Zaki Laidi

Rumsfeld Way, New York, McGraw Hill, 2002. Steven Krasner, International Regimes, Ithaca, Cornell University Press, 1983. Paul Krugman, L’Amérique dérape, Paris, Flammarion, 2004. Charles Kuchan, The End of the American Era, New York, Knopf, 2002. Zaki Laïdi, L’ordre mondial relâché : sens et puissance après la guerre froide, Paris, FNSP, 1992. Anthony Lake, 6 Nightmares, Real Threats in a Dangerous World and How America Can Meet Them, New York, Little, Brown & Co, 2000. Sabine Lavorel, La politique

France profonde. Comment expliquer que la politique tend à se réduire à la proximité. Il serait d'abord lié à la crise des grands discours idéologiques, récits politiques, des philosophies de l'histoire. Le fait d'analyser , on peut en ce sens citer Zaki Laidi qui dit bien que « l'offre politique se réduit à la promesse de proximité, les forces politiques on aujourd'hui renoncer à transformer la société mais elles ont aussi de la peine à la comprendre, d'où le recours permanent à la rhétorique de la

des actionnaires de même qu’avec le développement de méthodes de production visant une plus grande efficacité des entreprises. Pour reprendre les propos de BRUN.book Page 101 Vendredi, 31. octobre 2008 1:45 13 CONTRÔLEZ LA CHARGE DE TRAVAIL Zaki Laïdi dans son livre intitulé La tyrannie de l’urgence (Cerf, 1999), nous vivons dans un monde où l’urgence ne nie pas le temps, mais elle le surcharge d’exigences inscrites dans la seule immédiateté. Tout compte fait, la recherche de l’efficacité ne

1997, p. 70. Françoise Dastur. Heidegger et la question du temps. Paris : P.U.F., 1990, p. 18. 768 Henri Bergson. L’évolution créatrice. Paris : P.U.F., 1981, p. 4. 769 Vladimir Jankélévitch. Op. cit., p. 212. 770 Sur cette question, voir Zaki Laïdi. Le sacre du présent. Pourquoi vivons-nous dans l’urgence ? Paris : Flammarion, 2000. 771 Gilles Deleuze. Spinoza et le problème de l’expression. Paris : Editions de Minuit, 1968, p. 218. 772 Idem. Spinoza : Philosophie pratique. Paris : Editions

(Mesure, 1998b : page couverture). Les prophètes de Nietzsche se sont multipliés, les réseaux de Heidegger et de Wittgenstein, etc., ont vu leurs membres aug menter au cours des dernières décennies d'un XXe siècle où le « Monde est privé de sens » (Laïdi, 1994). La culture de l'illusion a pénétré non seulement tous les domaines de la pensée humaine [75] (idéologies, morale, etc.), mais également la production de la pensée scientifique. Celleci débouche à la limite sur le nihilisme. Face à ces courants

l'échelle de ce que l'on pourrait presque appeler la culture coloniale européenne. On voit en quel sens la critique postcoloniale peut étudier cette inspiration littéraire. Pour la période contemporaine, la mondialisation, remarque le politologue Zaki Laïdi , « renvoie presque invariablement à deux considérations : la compression de l’espace dans lequel les hommes vivent et échangent valeurs et produits, et les implications de cette intensification des échanges sur leur conscience d’appartenir à un

veille de l’élection présidentielle américaine, le Centre d’études européennes de Sciences Po projettera un documentaire sur la politique étrangère du président sortant et son rapport au monde. La projection sera suivie d’un débat avec les chercheurs Zaki Laïdi et Richard Balme, ainsi qu’Alain Frachon, directeur éditorial au Monde. Lundi 5 novembre, de 19 h 15 à 21 h 15. 27, rue Saint-Guillaume, Paris 7e. Sur inscription. > www.cee.sciences-po.fr Projection-débat « Obama, l’homme qui voulait changer