Zaibatsu

froide qui provoque le renoncement britannique à leur prépondérance ►En Extrême-Orient : Le Japon est contrôlé par les Américains : - la mise en place de réformes a les objectifs suivants : - démocratiser le pays - détruire les zaibatsu - démanteler le potentiel militaire - Hiro Hito est placé au cœur de la nouvelle constitution. Il constitue le symbole de la nation démocratique - La politique de Mac Arthur conduit à écarter des autres puissances du règlement de la paix

keiretsu : réseaux | | | |informels de solidarité inter-entreprises, par le biais de prise de participation mutuelles et en cascades notamment dans les | | | |entreprises de sous-traitance, qui remplacent les anciens trusts familiaux (Zaibatsu) démantelés en 1946,  aboutissent à des ententes| | | |et contrôlent des pans entiers de l'économie. | | | |- un état du marché : les indicateurs de concentration

textile (comme le modèle britannique). Exemple de Mitsui, groupe économique japonais qui va se développer au début de l’ère meiji. Elle va fonder la première banque privée du japon fondé en 1876. Le Japon promeut son industrie sidérurgique. Les fameux zaibatsu, ce sont des grands groupes industriels et un des plus célèbres est l’entreprise Mitsubishi, qui va se développer dans tous les domaines, fondés en 1869 après la restauration meiji. Elle va commencer par développer le transport maritime avec le développement

Une nouvelle génération de concurrents très agressifs est en train d'émerger. Grâce aux subventions publiques ou à la création de grandes alliances (comme, au Japon, les « keiretsu » et les associations informelles comparables aux conglomérats « zaibatsu » de l'avant-guerre), des entreprises réussissent à se constituer des ressources financières importantes qu'elles utilisent pour attaquer sur le front de la concurrence. Nombre d'entre elles sont prêtes à perdre de l'argent pendant des années uniquement

conglomérats US ou japonais : les keiretsu : réseaux informels de solidarité inter-entreprises, par le biais de prise de participation mutuelles et en cascades notamment dans les entreprises de sous-traitance, qui remplacent les anciens trusts familiaux (Zaibatsu) démantelés en 1946,  aboutissent à des ententes et contrôlent des pans entiers de l'économie. - un état du marché : les indicateurs de concentration mesure le degré de concentration sur un marché, soit n le nombre d'entreprises et « Pi » la part

l'enfermement à la maison sous surveillance familiale. L'occupation américaine a été considérée par les Japonais comme positive même si elle a été la conséquence de la défaite humiliante. L'occupation qui s'est traduite par la destruction des Zaibatsu (grands groupes japonais jusqu'en 1945) et par la réforme agraire a provoqué également l'avancée de la démocratie. D'ailleurs, il n'y a pas, pour les Japonais, d'opposition tranchée entre ami et ennemi. Les prisonniers de guerre japonais ont été

favorise le développement de secteurs jugés clefs en construisant lui même des usines pilotes (filatures, entreprises métallurgiques, ciments produits chimiques...) certains de ces entreprises sont privatisées dans les années 1880 renforçant ainsi des zaibatsu naissants. Ces privatisations permettent l'émergence d'un grand patronat très lié à l'administration largement (dépendant des commandes publiques et des financements nationaux. Cette modernisation est financée essentiellement par une épargne interne

la période de l’après seconde Guerre Mondiale ont été marquées par des réformes de légitimation et d’adaptation de la connaissance de management occidentale dans le contexte traditionnel japonais, à travers essentiellement l’organisation des « Zaibatsu »11 (Gerlach 1992, Locke 1996), le système des « Wa », la structure « Keiretsu » et « mochiai » de son économie12 (Glisby et Holden 2003). L’après seconde Guerre Mondiale caractérise la période de professionnalisation du système de management

les valeurs caractéristiques de la civilisation japonaise prennent toute leur importance, par exemple : le sens de l’honneur et des vertus guerrières. On les a retrouvés dans l’agressivité industrielle et commerciale de ses chefs d’entreprise, les zaïbatsu issus des grandes familles japonaises, et de leurs représentants à l’étranger. Au XXIe siècle, ce sont les keiretsu ; la transformation du bouddhisme, devenu le zen, qui propose la libération de l’« Être » par la domination du corps et les vertus

industrialisés et sont le fruit d’une longue histoire industrielle souvent débutée à la fin du XIXe siècle. Champions nationaux dans leurs pays, les grandes entreprises concentrées de la fin du XIXe  siècle (Konzerns allemands, trusts américains, zaïbatsus japonaises) partent à la conquête des marchés internationaux dans des périodes de libéralisation du commerce mondial. Avec les progrès de la mondialisation, ces entreprises voient dans l’ouverture du monde des possibilités de projection mondiale