warren Buffet. Malgré le processus de rattrapage des revenus moyens entre pays du Nord et pays du Sud, on constate partout une tendance fondamentale de la mondialisation : la divergence de plus en plus marquée dans la répartition des revenus. Au sein de chaque

sur tous les fronts de la mystification. La concurrence était embryonnaire et accusait dix ans de retard : la Pouise & Fontaine régnait sans partage sur le monde et fournissait les clients les plus prestigieux (L. Ron Hubbard, le PCF, la commission Warren, entre autres). Les meilleurs menteurs de la planète se bousculaient à l’embauche. Sa position de quasimonopole lui permettant de pratiquer des tarifs élevés, les bénéfices étaient énormes. En 1972, Théodore Pouise II fut sacré patron de l’année par

Pins. Comme des collégiens affamés par plusieurs heures de cours, ils se ruaient vers les tables alors que les travaux se déroulaient encore dans les salles du congrès. Le comble a été atteint, c'en est même indescriptible, lors de la ruée vers les buffets. Dans une même assiette voisinaient le gâteau, le poisson, le couscous, le bourek, le tout arrosé de vinaigrette, de mayonnaise et de crème pâtissière. Le but évident était de ne rien rater, de s'accaparer du maximum et peu importait le gaspillage

Pins. Comme des collégiens affamés par plusieurs heures de cours, ils se ruaient vers les tables alors que les travaux se déroulaient encore dans les salles du congrès. Le comble a été atteint, c'en est même indescriptible, lors de la ruée vers les buffets. Dans une même assiette voisinaient le gâteau, le poisson, le couscous, le bourek, le tout arrosé de vinaigrette, de mayonnaise et de crème pâtissière. Le but évident était de ne rien rater, de s'accaparer du maximum et peu importait le gaspillage

associés à de plus grandes entreprises [voire au Conseil supérieur de l’Ordre des experts-comptables ?!]. Les cartes des leaderships du monde de demain sont parfois spectaculairement redistribuées : en témoigne l’annonce vertigineuse faite par, Warren Buffett, le 25 juin dernier, de son intention de donner quelque 37 milliards de dollars [29,6 milliards d'euros], à la fondation Bill et Melinda Gates et aux fondations des membres de sa propre famille. Cette décision, qui porte sur plus de 80 % de sa

s’emballait, en septembre et octobre 2008, la bourse de Well Street s’est effondrée, le marché financier américain a été touché à leur tour, et l’ensemble du système financier étant menacé d’implosion. 1Berkshire. La solidité de l’empire de Warren Buffett commence à se fissurer. Après Fitch, c’est au tour de l’agence de notation Moody’s de priver la société d’investissement de ce note « AAA » Moody’s a ainsi réduit la note de la dette de deux crans, de AAA à Aa2, en raison de la baisse des marchés