Y A T Il Des Valeurs Universelles

sens du problème La question posée est celle du "droit" c'est à dire de la légitimité. Est-il légitime de mentir par omission ? Est-ce moral, sinon toujours au moins parfois ? La question est donc de savoir s'il y a vraiment un devoir de vérité (et en ce cas il est sans exception car tout devoir est absolu) ou si, au contraire, il est parfois moral de ne pas dire. La question est celle de la véracité. Faut-il toujours être vérace ou a-t-on parfois le droit de s'abstenir et alors quand ce droit existe-t-il

n'est pas bonne à dire et il existe des circonstances où je sais pertinemment que dire la vérité nuira à autrui. Que faut-il alors en penser : Y a-t-il un devoir absolu de vérité ou est-il parfois moral de taire ce qu'on sait ? L'enjeu de cette question est celui de nos devoirs envers autrui, s'il est vrai que la parole est un acte social. Il est clair qu'il existe des circonstances où ne pas dire la vérité est une lâcheté mais faut-il en conclure que la véracité est un devoir c'est à dire un impératif

d’une civilisation universelle A l’ouverture de cette séance, qui a eu pour thème «La diversité des civilisations, facteur d’enrichissement de la civilisation universelle», Mme Farouk a souligné que la Tunisie, pays des treize civilisations, est devenue un modèle d’interaction entre les cultures et un symbole du dialogue et de la conciliation de l’authenticité et de l’ouverture. Elle a indiqué que le Président Zine El Abidine Ben Ali a appelé, depuis le Changement du 7-Novembre, à la consécration

Les droits des femmes entre droit et fait L’égalité en droits, valeur et norme universelle Dès l’adoption de la Charte de l’ONU en 1945, les peuples des Nations unies ont affirmé « leur foi […] dans l’égalité des hommes et des femmes ». L’article 1er de la Déclaration universelle des droits de l’Homme [DUDH] adoptée le 10 décembre 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies rappelle que « tous les êtres humains naissent et demeurent libres et égaux en dignité et en droits ». Cette proclamation

sociétés qui l’on dûment adoptées » Prof. Dr. Niemba Souga Jacob (Expert en Science de l’Etat, en Pouvoir Politique Bonne gouvernance et en économie publique) La démocratie que d’aucuns souvent disent, en termes spéculatif, un idéal impossible à atteindre est une évidence dans les démocraties libérales. Cependant, le concept peut revêtir plusieurs significations selon la spécialisation du départ de celui qui l’analyse. Néanmoins, pour le politicologue, depuis l’Antiquité grecque jusqu’aujourd’hui

200g. 2- Matériel Chronomètre à étincelle Ruban de 1,5 m (2) Objet ayant une masse de 100g Objet ayant une masse de 200g Support universel Pince universelle Règle Ruban adhésif brun 3- Schémas 4-Protocole 1. Faire le montage comme le schéma au #3 et brancher le chronomètre à étincelle. 2. Prenez 1,5m de ruban 3. Fixer le poids de 100g sur l’extrémité du ruban à l’aide de ruban adhésif. 4. Avec l’autre extrémité du ruban, rentrer le ruban dans le chronomètre à étincelle pour que l’objet puisse

MULTICULTURALISME Charles Taylor Edition Champs Flammarion 2003 I. Comment la reconnaissance forge notre identité 1. La reconnaissance est un besoin vital Taylor commence par donner une définition de l’identité : elle désigne qch qui ressemble à la perception que les gens ont d’eux-mêmes et des caractéristiques fondamentales qui les définissent comme êtres humains. La thèse centrale de son livre est que notre identité est partiellement formée par la reconnaissance ou par son absence, ou encore par

refus de toute contrainte, c'est-à-dire de toute limite. Le libre arbitre est donc la volonté qui se veut en soi infinie, l’en soi désigne ici la réflexion de la volonté en elle-même. Lorsque la volonté se réfléchit dans la conscience d’elle-même, elle se sait en elle-même infinie c'est-à-dire un pouvoir d’action illimité. Or pour cette volonté infinie la loi représente un obstacle puisqu’elle impose une limite à mon action. Le libre arbitre a donc une attitude négative à l’égard de la loi et l’on peut

CENTRALE P A R I S POLYSEMIE DU TERME VALEUR OU CONFLIT D’INTERETS ? UNE ANALYSE A TRAVERS LES DISCIPLINES Walid BEN AHMED & Bernard YANNOU Cahier d’Etudes et de Recherches CER 01-04 LABORATOIRE PRODUCTIQUE LOGISTIQUE Grande Voie des Vignes – 92295 CHATENAY-MALABRY - FRANCE ÉCOLE CENTRALE PARIS ECOLE CENTRALE LYON ÉCOLECENTRALE LILLE DIPLÔME D’ÉTUDES APPROFONDIES GÉNIE DES SYSTÈMES INDUSTRIELS ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE POLYSEMIE DU TERME VALEUR OU CONFLIT D’INTERETS ? UNE

Qu'est-ce qui fait la valeur d'une valeur morale? Les valeurs morales, idées qui guident le jugement d'un individu à l'appui d'un « code moral », ou système de référence éthique, semble s'imposer à la conscience individuelle comme aspiration à un idéal, ce dernier relevant au premier abord du « bon » ou du « juste ». Si l'étude sociologique ou anthropologique est susceptible de révéler la transmission d'une valeur morale par une idéologie singulière, une religion, une société humaine, l'homme