Y A T Il Une Limite Au Scepticisme

inverse d’un somnifère, elle veut avoir l’effet d’une dynamite (mettre en mouvement la pensé). Socrate (le papa de tous les philosophes) a été condamné à mort parce qu’il dérangeait les citoyens d’Athènes parce qu’ils les contraignaient à penser. Socrate refusait que les citoyens d’Athènes se laissent aller à leurs préjugés et à leurs faux savoirs. La philosophie a toujours voulu être vivifiante (but de la philosophie) ; penser autre que ce que l’on pense. La philosophie n’est pas un simple jeu de

certains pensent même qu’il était peut-être athée. Pascal est un penseur pessimiste. Il a une conscience aiguë de la misère de l’homme et des limites de la raison humaine. Ce dernier point le rapproche de Montaigne et en fait un précurseur de Kant. Tous deux font une place à la foi en pointant les limites de la raison : « Le cœur a ses raisons, que la raison ne connaît point. » Nietzsche partage aussi ce scepticisme quant au pouvoir de la raison ; et d’ailleurs il appréciait beaucoup Pascal. On considère

III, scène I) INTRODUCTION Situation : Don Juan a appris de la bouche d'un spadassin La Ramée que douze hommes armés sont à sa poursuite, peut-être la troupe vengeresse dont l'a menacé Done Elvire (Acte I, 3). Pour leur échapper, Don Juan a ordonné à Sganarelle d'échanger leurs habits, mais le valet a réussi à trouver d'autres déguisements : Don Juan est en habit de campagne, Sganarelle en habit de médecin, ce qui permet à Molière, grâce à l'ironie de Don Juan et au comportement de Sganarelle

texte ( un extrait ) genre littéraire : un article d’encyclopédie ( = exposé clair, structuré , de type explicatif, neutre et objectif) Le sujet : une définition de l’honnête homme du XVIII°s ( raisonnable – guidé par une nouvelle divinité (qui a remplacé le Dieu du chrétien): la Raison- ni dogmatique, ni sceptique-, il met au service des autres ses capacités d’analyse et de réflexions libérées des passions. Découpage et lecture analytique § 1 et 2 – Un portrait par opposition : le philosophe

sont bons à condition que l’homme, qu’il soit catholique, protestant, musulman, juif voire athée, mène une vie socialement acceptable. Or jusqu’à la Révolution et même plus tard encore, les catholiques ont vigoureusement contesté l’idée selon laquelle les opinions religieuses n’appartiennent qu’à la conscience. Là où rien n’est certain, où rien n’est défini, les sentiments peuvent être partagés, les opinions peuvent varier ; mais quand la Vérité est vécue comme unique et intangible, il n’y a pas de

le mal et le bien. Pour chacun d’eux que se soit les platoniciens, les cyniques ou les cyrénaïques et même les autres écoles, il y a divergente. Le désir revient souvent dans les questionnements, dans les idées et les débats philosophiques. Tous à la recherche de la vérité et de la raison pour ainsi agir et atteindre le Souverain bien. Donc, depuis ce temps cela a amené comme question qui suit : désirer, est-ce nécessairement souffrir? Pour certain, désirer c’est négatif comme une source de souffrance

(1580-1588-1595) Situation : Montaigne né en 1533 et mort en 1592 est issu d’une famille aristocratique. Il a reçu une éducation qui incarne l’idéal nouveau de la Renaissance et de l’humanisme. Cette éducation manifeste une passion pour l’antiquité gréco-romaine, et les arts. Il a été magistrat et maire de Bordeaux. On lui a confié des missions durant la guerre de religion. En 1571, il commence à écrire des essais : œuvre autobiographique mais ce n’est pas un récit dans lequel on parle de sa vie personnelle

sont multiples et diverses. Avis personnel partial et partiel, l'opinion est souvent critiquée pour renseigner davantage sur la personne que sur l'objet sur laquelle elle porte. La recherche de la vérité, contrairement à cela, est un travail philosophique et scientifique qui tend à découvrir une vérité permanente et universelle qui ne doit en aucun cas se confondre avec l'inconstance des opinions humaines. De cela, on peut alors s'interroger si la recherche de la vérité est finalement accessible

D’après l’opinion commune, une prise de conscience est décrite comme une expérience libératrice. A travers une réflexion sur des actions ou des attitudes perpétuées inconsciemment, elle permet d’adopter un comportement ou de trouver une solution adéquate et d’agir plus librement. La question « toute prise de conscience est elle libératrice ? » est donc paradoxal car elle semble indiquer par le terme « toute » qu’une prise de conscience n’est pas nécessairement libératrice. Est-il réellement possible

affaiblissement de l'autorité royale et une désacralisation du roi alimentée par l'esprit des Lumières qui aboutissent à l'ouverture d'Etats généraux en 1789. Dans la monarchie absolue, Le roi détient tous les pouvoirs : exécutif, législatif, judiciaire.Il a tous les droits sur ses sujets. Son pouvoir est sans limites et se fonde sur une valeur absolue (Dieu, raison d'Etat) qui échappe à tout contrôle. Par conséquent le pouvoir ne peut être ni expliqué ni critiqué. La monarchie absolue est centralisatrice