Zéphyr

ce moment, élément de force et de protection. Il y a dès lors installation d’un champ lexical de la protection et de la force, avec les expressions « non content d’arrêter les rayons du soleil », « brave l’effort de la tempête », « tout me semble zéphyr », « je couvre », « je vous défendrais ». Cela peut faire figure d’arrogance. De plus, le chêne en arrive à dénoncer la nature pour le fait que le roseau, différent de lui, est constamment « bousculé » : - vers 2 : accuser la nature, - vers 11

Affronte les force naturel → Confirmation de sa grandeur par le roseau. *​ Roseau​ : → Présenté par le narrateur comme un arbuste. → Présenté par le Chêne de manière fragile. 3. Le vent ​ → Désigné par plusieurs appellations: « le moindre vent » , « Zéphyr » , « Aquila » , « tempête » → Vent a de l'impact sur le Roseau mais pas sur le Chêne. → le vent est un juge / rôle actif II. ​ L'argumentation 1. Argumentation du Chêne ​ → Injustice de la nature ( idée qui ouvre et qui ferme l'argumentation )

POLLET 1G1AgatheEnseignement de spécialité danse 1èreCulture chorégraphiqueLa danse hip-hop de Mourad MerzoukiAnalyse de la chorégraphie « Zéphyr »DS noté sur 20 pointsUn chorégraphe, une œuvre : 9 pointsMourad Merzouki est un danseur et chorégraphe de danse hip-hop et de danse contemporaine et l'actuel directeur du Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne ainsi que de la compagnie Käfig qu'il a fondée en 1996.Il dirige également le Centre chorégraphique Pôle Pik qu'il

la vertu et la fidélité) qui sont en train de danser. De l’autre coté du tableau, l’homme représenté a une légère teinte bleutée, il correspond à Zéphyr, le Dieu du vent. Il tient par les hanches la nymphe Chloris. Des fleurs sortent de sa bouche, symbole de sa virginité perdu. Ils sont tout les deux très importants dans l’allégorie du printemps car Zéphyr souffle le vent humide et chaud sur Chloris, qui fleurit, et devient Flore, l’allégorie de la ville de Florence, on la retrouve à gauche de Chloris

|Non content d’arrêter les rayons du soleil, |Brave l’effort de la tempête. |Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. |Encor si vous naissiez à l’abri du feuillage |Dont je couvre le voisinage, |Vous n’auriez pas tant

Le moindre vent, qui d’aventure Fait rider la face de l’eau, Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d’arrêter les rayons du soleil, Brave l’effort de la tempête. Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. Encor si vous naissiez à l’abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n’auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l’orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des Royaumes du vent. La nature envers vous me semble

ce moment, élément de force et de protection. Il y a dès lors installation d’un champ lexical de la protection et de la force, avec les expressions « non content d’arrêter les rayons du soleil », « brave l’effort de la tempête », « tout me semble zéphyr », « je couvre », « je vous défendrais ». Cela peut faire figure d’arrogance. De plus, le chêne en arrive à dénoncer la nature pour le fait que le roseau, différent de lui, est constamment«bousculé » :  -vers2 :accuserlanature, -vers11 :sivousnaissiez

l’effort de la tempête » (v.9), « tout me semble Zéphyr » (v.10), « je couvre » (v.12), « je vous défendrais » (v.14) qui fait preuve d’arrogance. Sa différence avec le roseau, permet à La Fontaine, de mettre en valeur la nature « si vous naissiez » (v.11), « la nature envers vous me semble bien injuste » (v.17). On remarque que la nature, ici est accusée qui est ensuite comparé avec le roseau au vers 10 « Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. » L'opposition est mise en valeur et renforcée

moindre vent, qui d'aventure Fait rider la face de l'eau, Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des Royaumes du vent. La nature envers vous

vraisemblablement le contraire du Roseau. Il est même un peu arrogant et se vente de son physique. Il souligne par une antithèse, sa manière de croire en sa force et en celle du Roseau. «Tous vous est aquilon; tout me semble zéphyr.» Le vent aquilon s’identifiant comme un vent violent et zéphyr comme une petite brise douce et agréable. Le Chêne sous-estime le Roseau, le croyant incapable de se protéger. Il se surestime, car le prétentieux et puissant Chêne brise à la fin de la fable. Le Chêne qui, difficile