Y A T Il Des Vérités Indémontrables

interrogation, une quête, une recherche à propos d’un sujet d’enquête (Aristote). Le problème laisse le choix entre le oui et le non, d’où la problématique qui est l’expression d’une contradiction qui réclame une démonstration. • Des problèmes. Ils relèvent de la logique (science qui connaît les contraires ou non), de la physique (le monde est éternel ou non), de l’éthique (il faut obéir aux lois ou à ses parents), de la métaphysique (le monde a un commencement ou non), de la philosophie

exprime en deux mots toute la confiance des penseurs du XVIIIème siècle en la raison humaine. Chaque Homme détient en lui une parcelle de vérité et d’autonomie de jugement qui mérité d’être respectée pourvu qu’elle fasse appel à la raison. Plus exactement, chaque personne a en elle toute la connaissance, mais celle-ci est « oubliée », cachée. Rechercher la Lumière à travers notre travail, n’est ce pas le lien qui nous unit ? Le savoir (lat. scire) et la connaissance (lat. scienta) supposent une démarche

comprendre la vérité. De plus, il est important de faire la différence entre le discours religieux et le discours philosophique. Le discours religieux, avec ses mythes et ses textes sacrés, a été le premier à donner des réponses, vraies selon lui, aux grandes questions que se pose l’être humain depuis très longtemps (Qui sommes-nous? D’où venons-nous? Où allons-nous?). Même si ces réponses sont dites vraies, toute personne qui y réfléchira trouvera difficile de ne pas penser à une autre vérité parce

A – LA CONSCIENCE La définition première, par l’étymologie, montre que la conscience est ce qui va avec la science, autrement dit, ce qui accompagne le savoir. En effet, si nous savons quelque chose, nous savons que nous le savons, c’est-à-dire, nous sommes conscients de le savoir. Le mot conscience vient du latin conscientia, de cum (avec), et scientia, science. Cette étymologie fait référence proprement à la conscience humaine. Cela signifie-t-il qu’il n’y a de conscience qu’humaine ? I – Conscience

La VéritéDouter, est-ce renoncer à la vérité ?Si nous définissons la vérité comme l’adéquation entre l'esprit et la réalité et le doute comme un état d'incertitude qui se traduit par le refus d'affirmer ou de nier ; peut-on dire que douter est-ce renoncer à la vérité ?Mais douter ne serait-il pas par ailleurs un moyen d'accéder à la recherche du vrai ?Pour répondre à cette problématique, nous analyserons dans une première partie la volonté d'accéder à la vérité puis nous aborderons l'attitude sceptique

Mais le philosophe savait que même les mathématiques ne sont ni suffisantes ni parfaites du point de vue de la vérité. C’est que la vérité -toute vérité- a deux sources dit Pascal, la raison bien entendu, mais aussi le cœur, auquel il attribue le rôle le plus important, celui de la connaissance des « premiers principes ». Ce qui le conduit –et sans doute est-ce là son intention finale- à rejeter l’attitude sceptique, celle des disciples du philosophe Pyrrhon d’Elis, qui, dit-il combattent ces principes

de rationalité de la consommation. Axiome? Un axiome désigne une vérité indémontrable qui doit être admise. Rationalité? On parle de rationalité économique quand le comportement des individus correspond à leurs intérêts : les agents sont censés agir de telle façon qu'ils optimisent leur bien-être Ci-dessous tu trouveras ces différents axiomes. Note, en marge, la lettre de l’axiome qui semble le mieux lui correspondre à chacun des quatre extraits que tu trouveras plus bas. Ceux-ci sont fictifs

capacité qui se distingue des activités mentales qui ne font l’objet d’aucun examen (comme la croyance ou l’imagination) et s’oppose à toute forme d’incohérence comme la folie. La raison en tant que capacité permet de distinguer le vrai du faux, le réel de l’illusoire et donc d’accéder au principe d’ « intelligibilité des phénomènes ». Toutefois, si la raison cherche à expliquer logiquement les choses, elle reste soumise aux limites de l'homme qui,étant imparfait, ne peut pas tout comprendre, tout

ch 2 : La démonstration scientifique I/ Sortir de l’illusion de la perception spontanée : la connaissance scientifique A/ L’attitude scientifique n’est pas naturelle. 1°/ L’illusion de l’anthropomorphisme : le schéma historique de Comte 2°/ Bachelard : psychanalyse de la connaissance ou la nécessaire désillusion 1°/ Bachelard : la perception spontanée est un obstacle épistémologique 2°/ La connaissance scientifique exige une triple conversion 1°/ Rôle des instruments de mesure

La Religion -         Religion et gouvernement : Montesquieu pense la religion non en fonction de sa vérité ou de sa fausseté mais de son adéquation ou adaptation à une forme de gouvernement donné.   -         Religion naturelle et religion civile : Pour Rousseau, la religion naturelle est la religion purement individuelle, intérieure à chaque homme. La religion civile quant à elle est une religion commune devant assurer la vie sociale, l’amour de l’autre sans tomber dans les travers