Zamiatine Nous Autre

que prof de Français remplacant. il fut aussi journaliste dans les années 1930 et 1940. il meurt en 1950. -Les circonstances d’écritures : Son roman écrit entre 1944 et 1948 et paru en 1949. . Orwell s'inspire d'un ouvrage de l'écrivain russe Zamiatine intitulé Nous autres et paru en 1920. Il emprunte aussi énormément à La Kallocaïne, de la Suédoise Karin Boye, publié en 1940.Cependant il reste profondément marqué par la perte de sa femme et par le contexte politique de l’époque : -L’Europe

car Gaudi  bâtissait au gré de son inspiration. Est-il possible de trouver quelque chose d’aussi immense que ce projet d’un seul homme? Par sa démesure, sa hauteur et son étrangeté, cette construction utopique donne l’impression d’appartenir à un autre monde.   Passé ou futur?  Voilà la question…   1984 Trois slogans régissent Oceania, société sous l’autorité de Big Brother, chef du Parti… : «LA GUERRE, C’EST LA PAIX » « LA LIBERTÉ, C’EST L’ESCLAVAGE » et « L’IGNORANCE, C’EST LA FORCE.»   Partout

s'insurger et démarrer une révolution contre le Parti. Winston cherche obstinément à prouver l'existence de la Fraternité, une organisation illégale qui tente de renverser le Parti, et à rejoindre celle-ci. S'en suit la rencontre avec O'Brien, un autre de leurs collègues, qui se présente comme étant secrètement membre de la Fraternité. Il permet à Winston et Julia de rejoindre l'organisation, et leur donne accès au livre. Ce livre, qui n'est qu'une légende parmi la population, serait le résumé de

bonheur semble échapper à un tel relativisme et cela des deux points de vue précédemment évoqués. Nous désirons tous le bonheur alors que nous ne désirons pas tous les honneurs, la richesse, la piété ou la beauté et nous le désirons tous plus que toute autre chose, cad le plus intensément. De sorte que, malgré la relativité qui semble pourtant inhérente au désir, nous prenons peu de risque à être réfutée en affirmant que rien n’est plus désirable que le bonheur. Mais s’il en est ainsi, c’est tout simplement

régime policier et totalitaire, ainsi que de la réduction des libertés. En 2005, le magazine Time a d'ailleurs classé 1984 dans sa liste des 100 meilleurs romans et nouvelles anglaises de 1923 à nos jours, liste où se trouve La Ferme des animaux, autre fameux roman d'Orwell[1]. Il décrit une Grande-Bretagne postérieure d'une trentaine d'années à une guerre nucléaire entre l'Est et l'Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950, où s'est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré

Chalcédoine, aurait, selon Aristote, préconisé une cité égalitaire et égalisatrice, tandis qu'un autre, Hippodamos de Milet, aurait, au contraire, échafaudé le plan d'une cité différenciée et différenciatrice. Un peu plus tard, selon Diodore de Sicile, « un certain Iamboulos » aurait, au cours de ses périples, connu des Héliopolites, habitants des îles du Soleil, îles comme il se doit de bonheur intégral. Un autre, Evhémère, aurait connu une île Sacrée, au large de l'Inde et de l'Arabie, habitée par les

que des solutions partielles pour en atténuer les injustices. L’utopie implique une critique d’ensemble et propose, en conséquence, une société « autre dans son principe et non dans une modalité » < P.F. Moreau, Le récit utopique, Droit naturel et roman de l’Etat, P.U.F, 1982, p. 17.>. D’où, dans un second temps, l’ouverture d’un monde possible, autre, bâti sur d’autres fondements et dont les effets bénéfiques feront l’objet d’une description détaillée. L’utopie classique n’est pas le destin de

le régime politique comme c’est le cas dans un régime monarchique avec l’adage : «  le roi est mort vive le roi » ou dans un régime parlementaire avec le concept de « continuité de l’Etat » ( cf.article 5 de la Constitution de 1958). Sous une autre perspective, l’Etat est le moyen par lequel les hommes peuvent surmonter leur propre violence. En effet, l’Etat détient le  monopole de la violence légale, ie « monopole de la violence physique légitime » pour reprendre l’expression de M.Weber dans

de la science, bcp imaginatif et peur de l’évolution. Fait grande usage de l’imagination ce qui le rend plus prospère comme auteur. * Il est antiraciste et anti-impérialisme. On abolit dans son siècle l’esclavage. * Il effectue entre autre une projection vers le future. * Pour lui le changement est garant d’instabilité, donc un danger possible. Il ne croit pas en une évolution linéaire, constamment positive. * Avait peur dune possible décadence de l’homme. Il pense qu’on

Narration et formes littéraires Le but dans une fiction n’est pas de démontrer mais d’émouvoir et intéresser. Caractéristiques de la fiction : • Une fiction n’est pas une évasion mais une autre manière de voir le réel • Permet de rentrer dans la pensée et dans les émotions d’un autre • On se fond partiellement dans l’autre à travers un processus d’identification Dramaturgie : a des origines religieuses ; les prêtres étaient des comédiens. Anecdote : Petit récit qui vaut pour l’intérêt piquant