Zéphyr

S’adossent au soleil Remuent les lèvres Et laissent l’ombre à quatre feuilles Gagner leur cœur chaud de sommeil. Paule Éluard (1895-1952) Comme un dernier rayon     Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyr Animent la fin d'un beau jour, Au pied de l'échafaud j'essaye encore ma lyre. Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le

vous les connaîtrez tout à I'heure. Je n'en dis pas plus. Je me tais. l\ilotus. Qu'il me suffise de vous indiquer que nous nous trouvons, par un beau sojr de printemps (il montre la branche), dans le manoiÉ du baron de 2... Zède comme Zèbre, comme Zéphyr... (ll rit bêtement.) Mais chut I Cela pourait vous mettre sur la voie. Comme vous pouvez I'entendre, le baron et sa charmanie épouse donnent, ce sojr, un bal somptueux. La fête bat son plein. ll y a foule au rnanoir. '10 15 On entend soudain

autrefois la terre de Tharsis 2 d'avec la grande Afrique. Ce pays semble avoirconservé les délices de l'âge d'or. Les hivers y sont tièdes, et les rigoureux aquilons 3 5n'y soufflent jamais. L'ardeur de l'été y est toujours tempérée par des zéphyrs 4 rafraîchissants, qui viennent adoucir l'air vers le milieu du jour. Ainsi toute l'annéen'est qu'un heureux hymen du printemps et de l'automne, qui semblent se donner lamain. La terre, dans les vallons et dans les campagnes unies, y porte chaque

moyennes et d'espèces variées, noisetiers, aulnes, charmes, fruitiers... Le temps était frais mais il n'y avait pas de vent. Pourtant, il entendait un souffle dans les ramages. Surpris, il s'arrêta et fixa son attention : ce n'était pas le souffle d'un zéphyr, inexistant, mais cela ressemblait davantage à une plainte, à un gémissement. Il approcha et entendit : « Ne demeure pas ici ! ne cesse pas ta marche ! Ici, il n'est qu'immobilité, que racines, que mort. Ce que tu crois être un bois n'est que la sédentarité

sauce révolutionnaire. Le Chef du Village est permissif, pour autant que ces histoires soient dédiées à la gloire du Grand Timonier. Le Vieux Tailleur est surtout séduit par les élégances Louis-Philippardes telles que les décrit Dumas, au point qu'un zéphyr méditerranéen souffle sur sa création, transformant les villageoises en autant de petits marins royalistes. Luo et Ma puisent dans ces livres leur nourriture intellectuelle et s'initient à l'art d la séduction. La Petite Tailleuse, elle, fait son

 aura   néanmoins  plusieurs  amants.       •  L’un  des  descendant  d’Aphrodite  fonda  Rome   à  en  la3n  Roma  à  AMOR   Aphrodite  (plaisir,  sexe,  beauté),  avec  Zéphyr,   sa  femme  et  Heure)   paganspace.net   Sandro Botticelli, La naissance de Vénus, 1485 Alexandre Cabanel, La Naissance de Vénus,1863) William-Adolphe Bouguereau – La naissance de Vénus, 1879 William-Adolphe

nuit, gardez, belle nature,Au moins le souvenir ! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvagesQui pendent sur tes eaux ! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surfaceDe ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,Que les parfums légers de ton air embaumé,Que tout

le nom de « Télémaque ». Ce contexte est propre à l’utopie. Dans la suite du récit, Fénelon fait appel aux éléments. L’eau : « fleuve », « océan », « mer » ; la terre : « fertile », « vallons, « campagnes », « terre » ; le vent : « aquilons », « zéphyrs », « air » ; mais aussi le feu « tièdes », « été », « tempérée » sont présents dans cette description du pays. Ces quatre éléments sont le fondement de la nature et, par association, tendent à montrer l’équilibre qui règne dans cette contrée. L’idée

point fixe auquel le poète se raccroche désespérément en se souvenant des moments passés ici avec Julie et qui ne pourront jamais revenir. Ce lieu est aussi empreint de musique, favorisant les envolées lyriques : « les bruit des rames », « le zéphyr qui frémit », « le vent qui gémit », « le roseau qui soupire ». Lamartine essaye de retranscrire ces sons pour que l’on retrouve cette musique en employant des nasales « mugissements des flots, des diérèses : « harmonieux ». Tout son poème est rythmé

représentation humaine de quelque chose d’abstrait. Le Printemps : * Beaucoup de symboles richissimes en interprétation Mercure chasse l’hiver Cupidon lance une flèche Les arbres sont les piliers mythologiques Les 3 Grâces qui dansent Zéphyr qui souffle sur la déesse Flora * Allégories * Tableau à la fois et profane et chrétien. Pas tout à fait profane car représentation médiévale de la Vierge. * Il y a 500 espèces de plantes dans le jardin → recherche documentaire, souci