Zara Force Concurrentielle Porter

production et de consommation de masse, pour lesquelles il fallait une distribution de masse. Aujourd’hui, les projections concernant le futur de la distribution sont davantage tournées vers l’idée d’individualisation de l’offre : c’est un peu un retour en force du commerce, symbolisé par ce désir des grands distributeurs d’être à nouveau consi1. Moati Ph. (2001), L’avenir de la grande distribution, Odile Jacob, Paris. 50672_ManDist_p001p004_MM Page 2 Jeudi, 24. août 2006 4:59 16 2 MANAGEMENT DE LA DISTRIBUTION

production et de consommation de masse, pour lesquelles il fallait une distribution de masse. Aujourd’hui, les projections concernant le futur de la distribution sont davantage tournées vers l’idée d’individualisation de l’offre : c’est un peu un retour en force du commerce, symbolisé par ce désir des grands distributeurs d’être à nouveau consi1. Moati Ph. (2001), L’avenir de la grande distribution, Odile Jacob, Paris. © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. 2 MANAGEMENT DE LA DISTRIBUTION

(marques du groupe américain Vanity Fair) respectivement 4 % et 2 % (Forestier, 2004), une multitude d’acteurs se partage le reste du marché. Les principaux acteurs sur les différents segments du marché sont : • les marques de distributeurs, Gap, Zara, H&M, ainsi que les marques propres de la grande distribution se situent sur les segments premier prix et moyen de gamme, • de nouvelles marques sportswear branchées, Diesel, G-Star, Replay sont parvenues à repositionner le jeans comme un produit

distribué sur des points de vente, eux aussi pensés par le designer au sein d’architectures commerciales spécifiques. On voit que ce parcours est révélateur de la définition du design actuel qui devient ainsi le langage de la marque et du produit, sa force de communication et brièvement le ressort de son succès commercial. On voit aussi comme on est loin des soldes de Boucicaut ou de la réclame des années 1920. Le Bauhaus, à la même époque, montrait la pure beauté dans l’abstraction de la forme parfaite

distribué sur des points de vente, eux aussi pensés par le designer au sein d’architectures commerciales spécifiques. On voit que ce parcours est révélateur de la définition du design actuel qui devient ainsi le langage de la marque et du produit, sa force de communication et brièvement le ressort de son succès commercial. On voit aussi comme on est loin des soldes de Boucicaut ou de la réclame des années 1920. Le Bauhaus, à la même époque, montrait la pure beauté dans l’abstraction de la forme parfaite

l'humanité est celle de la coopération et du partenariat." Kofi Annan, Secrétaire général de l'ONU (Extrait d'un discours à l’Assemblée générale de l’ONU - 24 Septembre 2001) Mes remerciements à ceux qui ont participé activement à cette aventure Fanny Zara, Guillaume Lamothe, Florent Lafarge, Pierre Lévy, Pascal Baudry, Béatrice Sevat, AnneSophie Patin, Caroline Wirta, Thomas di Luccio, Jean-Philippe Mousnier, Alexandra Thusy, Charlotte Brothier, Carine Dartiguepeyrou, Elodie Beth, Marie-Pierre Lacroix

spécifiques. VII Quel commerce de demain ? La vision prospective des acteurs du secteur Les efforts d'adaptation à opérer par les distributeurs à l'horizon 2020 Quels sont les 3 principaux domaines dans lesquels l'effort d'adaptation doit porter en priorité ? Distributeurs (%) La capacité à créer une relation plus profonde et plus riche avec les clients Développer une approche « multicanal » La capacité à créer une offre différenciatrice Une meilleure capacité de compréhension des attentes

promotionnel et perception publique La fragmentation de l'offre WEB 2.0, BLOGS, MARKETING ‘BOUCHE A OREILLE’, CONTENU GENERE PAR LES UTILISATEURS L’émergence du "social networking" Les stars du Web 2.0 Gérer la prise de contrôle du consommateur Le buzz La force des blogs Les wikis EMARKETING e-Mailing La recherche ciblée Le Behavioral targeting. Le Contextual targeting e-mail en Rich Media Les blogs ou "Social Media" Les fils RSS Le téléphone mobile La publicité dans les jeux vidéo Avantages et inconvénients

ici une des causes de pathologies fréquentes du monde du travail : le « management par le stress », suscité par la pression (entretenue) de la clientèle. En dépit du caractère réputé protecteur des régulations qui s’appliquent au monde de l’emploi, force est de constater que les entreprises françaises sont parvenues à créer des leviers inédits sur la « motivation » des salariés, quels que soient les statuts qui gouvernent les relations d’emploi. Heures supplémentaires et primes diverses ont montré

appliqué les théories d’Adam Smith et de Frederick Taylor et institutionnalisé la division du travail, les organigrammes et les hiérarchies, sur le modèle de l’armée. L’archétype du manager a évolué au cours du temps, en fonction des grands enjeux concurrentiels du moment. D’abord ingénieur à une époque où il fallait reconstruire, puis commerçant à une époque où il fallait gagner des parts de marché, enfin financier à une époque où il fallait consolider. À l’exception des industries du savoir comme l’informatique